PourrĂ©capituler, voici les Ă©tapes Ă  suivre pour appliquer un verre trempĂ© : 1Ăšre Ă©tape : Avant toute chose, assurez-vous d'ĂȘtre sur un support stable et de prĂ©fĂ©rence dans un endroit sec non poussiĂ©reux. 2Ăšme Ă©tape : Nettoyez l’écran de votre tĂ©lĂ©phone grĂące Ă  la lingette lavante (1) fournie avec votre verre trempĂ©. Lafaçon la plus simple de les isoler consiste Ă  les traiter en sous-face, c'est-Ă -dire depuis l'intĂ©rieur du grenier. On pose alors gĂ©nĂ©ralement une double couche de laine de verre, la premiĂšre entre chevrons, sans pare-vapeur, la seconde, Étape2 – Recuire le verre. Chauffer le verre dans un four artisanal jusqu’à ce qu’il atteigne 900 degrĂ©s Fahrenheit, puis Ă©teindre le four et laisser le verre et le four refroidir pendant huit heures. Ce processus de recuit ou de chauffage modifie le verre afin qu’il ne soit plus trempĂ© et qu’il ne se brise pas lors de la dĂ©coupe. bienpositionner le verre trempĂ© sur l’écran : placez correctement votre verre trempĂ©, en veillant Ă  bien le positionner, puis lissez la surface du verre trempĂ© Ă  Maintenantque votre Ă©cran est parfaitement propre, il est temps de mettre le verre trempĂ© sur votre Ă©cran. Pour cela, retirez le sticker se trouvant sur la protection et venez le positionner sur l'Ă©cran. Nous vous conseillons de vous Conseiln°1 : prendre son temps lors de la pose du film. Rien ne sert de se prĂ©cipiter, mis Ă  part de gĂącher la pose du film et de vous retrouver avec une protection Ă©cran loin d’ĂȘtre esthĂ©tique. Il faut s’accorder au minimum 10 Ă  15 minutes, s’isoler dans un endroit tranquille, et suivre dĂ©licatement les Ă©tapes de pose, afin de Lunique dimension sur laquelle le verre trempĂ© prend le pas sur un film protecteur est la rĂ©sistance. En effet, un verre trempĂ© restera plus compact et plus robuste qu’un film protecteur. L’ESTHÉTISME. Alors que le verre https//www.brico-phone.com10 % de remise avec le code de rĂ©duction YOUTUBE Abonne-toi : Peur d’abimer votre Ă©cran, JOI2e. NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Sam 18 AoĂ» - 1349 Un verre pour nos retrouvaillesHarley & Yohan Quand on a un meilleur ami, on a besoin de rien d'autre au monde. »de William Sutcliffe Wanna see my face ?RP Renoncer a ceux qui ne sont chĂšre, c’est renoncer Ă  sa qualitĂ© d’homme et mĂȘme a ses devoirs. »Librement inspirĂ© d’une citation de Jean-Jacques RousseauC’est sur cette philosophique citation, que repose les pensĂ©es d’Harley. Il est toujours grĂ© de renoncer au monde l’espace d’un instant afin de le comprendre comme le dit si Jean Grenier, mais il est aussi grĂ© de penser a nos actes et a leurs consĂ©quences. Qui parfois ne sont poussĂ©s par que par le dĂ©sir ou l’orgueil de l’acteur principal. Rare sont les fois ou il s’agit de nobles causes, et parfois en surface on y dĂ©cĂšle toujours l’ombre exigĂŒe d’un individualisme inassumĂ©. Si l’inĂ©branlable motivation de revoir l’un des rares personnages ayant contribuĂ© a illuminĂ© son passĂ©, est une cause Ă©goĂŻste ?
Oui et non, la rĂ©ponse sera toujours furtive et Ă©vasive. Peut-ĂȘtre n’y a-t-il qu’un vaniteux sentiment de rattachement au charmant blond qui autrefois Ă©tait son camarade de cours de rĂ©crĂ©ation, mais du moins il est d’une puretĂ© candide soigneusement plantĂ© au sein de son subconscient et de son cƓur, puis arrosĂ©e de milles sources de souvenirs qui luisent d’un apanage de facĂ©tie bon-enfant et d’affection qui font que l’enfance n’est ni plus ni moins que la plus belle pĂ©riode que puisse vivre un humain. Qu’elle soit courte ou non. C’est pourquoi moi humble narrateur, je me permets de faire le point et de vous donner mon avis L’éthĂ©rĂ© clartĂ© et nitescence qu’arbore son besoin inexorable de prĂ©sence Ă  ses cĂŽtĂ©s. Pourrait bel et bien dorer les lauriers de ses sentiments a son Ă©gard, et mĂȘme leurs valoir un Ă©clat de noblesse. Car une personne aux attraits et attribues gĂ©nĂ©reux dont est dotĂ© notre joviale artiste, aurait avec aisance pu se glisser dans la peau fourbe d’une croqueuse d’hommes. Mais il n’en fut rien, a peine quelques amourettes de passage mais rien de bien sĂ©rieux. Et pour cause son affection, est telle que ses pensĂ©es s’évadaient souvent du temps de sa vie aux cĂŽtĂ©s de son glacial paternel, vers son camarade de jeu et de confidences. Se demandant bien comme s’écoulent ses journĂ©es. Et si lui-mĂȘme lui arrives-t-il comme a elle de songer aux temps ou ils bĂątissaient un avenir reluisant de lueurs rutilantes de joie Comme ils le faisaient avec une maison de playmobil
A cette anecdote, un sourire Ă©clos sur les lĂšvres nacarat de la jeune fille qui dĂ©posait son pinceau dans un pot grossiĂšrement maculĂ© de tĂąches de peintures et d’essences destinĂ©s a la peinture, Ă©cartant des mĂšches revĂȘches d’un mouvement de bras. Elle se remit au travail, crayon entre les dents et tubes dĂ©bordant des poches d’une blouse dĂ©lavĂ© qui portaient sans doute tous les tons existantes tant elle n’était que joyeux mĂ©langes diaprĂ©s. Hey Harley, sa te dis de venir avec nous au cinĂ©ma ce soir ? On va voir The Dark Knight Rises, il le repasse. » DĂ©solĂ© je l’ai dĂ©jĂ  vu, il a filtrĂ© un temps sur la toile en HD et puis chui allĂ© a l’avant premiĂšre moi. Pas comme certains.»Marmonna-t-elle d’une voix de gamine aiguisĂ©e a cause de l’instrument qu’elle a entre les dents. En appliquant au couteau quelque touche au niveau des lys qui poussaient presque timidement au bord d’un limpide Ă©tang reflĂ©tant sur sa surface presque vitreuse ou seules quelques vaguelettes produites par des carpes vermeilles troublaient son calme, la silhouette de guĂȘpe d’une courtisane chinoise et de son mirifique kimono abricot. Ah mais oui, mais comment j’y est pas pensĂ© ! Derek je t’adore ! » S’écria la brunette en se relevant, abandonner tout travail et faisant tomber au passage un de ses chevalets, lĂąchant un magnifique Fais chier » comme elle seule c’est le dire. Prenant son Iphone qu’elle a pu avoir au dernier E3 a Los Angeles, elle se mit de ses deux mains tremblantes et rapides Ă  Ă©crire un message, les yeux souriant a la place de ses lĂšvres plissĂ©es –Tic qu’elle a lorsqu’elle espĂšre quelque chose de tout fais, elle repris place sur son tabouret reprenant ardemment ses esquisses valsĂątes en ondulĂątes et arabesques distinctive de part leurs styles propre a celle qui manie le pinceau. Les heures s’écoulaient ainsi, toujours derniĂšre a finir, on entendit le carillon de l’horloge annonçant midi mais aussi la fin des cours. Les Ă©paules engourdies, devant nĂ©anmoins rĂ©pĂ©ter la longue et douloureuse tĂąches qu’est de ranger tous ce matĂ©riel. La sulfureuse brunette, releva lestement son visage en direction de la baie vitrĂ© longeant le mur de gauche mais aussi son espace de travail –ayant bien fais tourner chĂšvre le professeur pour cette place-. Le Paysage fĂ»t des plus habituelle, monotone, anodin et banal pour certains. Les Pancartes bariolĂ©s, les spots publicitaires et bandes annonces des prochains films qui raviraient les fans et feraient claquer les langues de vipĂšres des critiques
Un joyeux charivari de lumiĂšre. Ponctuant par l’activitĂ© digne d’une fourmiliĂšre qui sĂ©vissait a ses pieds, ou taxis orpiments et passant grouillaient dans les rues de New-York. Un Charme urbain qui sied a cela
Se dit alors l’artiste, qui tout sourire se mit a fredonner en dĂ©boutonnant sa blouse. Laissant sa voix mielleuse qui avait gardĂ© un timbre d’intonation italienne, s’élevait dans une sorte de magnificence sonore cĂ©ans. In New YorkConcrete jungle where dreams are made ofThere's nothing you can't doNow you're in New York,These streets will make you feel brand newBig lights will inspire youLet's here it for New York »Brooklyn, Ginger’s 20 heure 45 La nuit se faisait Ăąpre et prĂ©pondĂ©rante, chimĂ©rique tant elle englobait, Ă  la fois l’horizon et les avisĂ©es perceptions, de son joug dĂ©concertant et mirifique et prĂ©somptueux astre solaire, ayant sombrĂ© en un ocĂ©an de noirceur, n’avait sur l’heure matiĂšre Ă  estomper sa dĂ©route journaliĂšre en arborant son Ă©clat rutilant, il ne reprĂ©sentait en effet aucune promesse de soutient, palliative Ă  une obscuritĂ© encrĂ©e et noctambule quelle drĂŽlerie non ?, certains se laissaient aller aux bras d’une MorphĂ©e accueillante y trouvant quiĂ©tude et bien-ĂȘtre oubliant maux et peines, ne devenant que d’acerbes pensĂ©es dĂ»ment estompĂ©s par la caresse d’un sommeil pondĂ©reux. D’autres encore favorisaient ces heures-ci a la gaietĂ© et l’insouciance que procure leurs jeunesses en fleur. Tandis que la derniĂšre tranche voyait en ce laps de temps, un moyen d’exercer leurs mĂ©faits, pitoyables lĂąches qui usaient de la pĂ©nombre afin de s’y lumiĂšres fluorescentes du cĂ©lĂšbre bar accueillant les plus folles fĂȘtes de la ville, luisaient de tous leurs feux. HabituĂ©e a cet environnement d’alcool, de joie, d’indĂ©pendance et de musique, ou le laisser-aller Ă©tait commun. Observant depuis son plus jeune Ăąge les dĂ©lices d’une soirĂ©e d’adolescents. Ce n’est pas pour rien qu’elle est l’une des fĂȘtardes les plus connus aux soirĂ©es. Mais ce soir-lĂ  ce n’est pas pour faire le DJ ou bien pour se libĂ©rer qu’elle est venu, mais bien pour parler avec son ami d’enfance, voir comment les choses ont Ă©voluaient depuis le temps. Trop pris par leurs emplois du temps respectifs, il n’y a que leurs cellulaires et leurs ordinateurs qui leurs permet de discuter, tant un dĂ©jeuner Ă©tait quasiment impossible. Quand l’un avait un aprĂšs-midi de libre, l’autre l’avait chargĂ© comme pas deux. Tu veux que je te serres quelque chose Harley ? » Non John. J’ai pas soif, » D’acco’ D’acc’ ma jolie ! »Ici, on s’adressait familiĂšrement Ă  notre peintre. HabituĂ©, toujours le mot pour rire et agrĂ©able. Le seul point noir c’est qu’elle est la premiĂšre a filler a l’anglaise lorsque l’on proclame le mot mĂ©nage et nettoyage, mais on lui tient pas rigueur. Et sa finis par lui donner le sordide sobriquet de Princesse » Tellement, la simple pensĂ©e de mettre la main a la pĂąte lui donne des soir, Ă©trangement la salle Ă©tait particuliĂšrement calme. Dans le sens ou il n’y avait pas une de ses fĂȘtes qui mettent sans dessus dessous le commerce. Quelques groupes de jeunes entrain de trinquer la rĂ©ussite de leurs DL ou bien qui riaient haut et fort bouteille a la main dansant au rythme d’une musique dancefloor, heureux et indiffĂ©rent. Des couples par-ci par lĂ  qui chuchotaient des paroles Ă  peine audible, avant de s’évader dans un coin sombre, des adultes qui n’avaient pas pris une ride et qui discutaient autour d’une liqueur, Tiens y’en a qui vont fumer du canabis dans les toilettes
C’était si plaisant de changer d’atmosphĂšre, finalement Le Ginger’s gardait son image tous les jours. Week-end de folie ou pas
Elle devrait le frĂ©quenter plus souvent dans la ses doigts vernis, pourvus d’une multitude de bagues a la Vivienne Westwood, VĂȘtue d’un short en jean taille haute, de bottes en daim a franges ou dĂ©passait des chaussettes blanches, qui allait avec son t-shirt albĂątre sur lequel Ă©tait imprimĂ© un article de journal en Times New Roman, visible sous sa veste en jean cloutĂ©, chevelure dĂ©nouĂ©e tombante naturelle volumineuse et ondulĂ©, mise sur un cĂŽtĂ© et chapotĂ© d’un bonnet cĂ©ruse. Pour une fois –et encore- elle avait optĂ© pour quelque chose de simple et de ne pas jouer l’extravagante. Du moins
Enfin Passons ce n’est point ça le plus intĂ©ressant. Moue aux lĂšvres, elle se dandinait d’avant en arriĂšre, jouant avec ses chaines qu’elles enroulaient entre ses doigts, fixant la porte d’entrĂ©e du bar la mine dĂ©confite. Va-t-il se dĂ©cider a venir ? © Never-Utopia InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Dim 19 AoĂ» - 332 Yohan & Harley » Une vie sans amour, c'est une vie sans soleil. Alors sois mon soleil. » Il Ă©tait aux alentours de huit heures trente, lorsque l'alarme d'un rĂ©veil se mit Ă  envahir la piĂšce plongĂ©e encore dans l'obscuritĂ© la plus totale, oĂč dormait paisiblement un jeune homme. On voyait nettement la silhouette d'un homme allongĂ© alors sur le ventre, oĂč un drap Ă©tait posĂ© correctement sur lui. Ce garçon ne semblait d'ailleurs, ne pas vouloir se rĂ©veiller et sortir de son sommeil. Et pourtant ! Il le fallait bien ! C'Ă©tait lui qui avait dĂ©sirĂ© de devenir un basketteur ! Personne n'avait choisit son destin pour lui. Et un sportif se doit d'ĂȘtre ponctuel et sĂ©rieux dans son travail ! Il Ă©tait donc lĂ , Ă  maronner contre le rĂ©veil, tapant dessus pour Ă©teindre la sonnerie infernal qui semblait ĂȘtre taquine avec notre Yohan. Ce dernier se releva dans un Ă©lan boudeur et dĂ©sactiva l'alarme en soupirant. Des fois, il aimerait bien pouvoir faire des grasses matinĂ©es ! Rester au lit ! Faire ce qu'il lui plait. Cependant, ce n'Ă©tait pas le moment ! Yohan repoussa doucement les draps qui le recouvraient il y a de cela quelques secondes, sautant ainsi du lit. Tout en Ă©teignant le ventilateur qui semblait ĂȘtre la seule machine capable de diffuser de l'air dans son petit studio, le garçon s'en alla vers la cuisine chaleur qui envahissait New-York et bien d'autres villes, devenait insupportable..C'Ă©tait la canicule Ă  coup sĂ»r. Tout le monde se prĂ©cipitait vers les plages de cette belle ville. Histoire de se rafraĂźchir, de se prendre les belles et grosses vagues en plein corps ! Certains s'installaient sous ce soleil frappant, histoire de foncer leur peau. D'autre prĂ©fĂ©rait jouer au ballon sur les terrains couverts de sable, rĂ©servĂ© Ă  l'usage du beach-volley ! Et puis d'autre, quant Ă  eux, prĂ©fĂ©raient boire un verre prĂšs d'un petit bar installĂ© sur la plage. Un verre de coca, de vodka, d'eau fraĂźche, c'Ă©tait souvent le bienvenue. MĂȘme pouvoir acheter des sandiwch lĂ -bas rĂ©jouissait les gens qui n'avaient surement pas l'envie de prĂ©parer eux-mĂȘmes leur nourriture pour passer une bonne et grosse journĂ©e Ă  se rafraĂźchir et Ă  bronze ! Et puis, il y a les autres, comme Yohan, qui pratique leur activitĂ©, leur passion, leur envie. Et Yohan pratiquait sa passion, son activitĂ©, son envie. Le basket-ball, Ă©videmment ! Il Ă©tait donc lĂ , prĂšs du frigo, Ă  chercher son lait froid. Yohan dĂ©testait le cafĂ© ! Il lui fallait toujours boire un chocolat froid. Poudre chocolatĂ©, lait bien glacĂ©. En fait, il lui en fallait peu pour ĂȘtre heureux et bien commencer la fois ceci fait, il se dirigea d'un pas aĂ©rien vers sa salle de bain, oĂč il passa Ă  la douche. Être frais, de bon matin, c'est bien ! Mais ĂȘtre frais au retour, c'est encore mieux ! Souriant doucement Ă  pensant que cette journĂ©e allait ĂȘtre des plus magnifiques pour lui. Pourquoi pensait-il ça ? Simple intuition justement. Intuition qui ne faisait que le rendre joyeux en cette belle matinĂ©e ! Douche prise, parfumĂ©, coiffĂ©, toilette faite, le garçon enfila son fidĂšle maillot de son Ă©quipe. Les Surrender ! Peu Ă  peu, son Ă©quipe arrivait Ă  attendre des grades placĂ©s d'une certaine maniĂšre, sur une Ă©chelle quelque peu difficile Ă  atteindre. Et pourtant, ils y arrivaient ! Et plutĂŽt bien ! C'Ă©tait une petite Ă©quipe qui avait derriĂšre elle, un petit groupe de supporteur et de fans hystĂ©riques prĂȘtes Ă  leur sauter dessus. Le Capitaine, le numĂ©ro dix, Yohan. Le deuxiĂšme en cas de remplacement si besoin est, Thomas, trĂšs bon ami de Yohan. Tous deux passaient de bonne soirĂ©e ensemble, avec le reste de l'Ă©quipe ! D'ailleurs, ils s'entendaient tous trĂšs trĂšs bien ! Vous savez, lorsque des gens partagent la mĂȘme passion, souvent, cela crĂ©e des bel et bien le cas avec ces garçons-lĂ . D'ailleurs, Yohan devait dĂ©jĂ  allĂ© les rejoindre ! Une fois qu'il fut habillĂ©, qu'il ai rangĂ© cigarette, bouteille d'eau, serviette, habit de rechange, portable, mp3, clĂ© de l'appartement, ventoline et bien-sĂ»r, un paquet ce chips - Oui, l'Ă©quipe aime bien grignoter ! Quel bel exemple, n'est-ce pas? - le garçon fut enfin prĂȘt Ă  partir. Il s'en alla donc de son petit studio. Le temps Ă©tait haut et clair. Le soleil Ă©tait brillant et explosant de lumiĂšre. Un soleil si magnifique.. Quoi de mieux pour ĂȘtre heureux ? D'ailleurs, ce soleil, ça lui rappelait ses longues journĂ©es passaient avec Harley. Depuis qu'il avait eu le message d'Harley sur sa boite vocal, il n'avait pas pus se voir. Ils se parlaient juste par message. Et aucun des deux n'osaient s'appeler, bizarrement. Comme des inconnues. Chose assez triste au final. Et cela faisait de la peine Ă  Yohan qui, pour son plus grand malheur, ne pouvait pour le moment, la serrer dans ses bras. Enfin passons, il arrivait dĂ©jĂ  au gymnase. Rentrant dans la vaste salle, le garçon salua et fit le check habituel Ă  chacun de ses coĂ©quipiers, demandant si tout allait bien. La routine ? les voilĂ , les Surrender. Ils Ă©taient placĂ©s sur le terrain. Le coach siffla Ă  l'aide son sifflet, rien de plus logique et une partie d'entrainement dĂ©marra. Jusqu'aux alentours de onze heures trente environ, les garçons sautaient, courraient, marquaient, riaient, tombaient, se relevaient. Une quotidienne bien habituel pour ces fans de basket-ball. Yohan fut en sueur. Ils passĂšrent tous Ă  la douche, histoire de se rafraĂźchir et de retrouver chacun leur affaire. Chose faite, Yohan enfila un short noir et un t-shirt oĂč son idol Ă©tait reprĂ©sentĂ© par une photo en gris et noir. Souriant lentement, il attrapa son sac et se saisissant de son tĂ©lĂ©phone, il le dĂ©verrouilla. Surprise, d'ailleurs. Il avait un message. De qui donc ? Le savait-il au fond ? Surement pas. Avec curiositĂ©, il s'empressa d'afficher le message et resta complĂštement choquĂ©. Harley, sa Princesse, sa petite Harley. C'Ă©tait elle, celle qui avait envoyĂ© le message. Surpris, trĂšs surpris mĂȘme, le garçon ne put s'empĂȘcher de laisser un sourire Ă©clatant sur son visage, exprimant sa joie. Il se mit Ă  crier de joie, ce qui attira l'attention de son ami Thomas. Qu'est ce qui t'arrive Yohan ? Tu es milliardaire ?- Milliardaire ? Mais bien plus que ça Thomas ! Harley ! Elle veut que l'on se retrouve ce soir au Ginger's ! Harley quoi ! Thomas je suis trop content lĂ  ! Mais .. Peut-ĂȘtre qu'elle ne va pas me reconnaĂźtre ! Et qu'elle ne va pas vouloir me parler ! Et qu'elle va me prĂ©senter son petit ami.. »A cette pensĂ©e qui le rendait quelque peu ''jaloux'', le garçon fit une lĂ©gĂšre moue. C'Ă©tait vrai ça.. Est-ce qu'elle Ă©tait amoureuse de lui ? Certainement pas. Harley ne le considĂ©rerait jamais plus qu'un simple confident. Un simple ami. Chose qui faisait atrocement mal Ă  Yohan, mais qu'il se devait d'accepter dans la souffrance la plus discrĂšte qui puisse exister. Une tape Ă  l'Ă©paule d'encouragement de la part de Thomas. Yohan expira doucement. Le message avait Ă©tĂ© envoyĂ© aux alentours de neuf heures trente. Il devait lui rĂ©pondre maintenant ! VoilĂ  plus de deux heures qu'elle devait attendre son message. C'est avec prĂ©cipitation et bonheur, qu'il rĂ©pondit Ă  son message. AccĂ©der au MessageUne fois ceci fait, le garçon courut chez lui. Et il resta lĂ , assit sur son canapĂ©, Ă  regarder le plafond. Le coeur battant la chamade de la savoir enfin et bientĂŽt contre lui, il ne pouvait s'empĂȘcher de rire joyeusement et de sourire. Et pourtant ! Peut-ĂȘtre avait-elle bien changĂ©. Peut-ĂȘtre qu'elle ne voudrait certainement plus jamais de lui ! Peut-ĂȘtre qu'elle ne voulait lui parler que par sa cĂ©lĂ©britĂ©. Toutes ses idĂ©es mĂ©langĂšrent Yohan dans un profond doute. Qu'Ă©tait devenue son Harley ? Celle qu'il chĂ©rissait et qu'il aimait plus que tout au monde ? Tout ce qu'il pouvait espĂ©rer, c'Ă©tait des retrouvailles magnifiques et pleines de joie. Mais gare Ă  lui ! Afin de protĂ©ger Harley de ses soucis, il s'Ă©tait promis de lui cacher le fait qu'il Ă©tait asthmatique, mais aussi qu'il fumait et buvait. Si Harley apprenait ça, elle risquait de lui faire la morale. Elle avait toujours prit soin de Yohan et lui interdisait les mauvaises choses pour sa santĂ©. Mais la chose la plus importante qu'il lui cacherait.. C'Ă©tait le fait qu'il l'aimait. Le fait qu'il Ă©tait aveuglement amoureux d'elle. Le fait qu'il rĂȘvait d'elle, d'eux, de leur enfance tous les soirs. Le fait qu'il s'imaginait une vie avec elle. Tout cela, il le lui s'il se faisait rejeter ? Et si Harley Ă©tait dĂ©jĂ  amoureuse d'un autre ? Et si au final, Harley ne voulait plus de lui ? Tout ça le plongea dans un profond sommeil.. Toutes ses pensĂ©es qui se mĂ©langeaient. Comment allait-il devoir rĂ©agir ? Comment allait-il devoir faire ? Comment s'y prendre avec la fille qu'il avait perdue, autrefois ? Tant de questions sans rĂ©ponse ! Se rĂ©veillant quelques heures plus tard, le jeune homme se releva. Dix-neuf heures quarante. Il restait environ une heure pour qu'il puisse se prĂ©parer avant de rejoindre sa douce et tendre amie d'enfance qui, il espĂ©rait, se faisait une joie Ă  l'idĂ©e de pouvoir le revoir. Yohan, c'Ă©tait un fĂȘtard dans l'Ăąme ! Il sortait souvent. Et donc, il avait des habits qui lui allaient plutĂŽt bien. Ce soir-lĂ , il dĂ©cida de porter, aprĂšs une bonne douche glacĂ©e, son pantalon beige, accompagnĂ© d'une ceinture noire ''Hugo Boss''. Une fois ceci fait, il enfila son fidĂšle tee-shirt oĂč le col Ă©tait plongeant en forme de V. Tee-shirt qui par ailleurs Ă©tait gris, lĂ©ger et fin. Il rajouta Ă  cela, son bonnet gris qu'il portait souvent, posĂ© sur ses cheveux coiffĂ©s aux gels. Et bien-sĂ»r, il n'oublia pas ses Nike Air Jordan, noir et blanche, chaussures qui avaient Ă©tĂ© crĂ©es par le cĂ©lĂšbre Basketteur Micheal Jordan. Chaussure qu'il ne quittait plus. Finissant par se parfumer de son parfum Play Boy, le garçon souffla doucement. Harley, Ginger' heures pour un garçon stressĂ© et paniquĂ©, il partit en retard de chez lui. Il allait faire lĂ©gĂšrement attendre sa princesse, mais pas pour bien longtemps, fort heureusement ! Il essayait de marcher vite, mains dans les poches, air confiant. Il se rĂ©pĂ©tait en boucle, les paroles qu'il allait bien pouvoir lui dire. Et les choses qu'il garderait pour lui, secrĂšte pour elle. Les rues de la belle ville qu'est New-York, Ă©tait plongĂ© dans le noir le plus total. Ce soir-lĂ , Yohan ne travaillait pas au Ginger's. Jour bien choisit ! Il avait d'ailleurs dĂ©commandĂ© Ă  la derniĂšre minute, un restaurant avec le coach et les Surrender. Tous savaient Ă  quel point Harley comptait pour lui et qu'il ne pourrait rien lui refuser. Et tous avaient Ă©tĂ© mis dans la confidence ! Harley ne devait savoir en aucun cas, que Yohan Ă©prouvait plus que de l'amitiĂ© Ă  son Ă©gard. Il marchait donc, lĂ©gĂšrement stressĂ© et nerveux. Son amie d'enfance, depuis quinze longues annĂ©es.. Il n'en revenait pas. Il voyait bientĂŽt le toit du bar. La boule au ventre, il rentra Ă  l' y avait dĂ©jĂ  les fĂȘtards, bouteille en main, qui se draguaient, dansĂ©s et autre. Et puis, il y avait les gens normaux, qui buvaient un verre, regardĂ©s le match de football. Et parmi tous ces gens-lĂ , il y avait Harley. Elle Ă©tait lĂ -bas. Au fond du bar, assise sur un fauteuil. VoilĂ , ils Ă©taient sĂ©parĂ©s par quelques pas seulement. C'est bien Yohan. Tu peux le faire, va vers elle. Yohan s'avança. D'un pas calme et posĂ©. Lent et raffinĂ©. Il finit par se trouver bientĂŽt derriĂšre elle. Ce qu'elle avait changĂ©.. Elle Ă©tait tellement plus jolie comme ça.. Avec son style propre Ă  elle. Heureusement pour lui, elle ne l'avait pas vu.. Vu qu'il Ă©tait arrivĂ© par derriĂšre. Doucement, il s'approcha d'elle, puis l'enlaça avec une tendresse incroyable. Elle Ă©tait dos-Ă  lui, mais il s'en fichait. Yohan la releva et la serra contre lui, de toutes ses forces, sans pour autant l'Ă©trangler ! Il la cĂąlinait, ne semblant plus vouloir la lĂąchait. Avant de finalement dire, d'une voix heureuse et remplie de joie, avec un sourire des plus aveuglement amoureux Mon dieu Harley.. Je suis tellement heureux de te revoir ! Tu m'as tellement manquĂ© ! »© Never-Utopia DerniĂšre Ă©dition par Yohan A. Mat'Connor le Dim 23 Sep - 2232, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Lun 3 Sep - 2240 IamHarley And Yohan Bien malheureux est celui qui ne prend les devants pour dĂ©clarer sa flamme »Wanna see my face ?Megan FoxRP Mon dieu Harley.. Je suis tellement heureux de te revoir ! Tu m'as tellement manquĂ© ! »Une intonation grave mais mielleuse, Au timbre sincĂšre ou luisait un bonheur non refoulĂ©e. A la fois douce et Masculine...ChuchotĂ©e en une demi-voix pareille a une vague lointaine, apportant dans son sillage une promesse partagĂ©e...Elle avait beau avoir fait et refait maints exercices avant cette rencontre fatidique, la rĂ©action ne put ĂȘtre contrĂŽlĂ©e. Yeux Ă©carquillĂ©es, bouche entre-ouverte qui ne laissait aucun son se faire audible. Mais qui fĂ»t animĂ©e par le plus tendre et affectueux des sourires, regard lointain et rĂȘveur laissant dĂ©rouler sous ses yeux les images presque cinĂ©matographique de son enfance baignĂ©e a la fois par les rayons de et les jeux de celui qui dĂ©sormais, la capturait en une Ă©treinte forte tout en restant dĂ©lectable ne lui procurant que ce sentiment Ă©goĂŻste Demeurer Ă©ternellement contre lui ». Dieu sait combien il lui avait manquĂ©...Combien elle avait priait a lumiĂšre de sa lampe de chevet, que ses lettres lui parviennent, qu’elle puisse retrouver sa trace...Tout en laissant milles et unes craintes et peurs assaillir son subconscient. Peut-ĂȘtre l’avait-il oubliĂ© ? Peut-ĂȘtre ne considĂ©rait-il leur amitiĂ© d’enfance comme une simple Ă©poque Ă©phĂ©mĂšre sans rĂ©elle importance...Ou pire de tout, qu’il l’est oublier...Mais non il avait reconnu sa voix au tĂ©lĂ©phone...MalgrĂ© que tout les sĂ©pares, qu’il soit l’étoile montante et sans l’ombre d’un doute un futur Influent...Il n’avait pas oubliĂ© la petite fille aux joues roses qu’il orner du plaisant sobriquet Princesse ».Pareil Ă  un conte de fĂ©e, Le Prince retrouva sa promise », sous les lueurs fluorescentes roses flamant et vert Hooker, entre les rires et gloussement des adolescents qui se laissaient aller aux dĂ©lices de l’insouciance et de l’alcool. Parmi un charivari de personnage aussi haut en couleur que normaux...AnimĂ©e autant que par une musique lourde et pondĂ©reuse qui sied a l’atmosphĂšre plutĂŽt calme de ce dĂ©but de soirĂ©e, que par les Ă©clats de voix des amateurs de au passage s’était retournĂ© pour bien voir s’il s’agissait rĂ©ellement de l’enfant prodige du basket-. Je vous l’accorde le cadre d’un club prisĂ©e par les fĂȘtards n’est pas le lieu le plus emblĂ©matique pour une scĂšne romantique...Mais ceci n’est qu’une toile de fond, mieux vaut nous re-concentrer sur nos geste lent et calculĂ© elle se dĂ©cala de son Ă©treinte afin de lui faire face, restant comme Ă©bahie et surprise, comme les jeunes femmes qui retrouvaient leurs Ă©poux aprĂšs une guerre interminable. D’un geste timide voir mĂȘme candide, elle glissa sa main aux multiples bagues sur sa joue, caressant les traits arachnĂ©ens qui se devinaient au simple coup d’Ɠil. RedĂ©couvrant peu a peu le petit –enfin plus aussi petit que ça n’est-ce pas Mia Bella ?- bonhomme dont elle Ă©tait Ă©prise. Son sourire n’avait pas changer
toujours aussi avenant et charmeur...Ses yeux si mielleux qu’on aurait jurĂ© y voir baignĂ© les rayons du celeste...Son bien plus basanĂ© sied tant a sa chevelure cuivré Un authentique prince charmant me diriez-vous...En tout c’est l’avis de la jeune Harley qui de par ses iris bleuĂątre ne cessait de contempler ce minois, humant son parfum environnant, en caresse de son pouce sa joue imberbe. N’arrivant guĂšre a articuler ne serait-ce une syllabe intelligible. –Elle qui a la langue si pendue c’est une premiĂšre !- ...Mon Dieu...Je trouve mĂȘme pas quoi dire... »Pensa-t-elle, riant intĂ©rieurement de ce mutisme en S’îtant donnant une image d’une idiote de premiĂšre. Plissant un brĂšve instant ses gourmandes lĂšvres de brunes, elle vint soudainement sauter a son cou, hisser sur la pointe de ses pieds, refusant de desserrer l’étreinte de ses bras autours de lui...Bizarrement son cƓur se mit Ă  jouer une chamade endiablĂ©e, ce qui ne manqua pas de la prendre au dĂ©pourvue. Voix hĂ©sitante, regard humides qui se mit a versĂ© des larmes de joies faisant couler son Ă©pais mascara. Elle murmura en un souffle chaud non loin de sa nuque ...Tu m’as tant manquĂ©...Je...Je...n’ai jamais perdu espoir... ».Son timbre garer malgrĂ© sa gĂȘne et son dĂ©concertement, cette suavitĂ© qui lui est propre. Se dĂ©calant au bout d’un moment, elle entrelaça comme par le passĂ© ses doigts aux siens, avant de l’entraĂźner rieuse et bon-enfant vers la table qu’elle avait rĂ©servĂ© tantĂŽt pour eux deux. CalĂ©e contre un angle prĂšs du mur, elle s’élança dans un questionnement enchaĂźnĂ©e a la vitesse de l’éclair. Comment vas-tu depuis ? J’ai vu que tu Ă©tait devenue un basketteur de renom, je suis si heureuse pour toi ! Ca va ce n’est pas trop dur ? Tu ne te fatigues pas trop ? Depuis quand tu es a New-York ? » Et ainsi de suite, vĂ©ritable flux de parole digne de la jeune fille Ă©perdument amoureuse et dĂ©pendante de son ami d’enfance. Mais fort heureusement Peggy la chef de service, s’approcha d’eux en mĂąchant son Ă©ternel chew-gum qu’elle claquait d’une simple pression de dent. Mollement elle prit son calepin et sourit dans cette bontĂ© qu’inspire lecĂŽtĂ© maternelle d’une femme a sa trentaine. Du Calme ma jolie, tu vas t’essouffler a parler aussi vite et faire fuir ton rancart ! Alors mes mignons ce sera un Whisky chacun ? Toi Yohan je te prend la version extra. Buveur comme t’es.. » Un Whisky pour moi oui
 Et si tu avais les glaces de la derniĂšre fois Peggy tu serais un amour ! » Oki Mon cƓur, je vous apporte ça tout de suite ! » enfournant son crayon dans son chignon a la Amy Winhouse, elle se dirigea vers le bar et clama d’une voix grasse et forte les commandes. DĂ©solĂ©...J’ai l’air vraiment conne comme ça
C’est que.. ..Je n’arrive pas a croire que tu es là
C’est un rĂȘve Ă©veillé Depuis le temps que je tiens a te revoir.. »Murmura-t-elle en laissant apparaĂźtre quelques rougeurs sur ses joues, lorsqu’elle croisa de nouveau le profond regard noisette de son Ă©ternel et irremplaçable Prince Charmant », comment un homme pour prendre sa place. Il a temps fait pour elle, autant qu’elle en a fais. Sans doute n’a-t-elle jamais pleurĂ© la perte d’une personne comme le jour ou elle se vit si promptement Ă©cartĂ©e. Revoyant encore la scĂšne ou la demoiselle en robe sĂ©vĂšre qui ne lui allait guĂšre, monter encadrer par deux vigiles le visage en pleurs. Agitant sa petite main en direction du beau blond, aprĂšs lui avoir fais promettre qu’elle le retrouvera. Chose qu’elle tint
Par-ailleurs son regard se porta sur un petit bijou en argent qui luisait a son cou. Douce et aimante, elle effleura le pendentif ou leurs deux prĂ©noms sentrelaçaient en Edwardian Script. Tu l’as encore
 ? C’est
surprenant
Je pensais que tu avais jeter cette babiole depuis longtemps
 »Babiole ou pas, elle fit manquer un battement a la jolie brunette qui se remĂ©mora avec nostalgie ce soir d’hiver ou elle offrit aux douze coups de minuits, ce petit prĂ©sent en gage d’amitié Mais aussi d’un amour candide et pure qu’elle avoua indirectement
MĂȘme amour qu’elle se refusait d’accepter, sans doute par peur de se faire rejeter
Chose parfaitement comprĂ©hensible
Il devait sans doute avoir d’autre projet en tĂȘte
Mais elle son obsession c’était lui et cela ne changera jamais
N’est-ce point une preuve d’amour ma douce ? Ne te voile donc pas la face ainsi, cela abĂźme ta si jolie Ăąme
 © Never-Utopia InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Mar 4 Sep - 1802 Yohan & Harley » Une vie sans amour, c'est une vie sans soleil. Alors sois mon soleil. »L'Ă©treinte Ă©tait douce et forte Ă  la fois. Ses bras musclĂ©s encerclaient lentement sa taille et la gardaient contre lui avec une force indescriptible. Son souffle chaud s'Ă©crasait lentement contre la nuque de sa princesse. Ses lĂšvres frĂŽlĂšrent lentement son cou. Doucement, il redĂ©couvrait la peau toujours aussi sensible et douce de son Harley.. Oui, son Harley.. Il ne voulait plus la lĂącher. Il ne cessait de resserrer l'Ă©treinte et de souffler lentement contre sa nuque, dĂ» Ă  sa respiration lente et douce. Il Ă©tait tellement fou d'elle.. Que pouvait-il bien y faire ? Depuis leurs plus jeunes Ăąges, il Ă©tait tombĂ© sous son charme. Et Ă  ce jour, il Ă©tait encore et toujours, sous ce mĂȘme charme. La revoir, pouvoir sentir de nouveau sa douce odeur, entendre sa voix mĂ©lodieuse, pouvoir ne serait-ce que la serrer contre lui.. Tous ces moments avaient rĂ©ellement manquĂ©s Ă  Yohan. Mais cette fois, c'Ă©tait fini. Elle Ă©tait lĂ . Elle Ă©tait ici, dans ses bras et plus jamais, il ne la lĂącherait. Pour toujours, ils seront ensemble. Ils finiront leurs vies ensemble ! Yohan ne voyait pas autre chose, Harley Ă©tait la femme de sa vie. La femme qu'il voulait Ă©pouser, avec qu'il voulait un enfant. Mais Yohan, n'as-tu pas compris que tu ne seras jamais plus qu'un ami, pour ton Harley ? Pour ta princesse que tu chĂ©ris tant ? Malheureusement, Yohan se faisait bien Ă  l'idĂ©e que jamais, il ne pourrait goĂ»ter ses vrai, Harley Ă©tait belle, jeune. C'Ă©tait le rayon de soleil de Yohan, mais surement celui des autres garçons. Elle devait surement avoir eu des relations, tellement de relations.. Et lui, comme un idiot qu'il est, il avait cru qu'il pourrait un jour, la serrer dans ses bras et lui dire Je t'aime » en espĂ©rant que tout ceci serait rĂ©ciproque. Pauvre idiot qu'il est. Il ne sera certainement jamais plus qu'un simple ami.. Toutes ses pensĂ©es lui lacĂšrent leur cƓur. Pourquoi fallait-il qu'il soit aussi amoureux de son amie d'enfance ? Pourquoi Harley ? Pourquoi n'Ă©tait-il pas comme les autres garçons ? Pourquoi n'avait-il jamais eu de relation amoureuse ne serait-ce qu'une journĂ©e ? Toujours pour la mĂȘme raison. Pour le mĂȘme prĂ©nom. Toujours pour Harley. Toujours pour cette mĂȘme personne qui prenait une place entiĂšre dans le cƓur de Yohan. Elle le contrĂŽlait, sans le savoir. Je crois que s'il lui arrivait quelque chose, Yohan mettrai fin Ă  ses jours.. Il ne vit plus que pour elle, maintenant. Pour qui d'autre peut-il bien vivre ? Ses parents dĂ©cĂ©dĂ©s ? Ses amis ? Il n'en avait plus envie. Il voulait Ă©pouser Harley et personne d'autre.. Jamais une autre fille qu'Harley Ă©tait rentrĂ©e dans son cƓur, mis-Ă  part sa gĂ©nitrice. Aucune autre fille.. Il Ă©tait Ă©perdument amoureuse d'elle..Mais le temps n'est pas aux sentiments ! Il est plutĂŽt aux retrouvailles. Il la tenait, bien contre lui, sans vouloir la lĂącher. Son souffle s'Ă©crasait contre son cou, les yeux Ă  prĂ©sent fermĂ©s, la serrant contre lui toujours un peu plus. Finalement, lorsqu'il sentit qu'elle voulut se dĂ©faire de son Ă©treinte, il la laissa faire et la libĂ©ra lentement. Son coeur ne fit qu'un tour. Il battait la chamade. Il battait tellement rapidement, avec tant de force qu'il aurait pu lui transpercer la poitrine.. VoilĂ .. Elle se mettait face Ă  lui. Yohan ne put rien faire d'autre que de plonger son regard dans ses yeux bleuĂątres.. Dans ses yeux couleur ocĂ©aniques.. Sa chevelure Ă©tait toujours aussi magnifique. Douce et Ă  l'odeur agrĂ©able. Il ferma un instant les yeux et laissa sa main se poser sur sa joue, la laissant ainsi la caresser. Ce touchĂ©.. Qu'est ce qu'il lui avait manquĂ©.. Ces caresses-lĂ .. Yohan revivait. Bizarrement, il ne pensait Ă  rien d'autre qu'Ă  elle, qu'Ă  lui, qu'Ă  eux.. Est-ce qu'un amour est possible, ma tendre Harley ? C'Ă©tait le genre de question qu'il aurait aimĂ© lui poser. Mais pas pour le moment.. Il apprĂ©ciait ces douces retrouvailles. Yohan posa alors sa main sur celle prĂ©sente sur sa joue. Lentement, il y dĂ©posa un tendre baiser et contempla ses yeux. Soudainement il la rattrapa. Oui, elle lui sauta au cou..DĂ©cidĂ©ment, elle avait toujours cette manie ? Celle de lui sauter dessus pour le serrer contre elle ? Mais bon, il n'allait pas s'en plaindre, bien au contraire..Yohan ferma ses yeux et se laissa transporter. Transporter par l'amour qu'il ressentait Ă  son Ă©gard. Par l'envie de l'embrasser, de crier haut et fort Ă  quel point il l'aimait.. Il le lui dira.. Il le lui ferait comprendre, quoiqu'il en soit. Ce soir ! Elle partira du bar en connaissance des sentiments qu'il Ă©prouve pour elle.. Au moins, il sera fixĂ©. Le basketteur resserra Ă©galement l'Ă©treinte autour d'elle, avant de sourire tendrement Ă  ces douces paroles.. Si elle n'avait pas perdu l'espoir, lui, il l'avait complĂštement abandonnĂ©. Pour lui, il n'avait plus aucun espoir de la revoir un jour, de pouvoir la serrer dans le creux de ses bras. Et pourtant, il aurait du y croire.. Puisque maintenant, il Ă©tait lĂ , contre elle, en train de la cĂąliner. Sa voix Ă©tait restĂ©e tout autant mĂ©lodieuse qu'enfant. Sa voix le bercĂ©, quelque part. Il entrouvrit lentement les yeux et posa alors son front contre le sien, avant de secouer nĂ©gativement la tĂȘte et de faire un petit bruit Ă  l'aide de sa bouche, signifiant nettement qui n'Ă©tait pas d'accord sur quelque chose. Mais Harley en avait l'habitude. Petit, il faisait toujours ce bruit. Dans une voix douce et tendre, amoureuse et mĂ©lodieuse, le garçon reprit la parole Mh..Non, non.. Je ne suis pas du tout d'accord Harley.. Tu arrĂȘtes immĂ©diatement de pleurer, d'accord ? Tu ne te rappelles pas ? On s'Ă©tait promis que le premier qui pleurerait, recevrait un bisous papillon de l'autre. Tu ne veux quand mĂȘme pas que je t'embrasse devant tout ce monde, non ? Allez, c'est finit maintenant.. Je suis lĂ .. Je ne te laisserai plus jamais.. »MĂȘme si le garçon en rĂȘvait, de ce baiser papillon - qui consistait pour Yohan et Harley, Ă  frotter leur nez l'un contre l'autre, avant de voler un timide baiser Ă  l'autre - , il ne voulait pas la prendre par surprise. Oh non, amoureux comme il est, il ne supporterait pas qu'elle le lui fasse remarquer.. Tendrement, il passa son index sous ses yeux, regardant son doigt sali de noir. En souriant joyeusement, il dĂ©posa lentement ses lĂšvres sur son front et la serra avec force contre lui, en lui murmurant de douces paroles Ă  l'oreille qui se voulut rĂ©confortante. MĂȘme si les regards des plus curieux se posĂšrent sur le basketteur, Yohan ne semblait pas s'en prĂ©occuper. Non, sa prĂ©occupation Ă©tait bien plus intĂ©ressante ! Harley voyons ! Ah, d'ailleurs. Elle risquait surement de lui poser des questions sur sa vie actuelle. Attention Yohan ! Il ne faut pas qu'elle dĂ©couvre que tu es asthmatique. Tu sais bien que tu fumes ! Elle te ferait la morale ! Et puis, elle serait trĂšs en colĂšre si elle apprenait que tu buvais Ă  trop forte dose, de l'alcool. Alors tais-toi sur ces points et fonce sur le reste ! Le garçon vint alors serrer lentement ses mains en la suivant tout en riant tendrement. Les voilĂ , les amis d'enfances ! Ils Ă©taient lĂ  ! Yohan prit alors place juste en face d'elle, avant de commencer Ă  rire en l'entendant parler. Comment vas-tu depuis ? J'ai vu que tu Ă©tait devenue un basketteur de renom, je suis si heureuse pour toi ! Ca va ce n'est pas trop dur ? Tu ne te fatigues pas trop ? Depuis quand tu es Ă  New-York ? »Yohan ne put s'empĂȘcher de venir lentement serrer sa main dans la sienne, tout en riant gaiment. Elle n'avait vraiment pas changĂ© ! Toujours aussi curieuse ! Fort heureusement pour Yohan, la serveuse du bar arriva. À ce moment d'ailleurs, Yohan ne pensait pas qu'elle puisse vendre la mĂšche. Du Calme ma jolie, tu vas t'essouffler Ă  parler aussi vite et faire fuir ton rancart ! Alors mes mignons ce sera un Whisky chacun ? Toi Yohan je te prends la version extra. Buveur comme t'es.. »Faites qu'elle n'ait pas entendue ! Faites qu'elle n'ait pas entendue ! Yohan fit soudainement de gros yeux en regardant Peggy, lui expliquant par son regard qu'elle connaissait, Ă©tant donnĂ© qu'il travaille au Ginger's, qu'il fallait qu'elle parte. Tournant ensuite son visage vers sa princesse, Yohan lui caressa lentement la main pour essayer de la rassurer. Bizarrement, elle semblait nerveuse, voir mĂȘme gĂȘnĂ©e. C'est le temps. Yohan aussi se sentait mal Ă  l'aise, mais il essayait de faire avec pour ne pas gĂącher cette magnifique soirĂ©e. Surement la plus belle de toute sa vie. DĂ©solĂ©...J'ai l'air vraiment conne comme ça...C'est que.. ..Je n'arrive pas a croire que tu es lĂ ...C'est un rĂȘve Ă©veillĂ©...Depuis le temps que je tiens Ă  te revoir.. »Yohan commença alors Ă  sourire tendrement, voir mĂȘme timidement. DĂ©tournant son regard noisette vers le sol, le garçon eu Ă©galement quelques rougeurs aux joues. Il leva finalement ses yeux vers ceux de sa tendre et magnifique princesse, rĂ©pondant alors Ă  ses questions Non, ne dis pas ça voyons.. Ce n'est pas bien grave si tu ne sais pas quoi dire.. Ne t'inquiĂštes pas, le principal, c'est que nous soyons lĂ .. Et je ne te lĂącherai plus, promis.. Oui, je suis devenu basketteur dans l'Ă©quipe de Thierry Owaru ! Tu connais ce cĂ©lĂšbre entraĂźneur de l'Ă©quipe des Surrender ? À l'occasion je te le prĂ©senterai. Pour rĂ©pondre Ă  ta question, cela fait maintenant deux, trois mois que je suis Ă  New-York, je ne sais pas exactement. Puis non, ce n'est pas trop fatiguant, je fais avec. Et pour finir, depuis le temps, je fais aller. Tu sais, aprĂšs ton dĂ©part puis la mort de Maman et Papa, j'ai Ă©tĂ© achevĂ©.. Mais bon, tu es lĂ  maintenant, hein ? Tu ne me laisseras plus ! Alors ça va aller ! »Le garçon se mit alors Ă  rire tendrement, prenant toujours tout cela avec une pointe d'ironie. Tout ce qui est triste, sans humour, il n'aime pas. Il prĂ©fĂšre vraiment rigoler plutĂŽt que pleurer. Le garçon regarda alors sa princesse s'attarder sur le bijou qu'il portait autour de son cou. Souriant faiblement, il la laissa effleurer le pendentif, en regardant son si magnifique visage. Yohan fronça lentement les sourcils Ă  la suite de ces paroles. Tu l'as encore... ? C'est...surprenant...Je pensais que tu avais jetĂ© cette babiole depuis longtemps... »Le basketteur soupira faiblement, avant de secouer lentement la tĂȘte. Il regarda Peggy arriver, qui dĂ©posa les deux verres de Wisky sur la table. Lui souriant, Yohan lui laissa un pourboire, avant de regarder de nouveau Harley Ce n'est pas une babiole ! Et pour rien au monde je ne l'aurai jettĂ©.. Pour rien au monde, tu m'entends ? »Le garçon releva alors son poignet droit, sans faire attention, puis se saisit lentement de son verre qu'il commença Ă  boire lentement. Son poignet droit.. Vous savez ce qu'il y avait dessus ? La plus belle preuve d'amour, certainement. Le prĂ©nom d'Harley Ă©crit en italique et dans un style d'Ă©criture Ă©gal au Respective. Il n'y pensait mĂȘme plus, ne rĂ©flĂ©chissant ainsi Ă  rien d'autre qu'Ă  son Harley. Avec le coeur serrĂ© et la boule au ventre, d'une voix hĂ©sitante, le garçon lui posa une question, qui surement, risquait de lui faire trĂšs mal au coeur .. Et toi alors ? Tout va bien.. ? Les amours.. ? »© Never-Utopia DerniĂšre Ă©dition par Yohan A. Mat'Connor le Dim 23 Sep - 2238, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Jeu 6 Sep - 1343 Unverre pour nos retrouvaillesHarley And YohanEt Le Prince Retrouva Sa Princesse...»Wanna see my face ?Megan FoxRP Mh..Non, non.. Je ne suis pas du tout d'accord Harley.. Tu arrĂȘtes immĂ©diatement de pleurer, d'accord ? Tu ne te rappelles pas ? On s'Ă©tait promis que le premier qui pleurerait, recevrait un bisous papillon de l'autre. Tu ne veux quand mĂȘme pas que je t'embrasse devant tout ce monde, non ? Allez, c'est finit maintenant.. Je suis lĂ .. Je ne te laisserai plus jamais.. »Inclinant son visage de cĂŽtĂ©, souriant a travers ses larmes, les lĂšvres plissĂ©es, et les joues couvertes d’adorables plaques rouges. Harley savourait en secret le contact doucereux de son pouce glissant en un arc parfait sous son Ɠil, effaçant ses larmes mais aussi l’épaisse couche d’eye liner qui avait coulĂ© et qui se mettait a dĂ©goulinait grossiĂšrement. ...Je...C’est juste des larmes de joie... »Balbuta-t-elle en entrelaçant ses doigts aux siens, se remĂ©morant soudainement un souvenir longuement choyĂ©e et chĂ©ri par son DU FLASH BACK Aieuuh
Harley
Tu me fais mal
 »Le nez pourvue d’une vilaine couleur bordeaux, les joues zĂ©brĂ©s et humides, agitant ses petites jambes en tapant du poing sur le canapĂ©. Visiblement souffrant de l’alcool qui imbibait sa plaie bĂ©ante. MalgrĂ© les milles gestes doucereux de l’adorable gamine a ses cĂŽtĂ©s, qui se prenaient rĂ©ellement au jeu d’infirmiĂšre, saupoudrant le tout d’un cicatrisant avant de colmater via un pansement d’une attrayante couleur rouge. Elle gonfla ses joues une moue aux lĂšvres. Nya faut pas pleurer ! Sinon je serais toute triste ! »Presque aussitĂŽt le petit garçonnet, cessa de sangloter retenant ses larmes en se mordant la lĂšvre infĂ©rieure, ce qui le gratifia d’un cĂąlin affectueux de la part de la fillette, qui dans cette naĂŻvetĂ© candide sourit de toute ses blanches dents, venant frotter timidement son nez aquilin contre le sien avant de lui dĂ©rober un baiser, comme a son accoutumĂ©e certes mais de maniĂšre beaucoup plus Ă©motionel. Chaque fois que l’un de nous pleurera, l’autre le rĂ©confortera avec notre Bisou Papillon ! T’es d’accord ? » Alors je serais content de te voir pleurer souvent ! » DĂ©clara le charmant blond en baissant son regard au sol, rĂ©flexion dise a vive voix ce qui ne manqua pas de faire rire joyeusement la gamine, qui s’allongea tĂȘte sur les genoux de son prince Dans ce cas je pleurerais tout le temps
 » Marmonna d’une voix a demi-chuchotĂ©e l’enfant, qui serrait son petit coussin contre elle, regardant les aventures de l’éponge la plus cĂ©lĂšbre du petit DU FLASH BACK Non, ne dis pas ça voyons.. Ce n'est pas bien grave si tu ne sais pas quoi dire.. Ne t'inquiĂštes pas, le principal, c'est que nous soyons lĂ .. Et je ne te lĂącherai plus, promis.. Oui, je suis devenu basketteur dans l'Ă©quipe de Thierry Owaru ! Tu connais ce cĂ©lĂšbre entraĂźneur de l'Ă©quipe des Surrender ? À l'occasion je te le prĂ©senterai. Pour rĂ©pondre Ă  ta question, cela fait maintenant deux, trois mois que je suis Ă  New-York, je ne sais pas exactement. Puis non, ce n'est pas trop fatiguant, je fais avec. Et pour finir, depuis le temps, je fais aller. Tu sais, aprĂšs ton dĂ©part puis la mort de Maman et Papa, j'ai Ă©tĂ© achevĂ©.. Mais bon, tu es lĂ  maintenant, hein ? Tu ne me laisseras plus ! Alors ça va aller ! »Ses lĂšvres s’entre-ouvrir faiblement, dĂ©glutissant en silence en baissant son regard. Resserrant un peu plus son Ă©treinte autour de la main prince afin de lui faire passer parle biais de ce geste un message de prĂ©sence Ă©ternelle a ses cĂŽtĂ©s, afin d’écouter ses dolĂ©ances et ses peines. Tendrement elle dĂ©posa sa joue contre son Ă©paule, jouant avec ses doigts timidement. En souriant tristement en vue de l’humour avec laquelle son prince prenait les choses. Ce n’est pas sans avoir le cƓur lourd et le ventre en boule, qu’elle murmura ces quelques paroles dans le but d’apaiser Yohan. Oh...Mes CondolĂ©ances pour...pour
tes parents
Je me sens inutile de ne pas avoir Ă©tait lĂ  pour toi
 »Fermant lentement ses yeux, elle laissa s’élargir un peu plus son sourire en rĂ©pondant. Pour le Basket je le sais
Rien qu’a en voir tous les fans de NBY DAY BY DAY qui te regardent avec de grands yeux
Ce n’est pas pour rien que tu es l’enfant prodige u basket, c’est ça qui m’a permit de retrouver tas trace
Et..Tu as un magnifique joueur
 » Ces mots furent dĂ©clarer avec une extrĂȘme tendresse, laissant volontairement son souffle chaud s’écrasait contre son cou. Tout en Se blottissant un peu plus contre lui, serrant le tissu de son haut entre ses doigts. Ce n'est pas une babiole ! Et pour rien au monde je ne l'aurai jettĂ©.. Pour rien au monde, tu m'entends ? »Harley ne put retenir un rire dĂ©licat, embrassant affectueusement la joue de ce dernier en se gardant bien de ne pas la lui tirer comme elle le fais enfant, elle prit nĂ©anmoins le soin d’effacer dĂ©licatement la marque de rouge au coin de sa bouche. Oui je t’entends je ne suis pas encore sourde
ça me fais plaisir de savoir que tu l’as gardĂ© depuis 15 ans
C’est long
 » Marmonna-t-elle nostalgique. Souriant a Peggy qui vint disposer les verres et de s’en aller presque aussitĂŽt criant Ă  tord et Ă  travers des nouvelle fois, de façon soudaine elle vit une inscription qui attira son attention agrippant le poignet de Yohan, elle caressa lentement les lettres de ce dernier, a peine eut-elle ouverte la bouche que Yohan l’a pris au dĂ©pourvu pour la questionner
DĂ©cidĂ©ment toujours aussi rapide
 .. Et toi alors ? Tout va bien.. ? Les amours.. ? »Les amours ? Point culminant, Mademoiselle est certes quelqu’un de trĂšs agrĂ©able a regarer on ne le niera pas
Mais aucun de ses rares relations n’a Ă©tait une rĂ©ussite, a peine une semaine si ce n’est quelque jours
Pas plus loin qu’un simple baiser ou un cĂąlin. Taquine et joueuse elle dĂ©clara en sirotant lentement son Whisky. Bof
Ce n’est pas une grande rĂ©ussite
Je suis sans doute trop Ă©trange pour accrocher un garçon
Et puis je n’arrĂȘte pas de leurs parler de toi
Ils doivent ĂȘtre jaloux
AprĂšs tout ça n’a rien de sĂ©rieux, a peine quelques jours et encore
 De toute maniĂšre
Je prĂ©fĂšre attendre mon prince »  »Appuyant considĂ©rablement sur les deux syllabe formant le dernier mot, comme si elle sous-entendait qu’il s’agissait du beau blond a ses cĂŽtĂ©s. Et toi ? Beau gosse comme tu es, pas de jolies filles hystĂ©riques qui te courent aprĂšs ? Et ça ? C’est pas le nom de tas copine ? C’est sympa on a le mĂȘme
 » Murmura-t-elle en continuant de caresser du pouce son poignet, quoique la pensĂ©e qu’il est une amourette, ne put que lui lacĂ©rer le cƓur..Le dĂ©chiqueter, mais elle s’efforçait de rester souriante, et rieuse. Et
Tu sais tu devrais ne pas prendre de forte dose
 » Murmura-t-elle mĂšre-poule comme elle est, alors que l’éternel Peggy passer lĂ  Roh t’inquiĂšte si tu voyais ce qu’il siffle en parlant de toi ! » LĂącha-t-elle de vive voix. Yohan !C’est vrai ce qu’elle dit ? Je veux pas te savoir malade
 » Murmura-t-elle tremblante en cherchant dans son sac un paquet de cigarette Merde
 » Murmura-t-elle en rongeant ses ongles, anxieuse, ne sachant que faire. Visiblement tĂ©tanisĂ© Mais
Je m’inquiĂšte hein ? Tu un sportif et tu dois faire attention
 » Marmonna-t-elle en souriant lĂ©gĂšrement comme pour se rassurer Mais bon
Si tu me parlais de ton genre de filles, de tes copines
Si l’une t’as fais souffrir je la dĂ©coupe en rondelles ! » Dit-elle gaiement en plantant une paille dans le verre de son chĂ©ri, sirotant un peu du breuvage Sa pique, je le bois qu’en soirĂ©e ! » DĂ©clara-t-elle les yeux humides a cause de l’ mon bel hĂ©ros, confies-toi a tas douce princesse © Never-Utopia InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Sam 8 Sep - 1632 Yohan & Harley » Une vie sans amour, c'est une vie sans soleil. Alors sois mon soleil. »Les souvenirs sont les plus beaux cadeaux que la vie puisse offrir aux hommes. Les souvenirs sont les seuls choses qui nous relient au passĂ©. Il y en a des douloureux. Mais il y en a aussi de trĂšs bons. MĂȘme de trĂšs trĂšs bons. Pour Yohan par exemple ! Il gardait en sa mĂ©moire, certains mauvais souvenirs qu'il ne voulait plus se remĂ©morer. Mais les bons, - pratiquement tous avec Harley - sont agrĂ©ables, donc y repenser, lui fait parfois, le plus grand bien. D'ailleurs il y repense souvent. MĂȘme trĂšs souvent ! Il se revoit, petit, avec ses yeux d'une innocence enfantine. Harley et lui-mĂȘme, assit sur le canapĂ© en train de regarder l'Ă©ponge jaune vivant sous l'eau ! Ou de regarder les aventures fulgurante de notre cher Dora, qui Ă  ce jour, sont parfois trĂšs critiquĂ©s par les plus grands. Mais enfant, au fond, ces dessins-animĂ©s plaisaient. Il se rappelle aussi qu'Harley avait la petite habitude de dĂ©verser un paquet de chips dans un gros saladier, ainsi que deux verres bien remplis de limonade, verre que souvent, Yohan ne finissait pas. Souvent aussi, Harley ne voulait pas le laisser repartir Ă  l'orphelinat ! Elle le gardait de force contre elle en le suppliant de dormir ce soir-lĂ  chez elle, puis bien souvent, le petit garçon finissait par se plier aux ordres et aux dĂ©sirs de sa princesse. Tel un bon chevalier !Il se rappelait aussi que parfois, il y avait des disputes. Parce que Yohan Ă©tait trop inoffensif et se laissait frapper par les grands, pour cause ? Il Ă©tait dans un orphelinat. Et Harley lui disait Ă  chaque fois d'aller les dĂ©noncer aux maĂźtres et maĂźtresses. Mais la peur que tout cela continue faisait qu'il n'y allait pas. Le plus drĂŽle Ă©tait le fait, que dĂšs que quelqu'un touchait Ă  son Harley, mentalement ou physiquement, Yohan rentrait dans une colĂšre folle et allait frapper la personne en question. Et oui, au fond, un petit bagarreur. Mais cette soirĂ©e-lĂ  Ă©tait faite pour les retrouvailles ! Les souvenirs, il y penserait plus tard. Il finit alors tout doucement d'essuyer les yeux de la demoiselle, un sourire grand et protecteur aux lĂšvres. Lentement, le basketteur la laissa prendre ses mains dans les siennes, comblant les x entre ses doigts. Mains entrelaçaient, regard plongeaient mutuellement dans celui de l'autre. Ils Ă©taient assez proches finalement. MĂȘme trĂšs proche. Le regard bien-veillant de Yohan se posa sur les lĂšvres de la demoiselle, avant de secouer la tĂȘte et de rire Ă  ses paroles. Larmes de joie, ou pas, je ne veux rien savoir. Laisse-moi profiter de ce visage que je n'ai pas pu voir depuis plus de quinze ans. D'accord ? » Dit-il en rigolant faiblement, avant de soupirer joyeusement Ne t'en fais pas, Harley. Plus rien ne pourra nous sĂ©parer... » Redit-il alors, d'une voix quelque peu nostalgique..C'est vrai. Le destin, la vie de chacun, avait dĂ©cidĂ© de les sĂ©parer. Pourquoi eux ? Les amoureux insĂ©parables ? Comme ce NoĂ«l-lĂ .. OĂč rien ne semblait pouvoir les Ă©loigner..FLASH BACKC'Ă©tait le mois de dĂ©cembre. Inutile de vous dire que la neige tombait avec force et fouettait le visage des enfants tous aussi joyeux, les uns que les autres. Yohan et Harley, eux Ă©taient blottit dans une bonne grosse couverture, sur la terrasse. Avec de tout petit yeux, ils regardaient le ciel Ă©toilĂ© et attendait juste une seule chose. Un seul moment. L'explosion de couleur qui devrait avoir lieu aux douze coups de minuit. Les tĂȘtes levĂ©es pour ne pas rater le grand spectacle, du grand feu d'artifice. Toujours blottit contre son Harley, Yohan posait sa petite tĂȘte sur ses genoux et riait tendrement. Il pinçait doucement les joues de sa petite Harley, pour ensuite se faire chatouiller. Un vrai jeu d'enfant heureux ! VoilĂ  dĂ©jĂ  une heure qu'elle s'Ă©tait rĂ©veillĂ©e, aprĂšs avoir donnĂ© le beau petit collier Ă  son Yohan. VoilĂ  une heure dĂ©jĂ , que le feu d'artifice c'Ă©tait Ă©teint. Et voilĂ  donc une heure qu'il Ă©tait restĂ© lĂ , dans le froid, en train de cĂąliner sa princesse qui dormait. Regard posĂ© sur son beau pendentif qu'il ne cessait de le faire sourire, Yohan regarda sa princesse se rĂ©veiller. Harley.. ? Il faut rentrer.. Tu vas attraper froid.. » Murmura-t-il en Ă©ternuant, avant de timidement, se relever Ă  ses cĂŽtĂ©s et de lui tendre un joli paquet. Tiens, c'est pour toi ! »Aussi vite qu'il lui ait donnĂ© ce prĂ©sent, le garçon prit ses jambes Ă  son cou et courut jusque dans la chambre de la demoiselle, en se cachant sous les draps. Harley quant Ă  elle, ouvrait lentement le paquet, puis put dĂ©couvrir avec joie, un joli petit nounours Ă  la teinte brune. Bien-sĂ»r, elle alla rejoindre Yohan, puis dans une Ă©treinte amoureuse, elle murmura Merci mon Prince ! C'est vraiment mignon.. »Ensemble, ils se couchĂšrent dans le lit, en se cĂąlinant timidement, avec une certaine joie. Le regard fermĂ© de la petite fille, faisait sourire Yohan. Lentement, il caressa sa joue, murmurant d'une voix douce et innocente Je suis et je serai toute ma vie, amoureux de toi.. »FIN DU pensĂ©es du garçon furent dissipĂ©es par les paroles de sa petite Harley, qui prĂ©sentait ses condolĂ©ances. Il apprĂ©ciait quelque part, ses tendres caresses faites sur sa main. Yohan la laissa ainsi s'appuyer sur son Ă©paule, dĂ©posant un doux baiser sur le haut de son front. Le regard amoureux et heureux, le garçon soupira joyeusement. La prĂ©sence d'Harley lui faisait rĂ©ellement un bien fou.. Il se mit Ă  rire en voyant qu'elle jouait encore avec ses doigts. DĂ©cidĂ©ment, elle n'avait rĂ©ellement pas changĂ©. C'Ă©tait toujours la mĂȘme ! En plus belle ! Et plus dĂ©sirable pour les yeux de notre basketteur. Et oui, c'Ă©tait une premiĂšre pour un garçon de vingt-cinq ans. Peut-ĂȘtre que certains auraient pu se moquer de lui.. Mais tellement amoureux de son amie d'enfance, le garçon avait prĂ©fĂ©rĂ© ne pas se donner Ă  une de ses filles. Inutile dans dire plus, ces quelques lignes sont claires et trĂšs prĂ©cise. Il n'avait jamais eu d'amourette d'un ou deux jours. Il n'avait jamais embrassĂ© les lĂšvres d'une autres filles que son Harley - Le dernier baiser remonte Ă  quinze ans. Non, il l'avait attendu.. Elle, juste elle. Juste sa princesse. La femme avec qu'il imaginait sa vie. L'Ă©pouser, devenir pĂšre. Mais le problĂšme reste toujours le mĂȘme. Elle ne devait certainement pas l'aimer. Pour le Basket je le sais...Rien qu'a en voir tous les fans de NBY DAY BY DAY qui te regardent avec de grands yeux...Ce n'est pas pour rien que tu es l'enfant prodige du basket, c'est ça qui m'a permit de retrouver tas trace...Et..Tu as un magnifique joueur... »Le souffle chaud de la demoiselle s'Ă©crasant contre son cou, ne put que le faire frissonner. Il ferma lentement ses yeux et se laissa bercer par sa voix. Sa douce voix mĂ©lodieuse, qui quelque part, lui avait tellement manquĂ©.. Ses paroles qui Ă©taient toujours aussi gentilles et rĂ©confortante.. Yohan se mit Ă  sourire faiblement. Il voulait Ă  son tour, la rassurer. Harley.. Pour mes parents, ne t'en fais pas. Tu n'y peux rien.. Ce n'est pas de ta faute si tu es partie. MĂȘme si tu n'Ă©tais pas lĂ , ton collier m'apportait toute la force dont j'avais besoin.. Alors, parlons d'autre chose, je n'ai pas envie de gĂącher cette si magnifique soirĂ©e.. »Le regard du basketteur se voulut soudainement doux et tendre. Il se mit Ă  rire Ă  ses nouvelles paroles, lui faisant ainsi une petite pichenette sur le front. Mais cependant, il ne fit pas que rire. Bien au contraire, il se mit Ă  rougir avec violence, Ă  cause d'un simple baiser de la part de sa princesse. Le regard dĂ©tournĂ©, il se mordit la lĂšvre. Ces baisers lui avaient rĂ©ellement manquĂ©s.. Tu n'as pas changĂ© ! Je sais bien que quinze ans c'est long.. Mais tu comprends, je ne pouvais pas m'en sĂ©parer. Je suis fou de t.. Ce collier. »Murmura-t-il avant de rougir faiblement. Il s'en Ă©tait fallu de peu et ses sentiments Ă©taient dĂ©voilĂ©s..Lentement, il revint sur les paroles prononçaient concernant ses fans. Il se mit Ă  rire tendrement et dĂ©clara Je n'ai pas autant de fans. C'est surtout pour se faire connaĂźtre, tu sais.. Et je ne suis pas si sĂ»r.. Je ne joue pas si bien que ça tu sais. Je chute souvent.. »Yohan dĂ©tourna alors lentement le regard. Il allait enfin avoir la rĂ©ponse Ă  cette question qui lui faisait tellement peur. Harley, as-tu un petit ami ? As tu eus des ex-petits amis ? Est-ce que tu es amoureuse ? Yohan serait-il plus qu'un ami ? Tant de questions, tellement..La demoiselle avait cependant repĂ©rĂ© le tatouage du garçon. Elle avait prit son poignet et caressait le prĂ©nom de la jeune fille, qui n'Ă©tait autre que le sien. Rouge. Brulant.. Le ventre serrĂ©, le coeur lacerait, le garçon regarda Harley par politesse. Et bien Ă©videment, il se mit Ă  rougir un peu plus. Alors comme ça, elle parlait de lui Ă  ses ex-petits amis ? Chose qui lui rĂ©chauffait le corps, mais qui le lui dĂ©chirait aussi.. Alors elle avait eu des petits amis.. Yohan baissa son regard aussitĂŽt. Il se mit Ă  sourire faiblement, Ă  la suite de ses paroles. Et toi ? Beau gosse comme tu es, pas de jolies filles hystĂ©riques qui te courent aprĂšs ? Et ça ? C'est pas le nom de tas copine ? C'est sympa on a le mĂȘme... »Un petit rire d'ailleurs sortit de ses lĂšvres. Essayant de mettre de cĂŽtĂ© le fait qu'elle aurait pu avoir des aventures avec quelqu'un d'autre que lui-mĂȘme, Yohan se dĂ©cala faiblement et attrapa son verre lentement, posĂ© depuis un petit moment par Peggy. Le portant Ă  ses lĂšvres, il en but quelques gorgĂ©es, avant de murmurer lentement, d'une voix douce et sincĂšre ArrĂȘte de dire ça.. Je ne suis pas si beau que ça, Harley.. Et puis oui, il y a toujours des fans hystĂ©riques, mais c'est toujours pour la cĂ©lĂ©britĂ©. Que je sois beau ou pas. Et ça, ce n'est pas le prĂ©nom de ma copine, idiote.. C'est ton prĂ©nom.. »Le basketteur levant son regard vers celui d'Harley. Il le plongea dans le sien et ne le lĂącha plus. Malheureusement pour lui, Harley, -toujours aussi inquiĂšte pour son Yohan qu'avant !- lui conseilla alors de ne pas prendre trop d'alcool. Seulement voilĂ . Peggy passait par lĂ . Et Peggy lui dit alors qu'il en avait l'habitude, des fortes doses. Yohan ne put qu'Ă©carquiller les yeux et que serrer nerveusement le poing sous la table, en dĂ©tournant le regard. Merde.. Fallait qu'elle passe par lĂ  ! Le regard bien trop inquiet, la voix tremblante de la jeune demoiselle, ne plaisaient pas Ă  Yohan. Il ne fallait vraiment pas qu'elle s'inquiĂšte pour ça.. Yohan en avait vraiment l'habitude aprĂšs tout. Comme pour essayait de se rassurer, la belle demoiselle changea de conversation, puis posa une question inattendu Ă  Yohan. Quel Ă©tait son genre de fille.. Yohan poussa un long soupir. Tout d'abord, il se releva, puis prit place Ă  cĂŽtĂ© d'Harley, en plaquant sa main sur la sienne, la lui caressant faiblement. Il se mit Ă  sourire en la voyant planter sa paille d'ailleurs, dans son verre de Wisky bien trop fort pour elle ! Le garçon rigola et recula le verre vers lui Hey ! Ne bois pas ça ! Tu crains cet alcool ! Je ne veux pas te voir malade toute la nuit ! Et puis, oui Maman ! Ne t'inquiĂšte pas ! Je fais attention Ă  moi, promis. Tu connais Peggy, elle dĂ©forme toujours un peu la rĂ©alitĂ© ! Ne t'en fais pas pour moi, d'accord puce ? »D'un geste bien veillant et qui se voulut protecteur, il attira tout contre lui la demoiselle et embrassa sa tempe en riant. Le garçon la cĂąlina. Il ne la lĂącha plus du tout.. Dans la salle, malgrĂ© les cris des jeunes, les rires et les disputes, la musique Ă©tait toujours prĂ©sente. D'ailleurs les deux jeunes gens se trouvaient juste sous deux hauts parleurs, pouvant ainsi mieux entendre la musique. Et vous savez quelle musique ? Just the way you are » de Bruno Mars, une des chansons prĂ©fĂ©rĂ©es d'Harley, qui, dĂ©jĂ  toute petite, disait que le garçon qui lui chanterait sa chanson, deviendrait l'homme de sa vie ! -Parole de petite fille Ă  peine ĂągĂ©e de dix Alors lentement, Yohan se mit Ă  sourire faiblement, serrant sa main un peu plus. Harley.. Tu te rappelles.. ? Petit, toi et moi.. Le jour de NoĂ«l.. Je te disais que je serai toujours Ă  tes cĂŽtĂ©s et que je t'aimerai toujours.. Tu t'en rappelles, hein ? Et bien depuis ce jour, je n'ai jamais eu de petites amies.. Jamais une seule.. Parce qu'une seule fille, un seul prĂ©nom, me hante l'esprit depuis le CP. Depuis mes cinq/six ans.. »Yohan, pour la premiĂšre fois, maintenait son regard. Il le maintenait, sans vouloir le quitter. La chanson arrivait vers la fin. Yohan prit son courage Ă  deux mains et commença Ă  chantonner les paroles, que la belle aimait temps, au mĂȘme rythme que la musique When I see your faceThere's not a thing that I would changeCause you're amazingJust the way you areAnd when you smileThe whole world stops and stares for a whileCause girl you're amazingJust the way you areThe way you areThe way you areGirl you're amazingJust the way you areWhen I see your faceThere's not a thing that I would changeCause you're amazingJust the way you areAnd when you smileThe whole world stops and stares for a whileCause girl you're amazingJust the way you are.. »Yohan avait finalement prit la dĂ©cision d'affronter son regard. La chanson prit fin en mĂȘme temps qu'il finit les paroles. Lentement, il s'approcha d'elle, puis murmura lentement aux creux de son oreille Harley.. Listen to my voice.. I Love you... »Yohan dĂ©posa par la suite, son regard dans le sien. Il serrait doucement sa main, de son regard triste et abattu. Lentement, il murmura Je t'ai aimĂ©.. Je t'aime.. Et je t'aimerai toute ma vie.. Je suis toujours autant amoureux de toi.. Comme enfant.. Je sais que ça ne doit pas ĂȘtre rĂ©ciproque, que tu n'es pas intĂ©ressĂ© par le genre de type.. Comme moi.. Mais je tenais Ă  te le dire.. Je suis toujours amoureux.. De ma princesse.. »La voix tremblante et nouĂ©e, montrait un rĂ©el dĂ©chirement. Il dĂ©tourna alors son visage, surement pour cacher la tristesse..© Never-Utopia InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Sam 20 Oct - 145 Unverre pour nos retrouvaillesHarley And YohanJe T'aime Idiot !»Wanna see my face ?Megan FoxRP Hey ! Ne bois pas ça ! Tu crains cet alcool ! Je ne veux pas te voir malade toute la nuit ! Et puis, oui Maman ! Ne t'inquiĂšte pas ! Je fais attention Ă  moi, promis. Tu connais Peggy, elle dĂ©forme toujours un peu la rĂ©alitĂ© ! Ne t'en fais pas pour moi, d'accord puce ? »Une moue arrondit les lĂšvres vermeilles de la jeune fille qui se calla bien confortablement contre son ami d’enfance. Aimant Ă  se sentir enveloppait au creux de ses bras, elle sirotait mollement sa boisson, avant de rĂ©pliquer d’un air digne d’une gamine jouant a la grande. Je ne pas un bĂ©bĂ© ! J’ai bu bien plus d’alcool que ce que tu ne le crois ! » Ironiquement, en sa prĂ©sence. Elle retrouvait ses attitudes de bambin, elle oubliait mĂȘme combien elle peut ĂȘtre brutale et froide, cette carcasse tombait. Et hardiment elle se montrait sous son vrai jour. Rieuse, bonne-vivante et milieu de leurs cĂąlineries, qui passaient discrĂštes au milieu de tous le brouhaha des jeunes gens. Une Musique bien familiĂšre sonna aux oreilles d’Harley, qui d’un bon se redressa lĂ©gĂšrement, afin d’en savourer la moindre note, la moindre parole... Juste The way you are » De gaietĂ© de cƓur, elle dĂ©clarer fermement –non sans rire de sa bĂȘtise- J’épouse celui qui me la chante ! Allez Venez tentez votre chance ! ».Les enceintes placĂ©es juste au-dessus d’eux, permettaient une belle Ă©coute. La sulfureuse brunette toute ouĂŻe, s’accoudait a la table en fer, et fermer les yeux rĂȘveuse. En se laissant bercer par la voix suave de Bruno Mars, fredonnant d’une voix a demi-chuchotĂ©e, dandinant son visage de droite a gauche, ou un dĂ©licat sourire errer et adoucissait ses beaux traits. Harley.. Tu te rappelles.. ? Petit, toi et moi... Le jour de NoĂ«l.. Je te disais que je serai toujours Ă  tes cĂŽtĂ©s et que je t'aimerai toujours.. Tu t'en rappelles, hein ? Et bien depuis ce jour, je n'ai jamais eu de petites amies.. Jamais une seule... Parce qu'une seule fille, un seul prĂ©nom, me hante l'esprit depuis le CP. Depuis mes cinq/six ans.. »Yohan la tira de sa rĂȘverie, entre-ouvrant ses yeux Ă  ses dires. Elle se retourna, le dĂ©visageant lĂ©gĂšrement interloquĂ©e par ce qu’il disait. Quelque part, son cƓur martelait, et le feu la prenait aux joues. Elle se remĂ©morait, les sourires et les baisers innocents Ă©changĂ©s Ă  l’ombre d’un pommier, ou au pied d’une balançoire. Le sommeil partagĂ© aussi bien que les jeux. Leur candide amour, d’une immaculĂ©e tendresse et naivetĂ©e, qui respire les jours heureux d’une vie commune. Deux personnes qui semblent avoir Ă©taient faĂźte pour vivre ensemble Ă©ternellement...Ainsi il n’a donc pas oublier ? Il a toujours espĂ©rer la revoir... ? Il l’a toujours aimĂ©...Toujours ? Ces doctes pensĂ©es suffirent a faire sourire la demoiselle qui fuyait son regard, portant le sien sur un quelconque objet mĂȘme s’il revenait invariablement s’encrer dans celui mielleux du bel basketteur. When I see your faceThere's not a thing that I would changeCause you're amazingJust the way you areAnd when you smileThe whole world stops and stares for a whileCause girl you're amazingJust the way you areThe way you areThe way you areGirl you're amazingJust the way you areWhen I see your faceThere's not a thing that I would changeCause you're amazingJust the way you areAnd when you smileThe whole world stops and stares for a whileCause girl you're amazingJust the way you are.. »Les derniers couplets de la chanson, se dĂ©versĂšrent un chant tendre qui exprimait une sorte de dĂ©sir des plus affectueux. Une Chamade africaine faisant valser son cƓur et palpiter ses veines. Des Frissons hĂ©rissaient les rares mĂšches errantes sur sa nuque. La Belle, plissa ses lĂšvres, ne parvenant Ă  articuler une parole intelligible, comme si sa voix se fut Ă©teinte dans sa gorge. Silencieuse, pareille a une dĂ©vote devant la plus ardente des fĂ©licitĂ©s. Les Mains entrelacĂ©s en une Ă©treinte moite qui faisaient surgir milles pensĂ©es a ses sens en Ă©veil, quand brusquement Un Haut le cƓur la saisit, Remarquant pour la premiĂšre fois les distances si proches qu’elle partageait avec lui ». Sa bouche s’était glisser a son oreille et y’avait murmurĂ©, non sans une lueur de crainte –sans doute du a la peur d’ĂȘtre rejetĂ©-. Harley.. Listen to my voice.. I Love you... »Le Poids qui pesait sur son ventre, s’allĂ©gea brusquement. Cette simple dĂ©claration la rendait ivre de joie, et pourtant la moralitĂ© » venait et tenter de voiler la face de la princesse, lui susurrant d’acerbes pensĂ©es. Voulant l’éloigner de cet amour si longuement chĂ©ri, cet amour qui lors de ses nuits solitaires prenait l’apparence d’une chimĂšre quasi parfaite, chimĂšre qui avait toujours les mĂȘmes traits que le chĂ©rubin dont elle Ă©tait Ă©prise. Elle qui parfois, assise au pied de son lit, redessinait son portrait puis tenter de le vieillir pour se faire une idĂ©e. Que-ce qui la retenait pour enfin capturer ses lĂšvres en un baiser ? Baiser qui pourrait traduire en une fraction de secondes tous ses rĂȘves, toutes ses espĂ©rances, tous ses dĂ©sirs. Y peindre une palette infinie de sentiments, tous d’une sincĂ©ritĂ© troublante. Je t'ai aimĂ©.. Je t'aime.. Et je t'aimerai toute ma vie.. Je suis toujours autant amoureux de toi.. Comme enfant.. Je sais que ça ne doit pas ĂȘtre rĂ©ciproque, que tu n'es pas intĂ©ressĂ© par le genre de type.. Comme moi.. Mais je tenais Ă  te le dire.. Je suis toujours amoureux.. De ma princesse.. »Pourquoi dĂ©tournes-tu ton visage ? Ô prince, Pourquoi as-tu tant de tristesse sur ton visage ? Certes la peur d’ĂȘtre rejetĂ© est imminente, tous s’attendrais a Non Yohan...On est seulement des bons amis » Ou bien cette phrase d’une absurditĂ© monstre Je ne veux pas gĂącher notre amitiĂ© ». Quelque part, ses craintes Ă©taient justifiĂ©es, Ă  son regard abattu et Ă©teint. On y voit une certaine souffrance, une peur. Il se rattachait toujours Ă  elle et ferait tout pour la garder, jusq’à mimer une amitiĂ© ou il y cacherait ses sentiments, afin de pouvoir l’étreindre. Ce qui est la parfaite copie du comportement et des pensĂ©es d’Harley. Qui s’hasarda sans mĂȘme pensĂ©e a ce qu’elle faisait, a apporter sa main sur sa joue, la caressant de maniĂšre vaporeuse et peut-il penser qu'elle ne puisse pas l'aimer ? Comment peut-il penser qu'il n'est pas son genre ? La Princesse est et sera toujours amoureuse du mĂȘme prince...Toujours.. 
Yo..Yohan
Je
Je n’ai jamais oubliĂ© ce que tu m’as dis
 » Murmura-t-elle en se rapprochant de lui, 
Je
J’ai toujours chercher un moyen de te revoir
Ne serait-ce par le biais d’une photo
Tu
Tu es quelqu’un
de rĂ©ellement important a mes yeux
Et je pense le seul
 » D’un coup sa voix s’éteignit, pourtant son expression interprĂ©tait tous ce que son cƓur retenait comme passions. Et dans un geste digne d’une comĂ©die elle se pencha lentement. Les lĂšvres tremblantes et humides d’un Ă©clat gourmand
 Mais que-ce que je fais ! » Pensa-t-elle tout d’un coup, en se redressant d’un bon, fuyant aussitĂŽt le lieu, en accourant a travers les tables et les consommateurs, ouvrant prĂ©cipitamment la porte du bar, en sortant de l’atmosphĂšre chaude et dĂ©lectable du Ginger’s, prenant de plein fouet la fraĂźcheur nocturne, ou s’y mĂȘle un parfum imperceptible de feuillage et de pollution. Les Jambes molles et tremblantes, elle dĂ©ambulait. Ivre d’ardeur et de ferveur, en direction d’une ruelle Ă©troite, se tenant au mur. Elle fixait au loin les lumiĂšres de la ville, qui se reflĂ©tait sur ses iris humides. Je suis vraiment trop conne.. . » LĂącha-t-elle en s’adossant contre un mur suintant, ou de vieilles affiches jaunis, peinaient a y tenir leurs lambeaux. Les yeux encore portĂ©e sur les nĂ©ons du bar, y cherchant l’ombre de l’élu de son cƓur. Elle enfonça ses longues dans son poignet dĂ©jĂ  fort meurtri Quelle Conne ! »Lasse et aigrie elle se laissa glisser sur le trottoir, ombre inerte. Comme une Junkie aprĂšs uen trop forte dose d’extasie. La lumiĂšre blanchĂątre d’un rĂ©verbĂšre illuminait son visage d’un Ă©clat sans pareille...Des larmes coulĂšrent, laissant des zĂ©brures nettes... Je t’aime... » Murmura-t-elle comme ci elle eut vu le visage de Yohan dans ses hallucinations sourdes.© Never-Utopia InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Mer 24 Oct - 2014 Yohan & Harley » Une vie sans amour, c'est une vie sans soleil. Alors sois mon soleil. »Il ne pouvait plus rien faire. Il ne pouvait plus rien dire. Il Ă©tait juste dĂ©sarmĂ©. Il ne pouvait plus affronter son regard. Il ne pouvait plus dire qu'il Ă©tait Ă©perdument amoureux d'elle. Maintenant, elle l'avait surement comprit. Il n'Ă©tait plus aussi fort qu'il y a quelques semaines. Cet homme qui, depuis deux ans, vivait Ă  New-York, n'avait jamais Ă©tĂ© aussi triste devant quelqu'un. Surtout devant Harley. Elle qui, depuis toute petite, avait toujours eu l'image d'un Yohan souriant et bon enfant, ce n'Ă©tait plus le cas Ă  cette heure-ci, heure des rĂ©vĂ©lations, en plus. Clairement, le fait d'avouer ce qu'il ressentait Ă  Harley le libĂ©rait d'un gros poids. Mais quelque part, c'Ă©tait se mettre volontairement la corde au cou. Est-ce qu'Harley l'aimait, elle aussi ? Est-ce qu'elle n'Ă©tait pas Ă©prise d'un autre, bien secrĂštement ? Est-ce qu'aprĂšs toutes ses nouvelles, voudrait-elle encore de son Yohan ? Nul ne le savait. Uniquement Harley, Ă  prĂ©sent. Quel idiot ! Il aurait dĂ» attendre.. Attendre que le temps passe. C'Ă©tait son plan de dĂ©part, Ă  la base ! Cette soirĂ©e n'aurait dĂ» ĂȘtre que la soirĂ©e des retrouvailles ! Mais pourtant, il ne pouvait plus contenir tout cet amour en lui, tout cet amour dont il avait rĂ©ellement besoin. Il voulait ĂȘtre Ă©goĂŻste, sur ce coup-lĂ , et n'avoir Harley qu'Ă  lui tout seul. La seule pensĂ©e qu'un autre homme que lui avait pu l'embrasser, la toucher, la serrer dans ses bras, le rendait vraiment jaloux. Mais que pouvait-il y faire ? Harley Ă©tait maĂźtresse de sa vie amoureuse et de son destin. Yohan n'avait pas le droit d'interfĂ©rer entre ses amours et il le savait. Et il l'acceptait. MĂȘme s'il en souffrait, il l'acceptait. Il aurait toujours tout fait pour l'Ă©lue de son coeur, concrĂštement. Il avait toujours tout fait pour la voir sourire, rire et ĂȘtre il aurait dĂ» attendre.. Quel idiot de croire qu'Harley pouvait ĂȘtre encore amoureuse d'un homme comme lui. Quel idiot de croire qu'elle Ă©tait encore charmĂ©e par la petite bouille d'ange qu'il Ă©tait auparavant. Quel idiot d'avoir mis brutalement leur relation amicale en danger ! À cause de ses aveux, peut-ĂȘtre qu'elle ne voudrait plus jamais le revoir ! Peut-ĂȘtre qu'elle ne voudrait plus jamais l'entendre ! Peut-ĂȘtre qu'elle voudrait ne plus jamais lui parler. SĂ©rieusement,t u aurais dĂ» attendre, Yohan.. Tu aurais dĂ» prendre ton mal en patience.. Mais il n'y arrivait plus. C'Ă©tait vraiment dur d'ĂȘtre Ă  vingt-cinq ans, un homme cĂ©libataire qui ne faisait que repousser les filles pour attendre celle qu'il aimait. La derniĂšre fille qu'il avait embrassĂ© ? Harley. La derniĂšre fille qu'il avait cĂąlinĂ© ? Harley. Harley, Harley, Harley. Ce prĂ©nom ne cessait de revenir, dans toutes les situations possibles. Bien-sĂ»r qu'il avait conservĂ© son corps, son ĂȘtre entier Ă  Harley. Bien-sĂ»r qu'il ne l'avait jamais fait ! Oui, les coups d'un soir, il ne connaissait pas et ne connaĂźtrait jamais, puisqu'aprĂšs tout, il vivait pour Harley. Ce serait elle, ou rien, sa premiĂšre expĂ©rience. Il avait rĂ©ellement dit ce qu'il pensait Ă  Harley. Ses sentiments Ă©taient Ă  prĂ©sent dĂ©voilĂ©s, et nul ne pouvait faire quoique ce soit pour allĂ©ger les coups de marteaux qui frappaient son coeur de plein fouet. Il Ă©tait soudainement tout paniquĂ©. Il avait soudainement, la boule au ventre. La gorge nouĂ©e. Les yeux baissĂ©s qui reflĂ©taient clairement, une atroce souffrance. PitiĂ©, qu'elle ne le rejette pas. C'Ă©tait tout ce que pouvait prier Yohan. Lui qui avait imaginĂ© maintes et maintes fois le scĂ©nario ! Lui qui avait imaginĂ© comment garder le sourire et ne pas montrer sa tristesse devant la femme de sa vie ! VoilĂ  que toutes ses idĂ©es tombĂšrent en Ă©tait clairement incapable de se forcer Ă  sourire. Il ne pouvait plus aborder ce regard doux et tendre qu'il avait portĂ© aux yeux de la demoiselle il y a de cela quelques minutes. Maintenant, il n'Ă©tait qu'un tas de cendre, qui, si l'on souffle dessus, finirait par ne plus exister. Sa main moite, certainement plus que celle d'Harley, agrippait la sienne. On le sentait crispĂ© et dĂ©semparĂ©, presque perdu, au milieu de la cour des grands. Pourquoi devait-il ĂȘtre tombĂ© amoureux de la femme la plus jolie au monde, mais aussi la plus inaccessible pour lui ? Elle n'avait jamais vu Yohan autrement qu'un meilleur ami, et il s'Ă©tait toujours obstinĂ© Ă  vouloir plus. À la vouloir, elle. Harley. Elle hantait ses pensĂ©es, elle hantait ses rĂȘves, ses moments de solitudes. Et puis elle hantait une chose bien plus importante, puisque oui, elle hantait son cƓur. Elle aurait beau lui faire du mal, Yohan ne pourrait jamais le lui en tenir rigueur. Jamais ! Il Ă©tait tellement accrochĂ© Ă  elle. C'Ă©tait la seule qu'il mĂ©ritait. C'Ă©tait rĂ©ellement la seule. Il ne pouvait pas voir sa vie se faire avec quelqu'un d'autre. Ni avoir des enfants, ni se marier, avec une autre qu'une certaine Harley ». C'Ă©tait impossible. Soit il serait heureux, soit il serait déçu, ce soir. Mais il avait tellement peur. Tellement. Et toute cette peur ne passait pas inaperçue, bien loin de lĂ  ! On pouvait la voir sur le fait qu'il soit crispĂ©, que son regard se soit soudainement dĂ©nuĂ© de toute forme de vie, sur le fait qu'il se soit blanchit en quelques secondes maintenant. Non, concrĂštement, on ne pouvait pas le regarder et se dire qu'il avait l'air heureux. Dans ces cas-lĂ , il aurait bien prit une cigarette ! Mais non, pas devant elle. Il n'avait pas le droit. Alors il se contenta de mordre tout lentement sa lĂšvre. Tout doucement. Ce petit geste lui permettait de souffler un bon coup, avant d'attendre tout signe, toute parole venant de l'Ă©lue de son coeur. Qu'est ce qu'il allait devenir si elle lui disait Non, restons amis. » ? Qu'est ce qu'il allait devenir ? Qui serait-il ? Plus personne. Il pourrait mĂȘme se renfermer sur lui-mĂȘme, se taire, ne plus rien dire Ă  personne. Il pensait, il pensait tellement, qu'il sursauta doucement en sentant la main d'Harley se poser sur sa joue. Un geste. Tout en se rapprochant de lui, la demoiselle murmura ...Yo..Yohan...Je...Je n'ai jamais oubliĂ© ce que tu m'as dit... J'ai toujours cherchĂ© un moyen de te revoir...Ne serait-ce par le biais d'une photo...Tu...Tu es quelqu'un...de rĂ©ellement important Ă  mes yeux...Et je pense le seul... »Etait-elle sincĂšre ? Est-ce qu'elle ne jouait pas avec lui ? Est-ce qu'elle disait ça juste pour ne pas lui faire du mal ? Yohan se mĂ©langeait. Il releva doucement son petit regard vers le sien. Il l'observait, sans comprendre. A vrai dire, il ne pouvait plus rien comprendre. Elle n'avait jamais oubliĂ© ce qu'il lui avait dit ? Tant mieux.. Cela rassurait Yohan qui rebaissa son regard quelques secondes pour le replonger une seconde fois dans celui de la demoiselle. Le fait qu'elle ait toujours cherchĂ© Ă  le revoir lui rĂ©chauffer lentement son coeur. Son pauvre coeur meurtri. Yohan ne savait plus quoi penser. Il ne savait plus quoi dire, quoi faire. Que dire ? Que faire ? Il la vit cependant se rapprocher doucement. Tout doucement mĂȘme. Harley se pencha vers l'avant, ses lĂšvres Ă©taient humides et entrouvertes. Yohan la regarda un long moment puis dĂ©cida de fermer les yeux. Il pensait avoir enfin leur premier baiser. Leur tout premier baiser.. Du moins, Harley semblait le vouloir aussi, par tous ses gestes. Mais alors qu'il s'apprĂȘta Ă  unir leurs lĂšvres dans un timide baiser, la demoiselle se releva d'un coup. Elle avait fuit. Elle n'Ă©tait plus dans le bar, aux cĂŽtĂ©s de Yohan. Elle n'Ă©tait plus Ă  cĂŽtĂ© de lui. Elle ne lui souriait plus, ne lui tenait plus la main. Elle Ă©tait partie.. Yohan ouvrit ainsi ses yeux, conscient qu'elle n'avait finalement jamais voulu de ce baiser. Conscient que sa rĂ©ponse Ă©tait non.. Mais quel idiot ! Il regarda le vide. Le siĂšge qui Ă©tait Ă  ses cĂŽtĂ©s. Le siĂšge qui accueillait il y a de cela quelques minutes, Harley. Et son coeur ? Il se brisa littĂ©ralement. Finalement, il repartirait déçu. Il devait s'y attendre, non ? Qui s'intĂ©resserait Ă  un type comme lui ? Il Ă©tait prit d'une soudaine haine. Il se haĂŻssait soudainement d'avoir dit tout ça Ă  Harley. Il avait besoin d'elle.. C'est pour ça qu'il se releva d'un coup et traversa les tables et les chaises Ă  vives allure pour finir par ĂȘtre dans la la cherchait du regard. Il cherchait son Harley, mĂȘme s'il Ă©tait pĂąle. MĂȘme si ses yeux Ă©taient au bord des larmes et mĂȘme s'il tremblait. MĂȘme si son cƓur Ă©tait en miette et mĂȘme s'il avait envie d'hurler sa haine. Il s'avança ainsi dans les ruelles, se demandant oĂč elle Ă©tait passĂ©e. Il regardait de partout, vraiment de partout, mais pu finalement voir sa princesse.. LĂ , assise sur le trottoir. Le garçon inspira un bon coup et essaya de ravaler toutes ses larmes qui auraient dĂ» Ă  la basse, exploser. Il savait qu'Harley ne supportait pas le voir pleurer.. Pourquoi la torturer en fondant en larme ? Elle culpabiliserait certainement, elle s'en voudrait, et Yohan ne voulait pas de tout ça. C'est ainsi que le jeune basketteur s'avança vers son amie, prĂ©fĂ©rant penser Ă  elle avant de penser Ă  lui. Il s'agenouilla devant elle et pu voir son visage en larme, image qui lui remit les larmes aux yeux. Maintenant, c'Ă©tait lui qui culpabilisait. Il avait fait pleurer Harley.. Il n'avait pas le droit.. Doucement, il releva la demoiselle et sous le rĂ©verbĂšre sous lequel ils Ă©taient, il l'attira en une douce Ă©treinte contre lui, sans rien dire pendant un bon moment. Que pouvait-il dire ? Telle Ă©tait la question. Finalement, le garçon embrassa doucement la joue de la demoiselle, passant son index sous ses yeux mouillĂ©s, essuyant ainsi, toutes ses larmes, mĂȘme si les siennes Ă©taient encore prĂȘtes Ă  tomber en une cascade. Yohan plongea son regard dans le sien, son regard larmoyant et triste, abattu et dĂ©chirĂ©. Il murmura d'une voix nouĂ©e et tremblante ..DĂ©solĂ©.. DĂ©solĂ© Harley.. Je ne voulais pas te faire pleurer..DĂ©solĂ©.. Je n'aurais pas dĂ» te dire ce que je ressentais pour toi depuis toutes ses annĂ©es.. DĂ©solĂ©.. Je ne voulais pas te faire pleurer ma puce.. »C'Ă©tait des surnoms affectifs qu'ils s'Ă©taient toujours donnĂ©, mĂȘme si pour Yohan, c'Ă©tait un surnom plus qu'affectif. C'Ă©tait sa puce ». Son amour. Sa princesse.. Il la regarda et se mit Ă  lui faire le plus beau sourire qu'il pouvait, puis se mit ainsi Ă  rire doucement, voir mĂȘme tristement Je suis bĂȘte ! Ce n'est pas toi Harley.. Ne t'en fais pas.. Vraiment, ne t'en fais pas ! Je n'aurai pas dĂ» te dire que j'Ă©tais toujours amoureux de toi. Je sais que tu ne t'intĂ©resses pas aux types dans mon genre ! DĂ©solĂ© Harley.. Tu as le droit d'ĂȘtre heureuse, princesse.. Vraiment.. J'ai Ă©tĂ© trop idiot de croire que tu serais encore intĂ©ressĂ©e par moi ! Tu as dĂ©jĂ  dĂ» me supporter petit, alors grand, je n'imagine pas. DĂ©solĂ©, je ne voulais pas te faire pleurer.. Vraiment.. Fais-moi plaisir, oublies tout ce que je t'ai dit.. Oublies tout ça, et restons les meilleurs amis du monde ! Et souris ! Je dĂ©teste te voir pleurer, tu le sais, pas vrai.. ?..Et je m'attribue la libertĂ© de frapper le premier qui te fera pleurer encore.. Je te l'ai promis, personne ne pourra te faire du mal, sans craindre des reprĂ©sailles.. Parce que quoi qu'il en soit, je te dĂ©fendrai toujours, ma princesse.. Toujours..»Tels Ă©taient ses murmures, dit avec une grande sincĂ©ritĂ©, mĂȘme si sa voix se nouait Ă  la fin de ses paroles. MĂȘme si ses Ă©motions Ă©taient contradictoires avec ses paroles, laissant une petite larme couler de son oeil gauche. Finalement, il n'avait pas pu tenir. C'Ă©tait tellement dur de ne pas pleurer aprĂšs tant d'annĂ©es d'espoirs. Il s'essuya aussitĂŽt cette larme et garda ce mĂȘme sourire, pour faire croire Ă  Harley qu'il ne le prenait pas si mal que ça. Certainement pour lui faire croire que tout irait bien ! Mais non, rien n'irait bien sans elle. Vraiment rien.. Le garçon la serra alors dans ses bras avec force, murmurant des excuses s'en s'arrĂȘtait. Il ne s'arrĂȘtait plus de s'excuser, de se justifier.. En tout cas, l'Ă©poque oĂč ils Ă©taient petits Ă©taient vraiment rayĂ©e ! Au temps de leur amour innocent, Harley lui volait un doux baiser pour calmer ses pleurs ou pour le faire taire ! Et Ă  ce moment-lĂ , le basketteur se mit en tĂȘte qu'il ne pourrait plus jamais toucher ses lĂšvres..© Never-Utopia InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Lun 29 Oct - 2117 Unverre pour nos retrouvaillesHarley And YohanJe T'aime Idiot !»Wanna see my face ?Megan FoxRP Un filet incessant de teintes rutilantes, des lumiĂšres aveuglantes sur une tapisserie onyx, le bourdonnement d’une musique pop-rock, et le bruissement des voitures sur le goudron humide. Le vent lĂ©ger, qui claquait les affichettes jaunies en lambeaux. La chaleur chatouillant et martelant ses tempes, les joues prenant une teinte garance ou le sang semblait s’y accumuler, l’affable et passionnĂ©e Ă©treinte dont la sensation provoquait des frĂ©missements incessants
Comment ? Ou ? Pourquoi ?Il y’a a peine quelques instants, elle Ă©tait Ă  boire et Ă  taquiner un charmant basketteur, jouant l’offusquĂ©e et la religieuse a l’entente d’un juron prononcĂ©. Essayant de mĂ©langer deux alcools forts, tout en imitant la voix de Betty Boop. Et d’un coup, avec une prĂ©cipitation effarante, la voilĂ  assise sur le pavĂ©, le visage en larmes et le regard incertain, tentant en vain de distinguer une forme concrĂšte, se sentant perdue comme dans La Jornica » de Picasso. Elle caressa les dalles suintantes, en se mordant la lĂšvre Ă  sang, S’insultant intĂ©rieurement de tous les noms. Et pleurant en secret sa peine. Pourquoi ne pas avoir tout simplement embrassĂ© Yohan ? Lui susurrer de suaves promesses, lui murmurer tant et combien elle l’aime
 ? La peur
La peur de le perdre, la peur de ne plus pouvoir l’étreindre a cause d’une de ces bagatelles qui surviennent dans les disputes de couples ou bien de lui dire une monstruositĂ© qu’elle regrettera, la peur de lui attirer des ennuis a cause de son travail
La certitude qu’elle n’est pas la fille qui lui soit digne, que si son amour est toujours existant, c’est bien parce qu’il est toujours rattachĂ© a l’image de cette petite fille qui gĂ©missait et boudait jusqu’à ce qu’on lui permette de courir a l’orphelinat pour jouer avec son prince ». AprĂšs tout, il Ă©tait la futur Ă©toile du basket amĂ©ricain » ? Le Nouveau Tony Parker », dĂ©jĂ  il avait ses groupies et son public
Elle n’oserait lui briser sa carriĂšre a cause d’une relation amoureuse
Ils se dĂ©sirent, ils s’aiment
Mais s’il advenait que l’un dĂ©truise la vie de l’autre ? N’est-ce point lĂ , la pire des atrocitĂ©s et des insensibilitĂ©s ?Cherchant a justifiĂ© son geste, voulant ĂȘtre vertueuse pour la premiĂšre fois de sa vie. Non et non ! Il ne me mĂ©rite pas ! Et mĂȘme les couples ne durent jamais longtemps
La preuve avec Papa et Maman
Non
Il m’oubliera
Il en aimera d’autre
Et ainsi il sera heureux
Et moi aussi
 » Et Ă©nigmatiquement, cette pensĂ©e suffit a saigner son cƓur, le hachant en tessons. Comme si un fer chauffĂ© Ă  blanc vint lui brĂ»ler la plus infime partie de sa une main moite vint lentement la relever. Automate, vĂ©ritable poupĂ©e manipulable. Elle ne rechigna point, se contenta de se blottir doucement contre Yohan, dont elle percevait la chamade son coeur. Laissant se peindre en l’espace d’un instant une physionomie dĂ©licate et mĂ©lodieuse, mignonne et grĂȘle devint sa figure ou luisait sur un front d’une blancheur raffinĂ©e un air noble et virginal. Ses cheveux auparavant sauvages et enivrants, s’enroulĂšrent et respirĂšrent une religieuse innocence, se prĂ©sentant comme une naĂŻade ingĂ©nue Ă©chappĂ©e d’un Ɠuf de fĂ©e, que le moindre souffle dissiper. Sa bouche rouge, parlait de passion mais reste muette, l’apparence indolente, calme et consciente. Elle avait cette suavitĂ© et cette candeur qui gĂźt dans la femme passionnĂ©e et Ă©prise. ..DĂ©solĂ©.. DĂ©solĂ© Harley.. Je ne voulais pas te faire pleurer..DĂ©solĂ©.. Je n'aurais pas dĂ» te dire ce que je ressentais pour toi depuis toutes ses annĂ©es.. DĂ©solĂ©.. Je ne voulais pas te faire pleurer ma puce.. »Un demi-sourire anima ses traits, Ă  la fois nerveux et se voulant rassurant. Il fĂźt dĂ©glutir la jeune femme, qui tenter d’arrĂȘter ses pleurs pour lui ». En se redressant lĂ©gĂšrement, lui faisant face dans le petit jour Ă©purĂ©e produit par le rĂ©verbĂšre solitaire ou ils Ă©taient entrelacĂ©s, Harley vint lentement caresser son cou de son pouce en arborant sa mimique la plus touchante. En continuant d’écouter calmement ce qu’il ajoutait. Je suis bĂȘte ! Ce n'est pas toi Harley.. Ne t'en fais pas.. Vraiment, ne t'en fais pas ! Je n'aurai pas dĂ» te dire que j'Ă©tais toujours amoureux de toi. Je sais que tu ne t'intĂ©resses pas aux types dans mon genre ! DĂ©solĂ© Harley.. Tu as le droit d'ĂȘtre heureuse, princesse.. Vraiment.. J'ai Ă©tĂ© trop idiot de croire que tu serais encore intĂ©ressĂ©e par moi ! Tu as dĂ©jĂ  dĂ» me supporter petit, alors grand, je n'imagine pas. DĂ©solĂ©, je ne voulais pas te faire pleurer.. Vraiment.. Fais-moi plaisir, oublies tout ce que je t'ai dit.. Oublies tout ça, et restons les meilleurs amis du monde ! Et souris ! Je dĂ©teste te voir pleurer, tu le sais, pas vrai.. ?..Et je m'attribue la libertĂ© de frapper le premier qui te fera pleurer encore.. Je te l'ai promis, personne ne pourra te faire du mal, sans craindre des reprĂ©sailles.. Parce que quoi qu'il en soit, je te dĂ©fendrai toujours, ma princesse.. Toujours..»Oh que oui, il a toujours frappĂ© et avec une force dĂ©concertante. Ceux qui s’avisaient petits Ă  la faire pleurer ou a la rendre vaine. Entre-autre, c’est l’une des nombreuses qualitĂ©s qui la faisait louer les louanges de son hĂ©ros » et ainsi avoir un prĂ©texte pour l’entraĂźner avec elle pour un goĂ»ter
Douce et NaĂŻve Ă©poque, ou elle se permettait sans l’ombre d’une pudeur a lui dĂ©rober un baiser afin de le faire taire lorsqu’il jouait les modestes, ou bien pour arrĂȘter miraculeusement ses pleurs. C’était le temps, ou leurs amour » avait une amabilitĂ© sucrĂ©e. Le temps ou ils croyaient que rien ne pourraient les sĂ©parer, ou ils bĂątissaient ensemble leurs avenirs, et prĂ©parer des projets
C’était il longtemps
 
Yohan
Combien de fois t’ai-je dis que tu es un idiot ? »Murmura-t-elle en glissant son pouce sous la partie infĂ©rieur de son Ɠil, essuyant quelques larmes solitaires 
Idiot
Tu n’as pas compris ? Je t’aime
Je t’aime depuis toujours
Je n’osais pas te le dire
J’avais peur de te froisser
J’ai peur que si l’on venait a sortir ensemble
On se disputera
On se dira des horreurs
Pour ne plus jamais se revoir
Tu en connais qui vivent heureux jusqu’à ce que la mort les sĂ©pares ?Moi non
C’est ça dont j’ai peur
Et puis je suis pas sĂ»r d’ĂȘtre digne de toi
Bien-sur que j’aime les types de ton genre, vu qu’il n’y a qu’un seul exemplaire et qu’il est devant moi
Yohan
Je t’ai aimé Je t’aime
Et Je t’aimerais
Ce n’est pas ce qu’on s’est dis
Il y’ a longtemps ? Ca peut paraĂźtre stupide pour plusieurs
Pour toi peut-ĂȘtre
Mais j’ai toujours entretenu la flamme de nos souvenirs comme ma plus grande richesse
Et
 » D’un geste vif, elle essuya les zĂ©brures humides sur ses joues vermeilles 
Je veux bien arrĂȘter de pleurer
Si toi aussi tu arrĂȘtes de pleurer
 »Commenta-t-elle avant de voir une perle salĂ©e roulait sur sa joue I Love you
 » Susurra-t-elle en glissant lentement ses bras autour de son cou, l’enlaçant de façon vaporeuse, avant de capturer ses lĂšvres en un langoureux baiser. Le visage inclinĂ© de cĂŽtĂ©, les battements et les soupirs joint a l’homme de sa vie
Elle traduisait a travers ce geste toutes ses Ă©motions
Tout ce qu'elle avait gardĂ© en elle pendant toutes ses annĂ©es, toutes ses craintes, toutes ses peurs de tantĂŽt. Elle les avait subitement oubliĂ©s, elle noyait tout ceci en une Ă©treinte passionnĂ©. Elle crĂ©ait en l'espace d'un instant tous les rĂȘves au quels elle aurait pu aspirer. L'Ăąme libĂ©rĂ©e, le coeur lĂ©ger...Elle refuser de lĂącher Yohan...Au loin, sous la lueur clignotante du rĂ©verbĂšre, tĂ©moin fidĂšle de ces noces silencieuses. Le couple avait l'air d'une apparition fuyant les jardins d'Eros, venant embellir ce lieu du fruit d'un amour tendre...Le dernier mot Ă©changĂ© en un soupir fĂ»t un charmant " Je t'aime"...© Never-Utopia Contenu sponsorisĂ© Empire State of Mind Sujet Re Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Un verre pour nos retrouvailles ! PV Yohan Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclage Avec ce tutoriel photo, Brico-Phone vous accompagne lors de la pose de la protection Ă©cran en verre trempĂ© de votre smartphone. Diagnostic â€ș ProtĂ©ger l'Ă©cran de votre smartphone. Pour commencer PrĂ©parez un espace de travail propre et dĂ©gagĂ© pour commencer la pose du verre trempĂ© de protection. Etape 1 Nettoyer l'Ă©cran Dans un premier temps, saisissez-vous de la lingette humide pour nettoyer l'Ă©cran de votre smartphone. Etape 2 Finaliser le nettoyage Saisissez-vous de la lingette en microfibre et passez-la sur tout votre Ă©cran pour terminer le nettoyage de l'Ă©cran. Etape 3 Retirer les poussiĂšres Pour cette troisiĂšme Ă©tape, prenez en main de sticker et appliquez-le simplement sur votre Ă©cran pour retirer les derniĂšres poussiĂšres. Cette Ă©tape est importante car s'il reste des poussiĂšres, des bulles apparaitront lors de la pose du verre trempĂ©. Etape 4 Positionner la protection Maintenant que votre Ă©cran est parfaitement propre, il est temps de mettre le verre trempĂ© sur votre Ă©cran. Pour cela, retirez le sticker se trouvant sur la protection et venez le positionner sur l'Ă©cran. Nous vous conseillons de vous aider de la grille du haut-parleur pour faciliter l'alignement de la protection sur l'Ă©cran. Une fois la protection en verre trempĂ© en place, munissez-vous de la lingette en microfibre pour faire pression et sortir les quelques bulles d'air restĂ©es entre l'Ă©cran et la protection. Fin du tutoriel ! Avec ce tutoriel photo, Brico-Phone vous accompagne lors de la pose de la protection Ă©cran en verre trempĂ© de votre smartphone. Diagnostic â€ș ProtĂ©ger l'Ă©cran de votre smartphone.

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