Tendinites troubles digestifs, mal de dos, l’ostĂ©opathe agit sur l’ensemble du corps et aide ainsi les autres Ă  aller mieux. Devenir coach : un large choix de mĂ©tiers pour aider les autres. Depuis quelques annĂ©es, le mĂ©tier de coach connaĂ®t une ascension fulgurante. Coach sportif, coach de vie, coach beautĂ© ou encore coach professionnel, la profession se dĂ©cline dĂ©sormais dans de Outils programmes d’aide et de suivi. Une panoplie d’outils et de programmes d’aide et de suivi en santĂ© mentale existent. En cas de questionnement, de doute ou si vous avez besoin d’aide, n’hĂ©sitez pas Ă  les consulter. DĂ©couvrez les outils numĂ©riques et les programmes disponibles pour vous aider Ă  aller mieux. Prendredes nouvelles et poser des questions pour aider le travail de deuil. On se demande d’abord quoi dire quand quelqu’un est mort, alors que faire parler la personne endeuillĂ©e est souvent la meilleure approche. Quand votre ami ou quelqu’un de votre famille vient de subir la perte de quelqu’un de cher, c’est lui, et lui seul, qui Denouveaux outils qui visent Ă  les aider, eux et leurs proches, Ă  mieux rĂ©agir et Ă  les soutenir quand ça va mal sont maintenant offerts. PubliĂ© le 30 juin 2021 ✓ Lien copiĂ© Etape1 pour aller mieux après une rupture amoureuse : Ă©viter la dĂ©pression post-rupture. Il est tout Ă  fait normal d’être triste après une rupture difficile, ou mĂŞme d’être en colère. Dans ce cas Pourmieux gĂ©rer, pour pouvoir redescendre en pression, retrouver le calme, il faut donc pouvoir Ă©vacuer, il faut pouvoir se vider, pour reprendre des forces, rĂ©cupĂ©rer de l’énergie. Je me suis efforcĂ©e de procĂ©der Ă  un petit rĂ©capitulatif de ce qui pouvait aider Ă  mieux gĂ©rer son hypersensibilitĂ© et ses Ă©motions, aussi bien en Pourobtenir du soutien immĂ©diat ou accĂ©der Ă  des ressources pour un soutien Ă  court, moyen ou long terme. J’aimerais aider quelqu’un. Pour dĂ©couvrir du contenu Ă©ducatif sur la santĂ© mentale, apprendre Ă  reconnaĂ®tre les symptĂ´mes d’un trouble psychologique et savoir comment offrir son soutien Ă  quelqu’un dans le besoin. Je voudrais en savoir plus. Pour mieux comprendre la Alorssoyez-lĂ  pour lui en toute simplicitĂ©. Gardez vos inquiĂ©tudes pour vous. Communiquez-lui uniquement de la positivitĂ© pour l’aider Ă  aller mieux. 2/ Pour rĂ©conforter un(e) ami(e) dĂ©primĂ©(e), assurez-le de votre aide . Personne ne rĂ©agit de la mĂŞme façon face aux Ă©preuves que la vie nous fait subir. Chacun traite la peine et la douleur diffĂ©remment. PourgĂ©rer son hyper Ă©motivitĂ©, une personne sensible a besoin de contrĂ´ler son environnement pour mieux l’apprĂ©hender et se rassurer. Cela peut devenir un cercle vicieux, car tout contrĂ´ler ne mène pas Ă  la sĂ©rĂ©nitĂ© mais est au contraire anxiogène. Ce cercle vicieux peut rendre la personne Ă©motive et sensible comme envahissante Quandun adolescent est dĂ©pressif, la situation est difficile Ă  gĂ©rer pour lui, mais aussi pour ses parents.Ces derniers ne savent souvent pas comment rĂ©agir pour l'aider Ă  aller mieux. Ils sont surtout dĂ©munis quand leur ado leur fait part de ses envies suicidaires. Pour aider un adolescent Ă  sortir de ce trouble, Aline Nativel Id Hammou, psychologue clinicienne cyM2d. Dernière modification de l’article le 30 avril 2018 par Admin Comment aider une personne, un Ă©lève face Ă  des difficultĂ©s ? Voici 5 recommandations pour vous aider. Vous connaissez certainement cette situation vous voulez aider un Ă©lève ou plusieurs Ă©lèves Ă  surmonter leurs difficultĂ©s. Mais vous ne savez pas trop comment vous y prendre ; vous n’êtes pas un professionnel de l’accompagnement. Mais ce n’est pas parce que vous n’êtes ni coach scolaire ni thĂ©rapeute que vous ne pouvez pas aider, accompagner un Ă©lève ou un jeune si vous ĂŞtes Ă©ducateur. Bien au contraire. Mais, il est facile de faire des erreurs, d’avoir la mauvaise approche, comme par exemple la plus classique celle de vouloir donner des conseils. Autant dire que votre action sera peu, voire mĂŞme, pas du tout efficace. Vous perdrez votre temps. Voici 5 recommandations issues de la pratique narrative mĂ©thode d’origine australienne pour rĂ©soudre les problèmes que vous pouvez suivre. Sans faire de vous un professionnel, vous aurez la bonne dĂ©marche pour accompagner un Ă©lève. 1. La personne n’est pas le problème ! La personne est la personne, le problème est le problème, la personne n’est pas le problème ! » C’est l’un des principes de base des Pratiques Narratives. Après avoir Ă©coutĂ© les plaintes » – au sens narratif du terme – celle notamment d’être par exemple dans une section ou une Ă©cole Ă  mauvaise rĂ©putation avec les effets sur l’image qu’ils se font d’eux-mĂŞmes, nous arrivons très vite Ă  nommer le problème. Le fait de nommer le problème permet de le matĂ©rialiser, de l’externaliser. Dès lors, on peut parler de lui comme d’une personne extĂ©rieure Ă  celui qui en souffre. Le fait de considĂ©rer le problème comme sĂ©parĂ© de la personne aide celle-ci Ă  mieux mobiliser ses ressources. Le fait d’externaliser permet de crĂ©er un contexte oĂą le jeune se situe Ă  l’extĂ©rieur du problème et oĂą ce n’est plus le problème qui lui dicte qui il est vraiment. Et, enfin, externaliser permet de rĂ©duire la tendance Ă  mettre une Ă©tiquette sur les gens et les choses et Ă  les assimiler Ă  une pathologie. 2. Écouter les plaintes en Ă©vitant de conseiller L’objectif est de faire s’exprimer sur tout ce qui pose problème la ou les personnes qui a / ont besoin d’une aide, comme ici des Ă©lèves. Sur les effets que ces problèmes ont sur eux et sur leur vie Ă  l’école. Ne pas hĂ©siter Ă  leur demander d’illustrer leurs propos par des histoires vĂ©cues comme problĂ©matiques Ă© l’école. 3. Honorer leurs mots S’adresser Ă  eux en reprenant bien leurs mots et en validant et reformulant rĂ©gulièrement. Noter tout ce qu’ils disent prĂ©cieusement et le leur faire relire rĂ©gulièrement. Faire quelque chose de leurs mots, un premier pas pour prendre en compte leurs plaintes. 4. Externaliser le problème EnquĂŞter sur ce qui leur pose problème et le nommer. ConsidĂ©rer le problème comme sĂ©parĂ© du jeune. Cela va aider le jeune Ă  se mobiliser davantage face Ă  son problème. Le fait d’externaliser permet de crĂ©er un contexte oĂą le jeune se situe Ă  l’extĂ©rieur du problème et oĂą ce n’est plus le problème qui lui dicte qui il est vraiment. Une fois que la personne ne parle plus d’elle comme de quelque chose qui pose problème mais comme quelqu’un qui est affectĂ© par un problème, de nouvelles options apparaissent pour elle. Il devient plus facile de rĂ©flĂ©chir Ă  comment se mettre Ă  l’abri des effets du problème ». 5. Tisser avec eux une nouvelle histoire en honorant les rĂ©sistances Les gens rĂ©agissent toujours aux difficultĂ©s qu’ils rencontrent. Sinon, ils succomberaient. Cette capacitĂ© Ă  rĂ©agir est faite de compĂ©tences, de connaissances et de comprĂ©hensions qu’ils ont de leur vie. Ces compĂ©tences, connaissances et comprĂ©hensions ont une histoire. Pour aider ces Ă©lèves qui ont des difficultĂ©s, tisser avec eux une nouvelle histoire qui ne soit plus l’histoire Ă  problème, c’est rendre visible toutes ces compĂ©tences qu’ils ont construites sans les voir. C’est aller chercher avec eux toutes les exceptions – toutes les fois oĂą le problème » ne les a pas rattrapĂ©s, Ă©touffĂ©s, paralysĂ©s – et les relier comme les Ă©pisodes d’une nouvelle histoire. Plus on Ă©toffe cette nouvelle histoire, et plus l’histoire Ă  problème perd de son influence sur la personne, sur ses comportements. Et, en perdant de son influence, elle permet Ă  la personne de redevenir auteur de sa vie. Exercice aux Ă©lèves Qu’est ce qui vous aide Ă  vous sortir de situations difficiles ? » DĂ©crivez une chose une qualitĂ© que vous avez en vous ou que vous avez dĂ©veloppĂ©e et qui vous aide dans les coups durs. » Partagez une histoire oĂą cette qualitĂ© spĂ©ciale vous a vraiment aidĂ©. » Qui ne serait pas Ă©tonnĂ©, autour et près de vous, que vous ayez cette qualitĂ©-lĂ  ? » D’oĂą vous vient-elle ? Comment l’avez-vous acquise ou bien qui vous l’a apprise ? » Est-elle liĂ©e d’une façon ou d’une autre Ă  un groupe, Ă  votre famille, peut-ĂŞtre Ă  une communautĂ©, ou une culture Ă  laquelle vous appartenez ? » A la fin de l’exercice, chacun Ă©crivait la qualitĂ© qu’il s’était trouvĂ©e sur un post-it et venait coller celui-ci au tableau, et il devait dire au groupe sa qualitĂ© », comment il avait vĂ©cu cet entretien », ce qu’il avait appris sur lui-mĂŞme », ce que ça disait de lui ». Comment faire intervenir une personne quelques points clefs 1. Saisir l’opportunitĂ© de faire venir une personne qui a eu le mĂŞme parcours scolaire qu’eux et qui a nĂ©anmoins rĂ©ussi dans la vie. Une personne qui va incarner que c’est possible pour eux d’y arriver. 2. Leur faire rencontrer une personne du monde professionnel, un chef d’entreprise en l’occurrence qui va pouvoir rĂ©pondre Ă  leurs questions et les renseigner sur ce qu’un patron peut attendre d’un salariĂ©, pour les renseigner sur le monde du travail, sur le mĂ©tier de restaurateur. 3. CrĂ©er un contexte ou un tĂ©moin extĂ©rieur vient dire l’image qu’il a de ces jeunes et de ce que ces jeunes ouvrent comme nouvelles possibilitĂ©s dans sa vie. Ce qui va contribuer Ă  Ă©toffer l’histoire prĂ©fĂ©rĂ©e des jeunes et du tĂ©moin. Ce qui contribuera Ă©galement Ă  donner aux jeunes le sentiment de pouvoir », celui d’être capable d’apporter quelque chose Ă  l’autre, d’aider les autres. Comment faire face Ă  des Ă©lèves en difficultĂ© qui n’ont rien demandĂ© ? En apparence rien de bien très facile. Voici quelques principes CrĂ©er l’alliance, c’était rester vigilant sur trois points. A. ĂŠtre face Ă  eux sans a priori. J’arrivais face Ă  des jeunes qui, Ă  la fois, subissent le système scolaire et n’y sont pas valorisĂ©s, bien au contraire. Des jeunes Ă  qui l’on rĂ©pète en permanence qu’ils ont des problèmes ». Donc, pour crĂ©er l’alliance, ma posture face Ă  eux a Ă©tĂ© essentielle. Il fallait que je veille Ă  ne pas me laisser influencer par tout ce que je pouvais entendre sur eux ils sont violents, ils ne savent pas bien s’exprimer, ils ont des problèmes d’apprentissage, de concentration… Ce n’est pas toujours facile. Quand, par exemple, j’étais agacĂ©e par l’un d’eux, c’était un bon baromètre pour me signaler que je n’étais plus dans la bonne posture. J’avais glissĂ© de la posture d’accueil Ă  la posture d’attente. Or, la clĂ©, c’est de ne rien attendre, c’est d’accueillir ce qui vient. Telle est, selon moi, la bonne posture ĂŞtre dans l’accueil et sans apriori. B. Qu’ils sentent que je suis lĂ  pour eux Ils doivent ressentir que ce sont eux mes clients. Je suis avec eux, de leur cĂ´tĂ©, quoi qu’il arrive. Nous allons former une communautĂ©, fondĂ©e sur des règles que nous allons Ă©tablir ensemble. Nous allions faire un voyage. Je serai leur guide, mais c’est bien Ă  eux de dĂ©cider de la destination. Cela nĂ©cessite de ne rien faire qui les concerne sans les en informer, et qu’ils soient d’accord. Si, par exemple, un professeur veut assister Ă  une sĂ©ance, je leur demande au prĂ©alable s’ils sont d’accord. Et, s’ils sont d’accord, le professeur devra respecter nos règles. C. Jouer sur la rĂ©ciprocitĂ© de Y interaction Le dernier point se joue dans la rĂ©ciprocitĂ© de l’interaction. Je ne suis pas venue leur dire ce qu’ils doivent croire ou faire. Ils doivent ressentir que ce qu’ils me disent ou me montrent m’aide moi aussi. A leur contact, j’apprends et je progresse aussi. Ce qui est Ă©videmment vrai et qui leur permet, Ă  la fois, d’avoir envie de parler, de partager, et ensuite les rassure sur leur capacitĂ© Ă  apporter quelque chose Ă  l’autre. Faire Ă©merger une demande Pour qu’il y ait un vĂ©ritable coaching, il faut qu’il y ait une demande de la part de la personne coachĂ©e. La difficultĂ© première, avec mes jeunes clients, c’est qu’ils n’ont rien demandĂ©. On a voulu du coaching pour eux. Donc, mon travail consiste dans un premier temps Ă  leur faire prendre conscience de l’intĂ©rĂŞt d’une telle dĂ©marche pour eux, et ensuite Ă  leur faire produire des demandes. Pour cette mission, je n’avais pas moins de 65 demandes Ă  faire Ă©merger. Des demandes qui n’ont cessĂ© d’évoluer au fur et Ă  mesure de notre travail en commun. Pour rĂ©ussir Ă  mener Ă  bien cette Ă©tape, il m’a fallu expliquer ce qu’est le coaching et l’intĂ©rĂŞt que cela pouvait avoir pour eux. Il a fallu aussi que je valorise la dĂ©marche en leur disant que, lorsqu’on va voir un coach, qu’on a non pas un problème mais un projet, un objectif, et que le coach est lĂ  pour nous accompagner vers cet objectif. Leur faire expĂ©rimenter le statut d’expert Je dirai que, c’est Ă  nouveau une question de posture. Le coach narratif est un ignorant ». il doit sans cesse se rappeler. Ignorant dans la mesure oĂą c’est l’autre qui sait. C’est l’autre qui sait ce qui est mieux pour lui. Texte et dossier Dina Scherrer DiplĂ´mĂ©e en Ressources Humaines Coaching de l’universitĂ© Paris VIII, Dina Scherrer a fait la première partie de sa carrière professionnelle dans la communication, le dĂ©veloppement et la publicitĂ©, occupant divers postes de direction dans des entreprises de premier plan jusqu’à la direction du DĂ©veloppement et de la Communication d’un groupe de taille internationale. En 2006, elle dĂ©cide de reprendre ses Ă©tudes pour s’orienter vers le dĂ©veloppement des potentiels humains. Elle est formĂ©e aux Pratiques Narratives par Pierre Blanc-Sahnoun et Mediat Coaching. Les Pratiques Narratives dont les principes et la mĂ©thode ont Ă©tĂ© Ă©tablis par le psychologue australien Michael White 1948-2008. Depuis, elle a dĂ©veloppĂ© sa propre dĂ©marche d’accompagnement en entreprise auprès des cadres ou des Ă©quipes de direction et, comme elle aime l’idĂ©e que le coaching ne soit pas exclusivement rĂ©servĂ© aux patrons dans les entreprises, elle a dĂ©cidĂ© de mettre aussi son expĂ©rience au service des adolescents en Ă©chec scolaire. Elle est l’auteure d’Échec scolaire, une autre histoire possible L’Harmattan, 2011.- Pour voir le livre Cliquez ici Site de Dina ScherrerCliquez ici © Shutterstock 1/9 - Mettre son corps en mouvement Quand le sentiment d'ĂŞtre dans une impasse nous oppresse et nous cloue sur place, il faut s'obliger Ă  mettre son corps en action par le mouvement. Peu importe ce que vous faites ranger, cuisiner, couper des bĂ»ches, nettoyer, trier, bouger, marcher… Le fait d'agir, mĂŞme mĂ©caniquement, sans forcĂ©ment rĂ©flĂ©chir permet d'Ă©viter Ă  votre cerveau de crĂ©er des scĂ©narios catastrophes et d'augmenter votre sensation d'angoisse et votre lassitude. Le corps prend alors le relais sur le mental. Pierre Massot, psychopraticien et coach Le 05 sept 2021 Ă  07h00 [DIAPORAMA] Petites crises, d'angoisse, manque d'entrain au quotidien... que font les psy quand leur moral flanche ? Voici tous leurs trucs et astuces pour aller du sommeil, anxiĂ©tĂ© due Ă  l'anticipation de la journĂ©e Ă  venir, soucis familiaux, etc. peuvent vous confronter Ă  de fortes angoisses. Dans tous les cas, qu'elle qu'en soit la cause, des exercices de relaxation peuvent attĂ©nuer les effets de votre stress. Ces 3 pratiques de moins de 5 minutes peuvent ĂŞtre rĂ©aliser dès le rĂ©veil pour ne pas commencer la journĂ©e en Ă©tant le mĂŞme sujetL'exercice du ballonL'exercice du ballon se pratique 1 minute, dès que vous ouvrez les yeux le sur une chaise, veillez Ă  ne pas croiser vos jambes. Vos pieds sont ancrĂ©s dans le sol, votre dos bien les yeux, puis inspirez profondĂ©ment. Bloquez l'air reçu dans vos poumons. Posez vos mains sur votre poitrine et laissez libre cours Ă  votre imagination. Visualisez vos poumons comme un ballon de couleur lentement et profondĂ©ment. A cet instant, reprĂ©sentez-vous mentalement le ballon se dĂ©gonfler petit Ă  petit. Sur l'inspiration, imaginez qu'il se dilate de et dĂ©gonflez Ă  plusieurs reprises ce ballon. L'objectif reste de vous concentrer sur vos diffĂ©rentes sensations corporelles, jusqu'Ă  parvenir Ă  l'Ă©tat de dĂ©tente. Dès que votre esprit se laisse envahir par des pensĂ©es passagères ou des souvenirs, redirigez doucement votre attention sur la fil des sĂ©ances et du temps, vous pourrez prolonger cet exercice afin de le pratiquer 5 ou 10 du nuageA rĂ©aliser 5 minutes chaque matin, la pratique de cet exercice peut Ă©galement convenir aux personnes touchĂ©es par un stress confortablement et portez votre attention sur le plafond. Imaginez un ciel bleu fourni de quelques considĂ©rerez qu'un souci reste semblable Ă  un nuage. De loin, il semble dense avec une forme bien dĂ©finie. Cependant, en l'examinant de plus près, vous pouvez constater qu'il s'agit en rĂ©alitĂ© d'une simple masse de visualisez ces nuages s'Ă©loigner lentement. Lorsqu'ils ont disparu dans leur intĂ©gralitĂ©, il ne reste plus que le bleu du ciel ensoleillĂ© et profondĂ©ment pendant quelques instants inspirez par le nez et expirez par la bouche. Vous pouvez rouvrir vos yeux en de l'Ă©criture positiveChaque matin, quelques minutes après le petit-dĂ©jeuner, prenez le temps de regarder par la fenĂŞtre ou de trouver un coin extĂ©rieur agrĂ©able. Muni d'un carnet et d'un stylo, rĂ©alisez l'exercice des pensĂ©es d'abord toutes les pensĂ©es ou les idĂ©es nĂ©gatives qui vous traversent l'esprit. Le fait de les coucher sur le papier vous permet de les laisser dans votre carnet plutĂ´t que dans votre tĂŞte avant de commencer votre journĂ©e. RĂ©digez votre flot de pensĂ©e sans aucune retenue. L'objectif reste d'Ă©vacuer vos Ă©motions et de vous crĂ©er un deuxième Ă©tape consiste Ă  rĂ©diger des affirmations positives qui vous accompagneront pendant la journĂ©e entière. Ces affirmations peuvent incarner des objectifs, des souhaits ou des intentions rĂ©digĂ©es au prĂ©sent et Ă  la première personne. Lorsque vous mettrez cet exercice plusieurs fois en pratique, vous constaterez que votre confiance en vous prendra le dessus sur vos prenez quelques minutes pour noter les Ă©lĂ©ments, les personnes ou les moments de votre journĂ©e de la veille pour lesquels vous vous sentez reconnaissant. Il s'agit de comprendre ce qui vous procure de la gratitude et de mettre en exergue ce qui vous procure du dĂ©but de soirĂ©e, vous pouvez relire vos pensĂ©es du matin pour effectuer un bilan dĂ©taillĂ© de votre journĂ©e, afin d'en tirer tout le lire aussi 3 exercices pour calmer votre impatienceChants d'oiseaux, eau qui coule les bruits naturels sont efficaces contre le stressStress, angoisses... 6 exercices de psychomotricitĂ© pour lâcher-prise Inscrivez-vous Ă  la Newsletter de Top SantĂ© pour recevoir gratuitement les dernières actualitĂ©s © Shutterstock 2/9 - Observer de belles choses J'ai lu il y a quelques annĂ©es une Ă©tude du dĂ©partement de psychologie de l'universitĂ© de Yale qui dĂ©montrait qu'observer quelque chose de beau calmait l'amygdale cĂ©rĂ©brale et donc faisait baisser le taux de cortisol l'hormone du stress produit par le cerveau. J'Ă©tais Ă©blouie par la simplicitĂ© de mise en Ĺ“uvre de cette recette psychologique prendre le temps d'ĂŞtre saisi par la beautĂ© de quelque chose nous rend plus calme et apaise notre ĂŞtre. La beautĂ© d'une Ĺ“uvre, d'un lieu, d'une photo-souvenir ou de paysage… calme redoutablement le stress. Ariane Calvo, psychologue clinicienne.© Shutterstock 3/9 - Dessiner sa chambre d'enfant Toutes les activitĂ©s manuelles sont les bienvenues, mais il en est une qui rĂ©ussit souvent Ă  bien des patientes il s'agit de dessiner tout en couleurs, de la main non directrice gauche pour les droitiers, ou droite pour les gauchers sa chambre d'enfant, ses jouets d'enfant, la maison de son enfance, sa première Ă©cole, etc. Cette pratique est particulièrement puissante. En plusieurs dessins, au fil des semaines, elle rĂ©veille la mĂ©moire profonde des souvenirs Ă©motionnels enfouis et permet Ă  chacun de se rĂ©vĂ©ler Ă  soi-mĂŞme, dans sa nature sauvage, non domestiquĂ©e, lĂ  oĂą rĂ©sident ses forces vives et sa personnalitĂ© rĂ©elle Saverio Tomasella, docteur en psychologie, psychanalyste© Shutterstock 4/9 - S'accrocher Ă  une image ressource Comme l'image d'un dhoni sur les flots bleus d'une Ă®le aux Maldives, un paysage aĂ©rien de Corse. .. Un endroit oĂą j'ai passĂ© un moment particulièrement inoubliable. Au-delĂ  de l'image dans ma mĂ©moire, je cherche Ă  retrouver la douceur de l'air, les odeurs, l'Ă©tat de bien-ĂŞtre dans lequel je me trouvais au moment oĂą j'ai vĂ©cu cela. L'intĂ©rĂŞt ? CrĂ©er un espace de sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et de bien-ĂŞtre dans des moments anxiogènes, d'angoisse ou d'insomnies Laurence Haurat, psychologue nutritionniste© Shutterstock 5/9 - Marcher au moins une heure par jour Depuis les confinements, cette activitĂ© est devenue d'autant plus essentielle ĂŞtre en mouvement une heure par jour, laisser les pensĂ©es vagabonder en libertĂ©, amplifier la respiration, se concentrer sur les sensations corporelles, passer dans une pleine conscience active et calme Ă  la fois est l'une des choses qui me font le plus de bien au monde. Je rentre Ă  la maison en ayant refermĂ© tous les “dossiers mentaux” de la journĂ©e, toute “neuve” et disponible. Ariane Calvo, psychologue clinicienne.© Shutterstock 6/9 - Ne rien faire Il s'agit lĂ  du remède souverain pour la plupart de nos maux. Nous passons notre temps Ă  faire, Ă  pratiquer, Ă  mentaliser, Ă  causer, Ă  nous exercer, Ă  nous efforcer, Ă  nous justifier, etc. Alors, tout simplement, prenez un temps chaque jour pour ne rien faire du tout. Assise ou allongĂ©e, vous vous laissez vivre. Il n'y a pas de pression quant au fait de bien ou mal faire on ne fait rien ! ĂŠtre lĂ , un point c'est tout… Vous en tirerez de merveilleux bĂ©nĂ©fices, progressivement, et vous trouverez une sĂ©rĂ©nitĂ©, une distance, une force qu'aucune pratique ne pourra vous apporter. Saverio Tomasella, docteur en psychologie, psychanalyste© Shutterstock 7/9 - Remercier une personne par jour FĂ©liciter une personne, par exemple le boulanger pour son pain ou ses croissants, c'est le remercier pour quelque chose qu'il fait pour vous. Ainsi, vous reconnaissez votre existence et cela a un impact sur votre estime de vous. Vous pouvez aussi Ă©crire une lettre de gratitude Ă  quelqu'un qui a comptĂ© pour vous, mĂŞme de manière rĂ©trospective, par exemple Ă  votre grand-tante, Ă  une ancienne maĂ®tresse d'Ă©cole qui vous a donnĂ© le goĂ»t d'Ă©tudier, etc. Si vous ne voulez pas Ă©crire, vous pouvez faire cet exercice mentalement en commençant par “merci Ă  toi”… Dre AurĂ©lia Schneider, psychiatre spĂ©cialisĂ©e dans les thĂ©rapies comportementales et cognitives© Shutterstock 8/9 - Se recentrer en imaginant une flamme Visualisez une bougie au niveau de votre nombril et concentrez-vous sur sa flamme, pour rester connectĂ© Ă  vous-mĂŞme et Ă©viter de vous perdre dans les Ă©motions des autres. Chaque fois que vous sentez que vous entrez trop dans les ressentis de quelqu'un, revenez Ă  votre flamme intĂ©rieure. Ondine Khayat, psychothĂ©rapeute© Shutterstock 9/9 - Regarder les arbres... mĂŞme en photo Si vous ne vivez pas près de la nature, vous pouvez simplement visualiser des images d'arbres sur Instagram ou dans des livres, des cartes postales. Ce simple geste de reconnexion Ă  la nature permet de dĂ©stresser, et de prendre, malgrĂ© l'enfermement et la distance, un bol d'air. Une Ă©tude menĂ©e par le chercheur amĂ©ricain Roger Ulrich dans un hĂ´pital a d'ailleurs montrĂ© que les patients opĂ©rĂ©s de la vĂ©sicule biliaire rĂ©cupĂ©raient mieux lorsqu'ils occupaient une chambre d'hĂ´pital avec vue sur un paysage naturel, plutĂ´t que sur un mur ! Laurence Bourgeois, coach et consultante experte de la charge mentaleSur le mĂŞme sujet TĂ©lĂ©charger l'article TĂ©lĂ©charger l'article L'une de vos amises traverse un moment difficile. Si vous ĂŞtes un vrai ami, vous allez devoir trouver une manière de le soutenir. Parfois, les gens peuvent se sentir mal Ă  l’aise lorsque l’un de leurs amis vit une pĂ©riode difficile parce qu’ils ne savent pas quoi dire. Ne vous inquiĂ©tez pas. Une prĂ©sence positive peut ĂŞtre suffisante. Il existe des manières d’aider votre ami pour qu’il se sente mieux. 1 Gardez le contact mĂŞme s’il elle vous repousse. Vous ne pourrez pas aider votre ami si vous prenez vos distances dès qu’un problème se prĂ©sente. Pour ĂŞtre un bon ami, vous devez rĂ©pondre prĂ©sent s’il a besoin de vous parler tard le soir ou s’il est en pleurs. Certaines personnes voient les problèmes de leurs amis comme des nuisances. Ce n’est pas vraiment de l’amitiĂ©. MĂŞme s’il elle vous dit qu’il veut rester seul, vous devez au moins lui proposer de rester avec lui. Cependant, vous ne devriez pas le forcer Ă  parler s’il n’est pas prĂŞt Ă  le faire. Donnez-lui de l’espace s’il vous le demande, puis recontactez-le plus tard. Ne vous enfuyez pas. Certaines personnes ne sont pas sures de ce qu’elles doivent dire Ă  un ami qui traverse un moment difficile, c’est pourquoi ils ne disent rien ou elles prennent leur distance. Cela pourrait blesser encore plus votre ami. Votre objectif principal doit ĂŞtre de lui offrir votre soutien. Simplement en lui faisant savoir qu’il y a quelqu’un qui est prĂŞt Ă  l’écouter et qui se soucie de lui, vous pourriez dĂ©jĂ  aider votre ami Ă  aller mieux. Appelez-le, envoyez-lui un texto ou demandez-lui comment il va et s’il y a quelque chose que vous pouvez faire pour lui elle. Vous devez rester disponible lorsque vous le contactez. Gardez votre tĂ©lĂ©phone allumĂ© et parlez-lui Ă  deux heures du matin si un problème se prĂ©sente. RĂ©pondez Ă  ses textos. Ne soyez pas toujours trop occupĂ© pour l’écouter. Ne pensez pas que vous devez vous comporter de manière diffĂ©rente. Choisissez le bon environnement et Ă©vitez de le piĂ©ger s’il n’est pas prĂŞt Ă  parler. CONSEIL D'EXPERTE Laura est chef de programme d'Active Minds, le principal organisme sans but lucratif du pays qui soutient l'Ă©ducation et la sensibilisation des Ă©lèves en matière de santĂ© mentale. Avant Active Minds, Laura a dirigĂ© des actions de santĂ© publique Ă  la National Association of County and City Health Officials et Ă  l'universitĂ© Tulane. Elle est titulaire d'un master en santĂ© publique de l'universitĂ© Tulane. Elle est Ă©galement certifiĂ©e en tant que spĂ©cialiste de l'Ă©ducation Ă  la santĂ© par la National Commission for Health Education Credentialing. Laura Horne, MPH SpĂ©cialiste en Ă©ducation Ă  la santĂ© Si vous ne savez pas quoi dire, ne vous inquiĂ©tez pas. Laura Horne, Ă©ducatrice spĂ©cialisĂ©e dans la santĂ©, nous dit dans de nombreuses situations, il n'est pas nĂ©cessaire d'ĂŞtre une experte pour aider, il vous suffit d'ĂŞtre lĂ . Parlez avec la personne pour lui faire savoir que vous ĂŞtes lĂ  pour elle. Si elle en a besoin, vous pouvez lui recommander des organismes de support. » 2 Restez calme parce qu’il est dĂ©jĂ  assez Ă©nervĂ©. Soyez le soutien solide dont il a besoin pour traverser ce moment difficile. Si vous ĂŞtes aussi Ă©nervĂ© Ă  cause de ce qu’il se passe, essayez de ne pas trop le montrer. Ne paniquez pas. Si vous le faites, votre ami pourrait avoir l’impression que son problème est plus important ou qu’il n’y a pas de solution, ce qui va l’énerver encore plus. Sachez seulement que certaines personnes ont besoin de se sentir mal pendant un moment et que ce n’est pas un problème. MĂŞme si vous devez lui montrer de l’empathie, vous pourriez faire empirer son Ă©tat en lui montrant que vous vous apitoyez sur son sort. Ne prenez pas des dĂ©cisions impulsives qui pourraient faire empirer le problème. Après tout, vous ne comprenez pas ce qu’il traverse aussi bien que lui. Demandez la permission Ă  votre ami avant de faire quoi que ce soit pour arranger la situation. Observez ce qu’il ressent Ă  moins qu’il soit en danger ou qu’il soit la victime d’un abus, auquel cas vous devez en avertir une personne compĂ©tente. 3 Écoutez-le, mais n’oubliez pas aussi de lui parler de temps en temps. Vous devez l’écouter avec attention, mais il pourrait aussi lui ĂŞtre utile que vous lui parliez. Si vous voulez lui montrer que vous l’écoutez, vous devez le regarder avec empathie. Racontez-lui des histoires positives Ă  propos d’expĂ©riences et de rĂ©sultats positifs qu’ont vĂ©cus d’autres personnes ou que vous avez vĂ©cus vous-mĂŞme si vous pensez que cela peut l’aider Ă  se sentir mieux. Faites une pause et assurez-vous de l’écouter. Parfois, les gens ont seulement besoin de se plaindre et de laisser sortir leur frustration. Souvenez-vous que votre ami souffre dĂ©jĂ  assez. Restez positif, tout le temps. C’est la raison pour laquelle il s’est tournĂ© vers vous, parce qu’il avait besoin de votre aide. Laissez-le exprimer sa colère pendant un moment. Il a peut-ĂŞtre seulement besoin d’une oreille attentive. Vous pouvez simplement hocher de la tĂŞte pour lui montrer que vous le comprenez ou faire un commentaire, par exemple je vais t’aider si tu en as besoin. Tu es une personne forte ». 4 Utilisez diffĂ©rentes techniques selon les situations. Vous pourriez produire une rĂ©ponse diffĂ©rente selon la situation, par exemple si votre ami est en deuil d’un de ces proches ou s’il traverse une pĂ©riode financièrement difficile. Passez du temps Ă  faire des recherches Ă  propos de la situation Ă  laquelle il fait face. S’il a des problèmes financiers, vous pourriez l’aider en mettant en place un budget, en lui proposant de lui donner votre opinion objective Ă  propos de ses dĂ©penses ou en lui suggĂ©rant un conseiller financier. Faites très attention lorsque vous prĂŞtez de l’argent Ă  des membres de votre famille ou Ă  des amis. Cela peut ruiner une relation [1] . S’il est en deuil après un dĂ©cès ou la perte de qui que ce soit, sachez que les experts indiquent qu’il existe plusieurs Ă©tapes de deuil. Ces Ă©tapes sont le dĂ©ni, la colère, la nĂ©gociation, la dĂ©pression et pour finir, l’acceptation [2] . Offrez Ă  votre amie des solutions extĂ©rieures crĂ©dibles oĂą il peut demander de l’aide Ă  un expert ou Ă  une personne formĂ©e Ă  ce genre de situations. 5 Offrez un câlin rĂ©confortant Ă  votre amie. Vous pouvez aussi poser doucement votre main sur son Ă©paule. En utilisant le toucher pour montrer votre empathie, votre ami se sentira mieux ou au moins il saura que vous vous souciez de ce qu’il ressent. Parfois, il pourrait simplement avoir besoin que quelqu’un le prenne dans ses bras. Vous n’avez pas besoin de dire quoi que ce soit, il vous suffit d’ouvrir les bras et il vous prendra dans les siens. Gardez-le dans vos bras le plus longtemps possible, car cela lui montrera que vous ĂŞtes lĂ  s’il a besoin de vous. Faites-le rire. Chantez, dansez ou racontez-lui une blague. Une fois qu’il se met Ă  rire, il lui sera plus facile de s’en remettre et de rĂ©flĂ©chir Ă  ce qu’il peut faire. 1 Parlez de lui, pas de vous. MĂŞme si vous pouvez partager votre propre expĂ©rience si vous pensez que cela peut montrer votre empathie ou aider votre ami, vous devez rester concentrĂ© seulement sur votre ami et pas sur vous. RĂ©sistez Ă  l’envie de partager vos histoires pour lui montrer que vous avez traversĂ© des situations bien pires. N’essayez pas de tirer avantage de la situation pour parler de vos problèmes. Vous vous faites peut-ĂŞtre suivre la nuit par un clown tueur qui porte des lunettes de soleil. Cependant, vous devez vous concentrer maintenant sur les problèmes de votre ami par exemple son mariage ou son travail ou la situation qu’il traverse. Cela ne veut pas dire que vous ne pouvez pas trouver de points communs en lui rappelant une expĂ©rience personnelle similaire que vous avez surmontĂ©e. Cependant, vous devez rĂ©sister au besoin de suggĂ©rer que vous savez ce qu’il ressent parce que chaque situation est unique, donc gardez vos histoires personnelles au minimum. 2 Surveillez les clichĂ©s qui ne vont pas aider. Tout le monde a dĂ©jĂ  entendu les clichĂ©s du genre je sais ce que tu ressens mĂŞme si ce n’est pas vraiment le cas » ou alors cela pourrait ĂŞtre pire » alors que la situation est dĂ©jĂ  horrible. Au lieu de ces clichĂ©s, dites-lui des mots qui viennent du cĹ“ur et uniques Ă  sa situation. L’amitiĂ© consiste aussi Ă  savoir quand utiliser l’honnĂŞtetĂ© de manière efficace. Lorsque l’un de vos amis traverse une pĂ©riode difficile, vous devez Ă©valuer la situation et la traiter en la passant par votre propre point de vue. Mettez-vous Ă  la place de votre ami et ressentez ce qu’il ressent. Dites-lui que vous ĂŞtes dĂ©solĂ© pour lui et laissez-le exprimer ses Ă©motions. Évitez les conseils clichĂ©s dans ce genre de situation, car il pourrait croire que vous ne vous souciez pas vraiment de lui et cela pourrait le rendre encore plus triste. Soyez rĂ©aliste. Ne lui dites pas que tout va bien alors que tout va mal. Offrez-lui plutĂ´t de l’inspiration. 3 Restez positif tout le temps. Vous lui ferez encore plus de mal en le grondant et en lui disant des choses comme je t’avais dit que tu aurais dĂ» le faire plus tĂ´t » ou bien combien de fois t’ai-je dit de ne pas le faire ». Lorsque la conversation sera terminĂ©e, vous serez dĂ©solĂ© de lui avoir dit ce genre de choses. Si un ami recommence les mĂŞmes choses nĂ©gatives, vous pouvez le lui indiquer gentiment en lui donnant des conseils positifs Ă  propos de ce qu’il peut changer au lieu d’utiliser des phrases nĂ©gatives et accusatoires. Ne le jugez pas. C’est la chose la plus importante. Cela ne va pas l’aider et ce n’est pas le bon moment. RĂ©servez la conversation profonde Ă  propos de ce qu’il aurait dĂ» faire ou non pour après cette pĂ©riode de crise. Vous ĂŞtes lĂ  pour le consoler quand tout va mal, pas pour faire empirer la situation. Ne lui dites pas des choses mĂ©chantes comme je te l’avais dit » ou c’est de ta faute ». Imaginez la scène suivante. Vous ĂŞtes la meilleure amie de Lindsay et ses parents divorcent. Vous devez ĂŞtre prĂ©sente pour la laisser pleurer sur votre Ă©paule, pour qu’elle parle de ses problèmes et pour la rendre joyeuse. Mais non. Elle veut aussi passer du temps seule. PrĂ©parez-lui un petit paquet avec des films, des bonbons et des choses qui vont la faire rire. Soyez une bonne amie et aidez-la Ă  traverser ce moment difficile comme vous aimeriez qu’elle le fasse pour vous. 4 Proposez des solutions pour amĂ©liorer la situation. Donnez-lui les moyens de traverser ce moment difficile, ainsi qu’un peu de soutien Ă©motionnel. Aidez-le Ă  voir qu’il reste des choses positives dans sa vie. Rappelez-lui qu’il ne mĂ©rite pas ce qu’il lui arrive. Essayez de faire quelque chose, si possible, qui va changer les difficultĂ©s que doit affronter votre ami. Si vous ne savez pas quoi faire, essayez de faire des efforts pour trouver quelque chose Ă  faire qui sera utile Ă  votre ami. Par exemple, il pourrait ĂŞtre trop bouleversĂ© pour prĂ©parer le diner. Dans ce cas-lĂ , vous pouvez lui apporter Ă  manger. Proposez-lui de garder ses enfants ou ce genre de choses. MĂŞme si vous devez lui proposer des solutions constructives, en fin de compte, c’est Ă  lui de dĂ©cider ce qu’il veut faire. Laissez-le tirer ses propres conclusions et prendre ses propres dĂ©cisions. Vous devez lui montrer un soutien sincère. Dites-lui ce qu’il pourrait faire, mais ne lui donnez jamais de conseils si vous n’êtes pas sĂ»r de vous [3] . Votre objectif principal est de l’écouter tout en lui donnant de temps en temps des solutions ou des suggestions constructives et positives. Vous pouvez les rendre plus personnelles si vous ĂŞtes de très bons amis. 5 Acceptez qu’il ne vous Ă©coute pas. Un bon ami propose des conseils et de suggestions tout en sachant que leur ami, mĂŞme un ami très proche, pourrait ne pas accepter cette aide. Au final, les gens doivent trouver leur propre solution Ă  leur propre rythme, que ce soit dans le cas d’une mauvaise relation, de problèmes financiers, d’un dĂ©cès, etc. Comprenez et acceptez que vos actions puissent ne pas ĂŞtre suivies des rĂ©sultats que vous attendiez. Puisque vous devez soutenir votre ami, vous ne devez pas le laisser vous dĂ©cevoir ou vous dĂ©courager. Aidez-le Ă  identifier les causes de ses problèmes et Ă  trouver des solutions possibles. Servez-vous de votre expĂ©rience, de votre instinct et de l’opinion des autres. Dites-lui c’est ta vie et tu dois faire ce qui te semble le mieux. Mais penses-tu que cela va te mener Ă  ___ ? Peut-ĂŞtre que tu pourrais ___ ? C’est toi qui dĂ©cides » au lieu de lui dire c’est une idĂ©e stupide, tu devrais plutĂ´t ___ ». 1 Signalez les abus [4] ou autres situations dangereuses. Tous les moments difficiles ne sont pas les mĂŞmes. Si le problème que traverse votre ami menace sa sĂ©curitĂ©, par exemple un cas de violence physique au sein de sa relation ou d’automutilation [5] , vous devez agir. Encouragez votre ami Ă  en parler avec une personne reprĂ©sentant l’autoritĂ© qui saura mieux quoi faire, par exemple un policier, un thĂ©rapeute, un prĂŞtre ou un parent. Si votre ami refuse et s’il est victime d’abus, vous devez en parler avec une personne reprĂ©sentant l’autoritĂ©. Si votre ami est mineur, vous pourriez en parler Ă  ses parents s’il souffre d’abus, y compris de harcèlement. Le harcèlement [6] est de l’abus Ă©motionnel et vous ne devriez pas essayer de gĂ©rer ce genre de situation tout seul. N’essayez pas d’aller affronter la personne qui le harcèle ou vous pourriez vous mettre vous-mĂŞme en danger. Parlez-en Ă  un adulte. 2 Laissez-le ĂŞtre triste un moment, mais pas pour toujours. Ne le forcez pas Ă  ĂŞtre joyeux et ne vous mettez pas en colère s’il n’arrive pas Ă  sortir de sa dĂ©prime. Cela pourrait le rendre encore plus triste. Parfois, il peut seulement avoir besoin de rester triste pendant un moment. Cependant, si cela continue pendant trop longtemps, vous devriez essayer d’autres solutions. Il arrive un moment oĂą vous devez ĂŞtre un peu plus dur avec lui. Ă€ quel moment devez-vous le faire ? Lorsqu’un certain temps a passĂ© et que sa tristesse, son deuil ou sa dĂ©pression permanente commence Ă  avoir des ramifications nĂ©gatives dans d’autres domaines de sa vie, par exemple au travail ou Ă  l’école. Au dĂ©but, il est naturel d’être dĂ©primĂ©. Plus tard, cela le devient moins, mĂŞme si le temps nĂ©cessaire est diffĂ©rent pour chaque individu. Au bout d’un certain moment, vous devez lui proposer de trouver une solution. 3 Sachez Ă  quel moment sa situation vous dĂ©passe. Si vous avez besoin d’espace après un moment parce que la situation ne s’arrange pas ou parce qu’il n’arrĂŞte pas de se plaindre de sa tristesse mois après mois, vous pourriez lui suggĂ©rer une solution plus dure. Apprenez Ă  reconnaitre les signes de la dĂ©pression clinique [7] et si votre ami en est atteint, vous devez lui conseiller de consulter un professionnel, par exemple un thĂ©rapeute ou un mĂ©decin. Rappelez-lui que vous n’êtes pas son thĂ©rapeute. Vous ne pouvez pas non plus supporter ses problèmes pour toujours. Ă€ un moment ou Ă  un autre, vous allez devoir ĂŞtre plus dur et lui proposer une solution constructive ou un conseil sincère Ă  ce que vous observez pour lui ĂŞtre utile. 4 Distrayez-le avec des activitĂ©s amusantes. Essayez de trouver une manière de le distraire du problème pendant un moment. Vous pourriez lui proposer d’aller voir un film avec vous. Cela lui permettra de sortir de chez lui et il va oublier ses problèmes pendant au moins quelques heures. Les distractions peuvent aussi l’aider Ă  prendre du recul. Cependant, trouvez un bon Ă©quilibre entre les distractions et la tristesse. Comprenez, au moins au dĂ©but, qu’il prĂ©fère peut-ĂŞtre rester en pyjama assis sur le canapĂ©. Offrez-lui des aliments pour le rĂ©conforter comme de la crème glacĂ©e, du chocolat ou ses plats prĂ©fĂ©rĂ©s. Apportez-les chez lui et tenez-lui compagnie. Rappelez-lui ses rĂ©ussites. Partagez une citation positive [8] . Dans une certaine mesure, vous pouvez l’aider Ă  aller mieux en continuant vos vies comme si de rien n’était. Ne changez pas trop vos habitudes. 5 Gardez ses problèmes secrets. Lorsqu’un ami se confie Ă  vous Ă  propos d’une situation difficile, il vous montre qu’il vous fait confiance. Si vous transgressez cette confiance en partageant ce qui lui arrive avec d’autres personnes, vous n’êtes pas un bon ami. La seule exception Ă  cette règle et la plus importante, est lorsque votre ami est victime d’abus, de harcèlement ou d’autres problèmes qui le mettent en danger, mĂŞme si le danger n’est pas physique. Dans ces cas-lĂ , vous devez en parler Ă  une personne qui reprĂ©sente l’autoritĂ©, par exemple un parent, un policier ou un thĂ©rapeute. Dans les autres cas, n’en parlez Ă  personne. Ne faites pas allusion Ă  ses problèmes sur les rĂ©seaux sociaux ou n’en parlez pas Ă  d’autres personnes dans votre cercle d’amis, mĂŞme si vous pensez que cela pourrait l’aider. Conseils Donnez-lui de l’espace s’il vous le demande. Éloignez-le de l’alcool pour noyer son chagrin. Cela ne va faire qu’intensifier ses Ă©motions et sa dĂ©pression. Ne le forcez pas Ă  vous donner trop de dĂ©tails. Il ne veut peut-ĂŞtre pas tout vous dire, ne lui en demandez pas plus que ce qu’il veut vous en dire. Vous devez lui donner de l’espace et ne pas l’étouffer s’il est irritĂ©. Ne lui promettez pas de passer du temps avec lui si vous savez que ce n’est pas possible. Quoi qu’il vous confie, vous devez faire preuve d’empathie et l’encourager Ă  tenir bon. Cela devrait l’aider Ă  se sentir soutenu, compris et mieux. Avertissements S’il vous dit ce qui ne va pas, gardez-le pour vous Ă  moins qu’il ait des pensĂ©es suicidaires, qu’il soit victime d’abus, d’un viol ou de toute autre situation dans laquelle il est en danger. Ne vous impliquez pas trop. Assurez-vous de lui apporter de l’aide, mais ne laissez pas la situation vous obsĂ©der. Ă€ propos de ce wikiHow Cette page a Ă©tĂ© consultĂ©e 35 753 fois. Cet article vous a-t-il Ă©tĂ© utile ?

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