Lesmeilleur(e)s BoĂźte de nuit/Club de Strasbourg sur Unilocal. En apprendre plus sur des endroits comme Hot Boat, Ponts-Couverts, Stand Up . Connexion. Français Les 20 Meilleurs : BoĂźte de nuit/Club. Strasbourg, France. Ouvrir la carte. Derniers avis : Pour cette soirĂ©e spĂ©ciale pour une personne spĂ©ciale.Bel endroit, musique trĂšs sympa, variĂ©e, adaptĂ©e.,Tarif correct, pas trop de Deplus en plus de cas de piqĂ»res sauvages sont recensĂ©es dans les bars, concerts et boĂźtes de nuit dans le RhĂŽne et la Loire. C’est pourquoi, un appel Ă  la prudence est nĂ©cessaire. Ce phĂ©nomĂšne est de plus en plus frĂ©quent depuis le dĂ©but du mois d’avril. Des personnes piqueraient les clients de boĂźtes de nuit, bars et dans les EnSuisse, oĂč les boĂźtes de nuit ont rouvert malgrĂ© la pandĂ©mie de coronavirus, 300 personnes qui avait frĂ©quentĂ© la boĂźte Flamingo Club, une discothĂšque de ZĂŒrich, dans le nord du pays, ont dĂ» ĂȘtre placĂ©es en quarantaine pour dix jours samedi 27 juin. Lapopulation qui frĂ©quente les boĂźtes de nuit n’est pour l’instant pas assez vaccinĂ©e. Sans compter qu’il y a une limitation de la jauge qui va continuer Ă  nous pĂ©naliser. PeopleEl hadji Diouf : " je ne frĂ©quente pas les boites de nuit" Par: seneweb - 04 fĂ©vrier, 2011 Ă  10:02:45 | Lu 57099 Fois | 182 Commentairesseneweb - Seneweb.com | 04 fĂ©vrier Onest surtout peinĂ©s pour les personnes qui ont contractĂ© le virus. On en tire les conclusions et essaye de savoir ce qu'on peut amĂ©liorer. 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Nous avons enquĂȘtĂ© sur le sujet et notamment sur les solutions mises en place pour faire face au phĂ©nomĂšne. Les boĂźtes de nuits renforcent leur protection On avait des contrĂŽles Ă  l’entrĂ©e qui vont ĂȘtre renforcĂ©s avec des dĂ©tecteurs de mĂ©taux » explique SĂ©raphin Duarte, le responsable du Must, une boĂźte de nuit Ă  Bellegarde-en-Forez On est en train d’en acheter plusieurs » prĂ©cise-t-il. Boualem Yakoubi, le gĂ©rant du Nautilus, une boĂźte de nuit Ă  Saint-Etienne et prĂ©sident du monde de la nuit UMIH42 est aussi particuliĂšrement vigilant aux contrĂŽles nos Ă©quipes de sĂ©curitĂ© sont complĂštement briefĂ©es. On fait trĂšs attention aux jeunes filles qui repartent un peu alcoolisĂ©es » mais pour lui dĂ©tecter une petite aiguille on n’y arrive pas. » SĂ©raphin Duarte admet que c'est difficile Ă  dĂ©tecter » mais il ajoute que les seringues se dĂ©tectent avec les dĂ©tecteurs de mĂ©taux lorsqu’ils sont de bonnes qualitĂ©s. » Pour Boualem Yakoubi la solution passe par la vidĂ©osurveillance toutes nos entrĂ©es et sorties sont filmĂ©es. Les vidĂ©os sont archivĂ©es, en cas de problĂšme on est en capacitĂ© d’identifier la personne qui serait passĂ©e par lĂ . [...] on a pris des camĂ©ras spĂ©cifiques qui ne sont pas troublĂ©es par les jeux de lumiĂšres ce qui nous permet d’identifier les visages. » Au T dansant qui a reçu Les caches-verres plĂ©biscitĂ©s J’ai investi dans des caches-verres » explique le directeur du T Dansant qui ne voit pas » ce qu’il peut faire de plus admettant qu’ au niveau des piqĂ»res il va falloir trouver des solutions. » La boĂźte de nuit le Must a aussi rĂ©cemment commandĂ© les cups "NO GHB" et regarde pour des pailles qui deviennent fluorescentes s’il y a une drogue dans le verre » prĂ©cise SĂ©raphin Duarte. Le public qui frĂ©quente les boĂźtes de nuit commence aussi Ă  ĂȘtre alertĂ© sur le sujet, la PrĂ©sidente de la FĂ©dĂ©ration des Associations de Saint-Etienne Étudiantes, Alexia Roche explique qu’ une dĂ©marche de sensibilisation est faite, la premiĂšre chose que l’on a faite c’est de se procurer des capuchons de verre pour les donner Ă  nos associations qui peuvent ensuite les distribuer Ă  leurs Ă©tudiants. »À LIRE ÉGALEMENTTitres diffusĂ©sAucun titreHoroscope Les barmaid, on les connaĂźt bien, on leur commande mojitos ou lait-fraise le samedi soir, mais qu’est-ce que ça fait de bosser de l’autre cĂŽtĂ© du comptoir ? PubliĂ© le 2 novembre 2013. Si on m’avait dit, il y a trois ans, que je serais barmaid
 je ne l’aurais pas cru. De nature plutĂŽt timide, je n’aurais jamais osĂ© dĂ©poser mon CV dans un bar ! Qu’est-ce que des professionnels auraient fait d’une jeunette de 20 ans pas fichue de porter plus de deux verres Ă  la fois ? Suite Ă  deux annĂ©es d’échec Ă  la fac, une annĂ©e de cĂ©sure m’a parue nĂ©cessaire pour faire le point, parce que manifestement, les Ă©tudes ce n’était pas trop mon truc. J’ai donc naturellement pris la dĂ©cision de chercher un travail pour ne surtout pas rester un an sans rien faire. Alors que je me prĂ©parais Ă  dĂ©poser mon CV dans plusieurs enseignes le lendemain, avec mon groupe de copains on s’est retrouvĂ©s pour boire des coups dans un pub. En discutant avec le barman j’ai appris qu’une place se libĂ©rait ! Ni une ni deux, je lui dis que je cherche du travail, Ă  temps plein, et que travailler la nuit ça ne me gĂȘne pas du tout. J’ai eu un entretien deux jours plus tard, et la semaine d’aprĂšs
 je faisais mon premier jour d’essai en tant que barmaid. Petite introduction au mĂ©tier de barmaid en boĂźte de nuit Avant de continuer, je voudrais faire une petite prĂ©cision on dit barmaid pour les filles, et barman pour les garçons. Pour moi c’est un job, pour certains c’est un mĂ©tier. Il y a mĂȘme des Ă©coles et des formations pour apprendre le flair ou la mixologie. Eh, je vous vois venir Le flair ? Pour sentir ? » le flair c’est l’art de jongler avec des bouteilles d’alcool et des shakers ; le but final est de servir un cocktail. En gros c’est boire en ayant le plaisir des yeux, il y a mĂȘme un championnat du monde de flair. La mixologie, c’est comme la cuisine mais pour les cocktails c’est l’art de bien assembler les alcools, liqueurs et soft pour avoir Ă  la fin un cocktail bon et beau. De l’art je te dis, de L’ART. Travailler en boĂźte de nuit mes dĂ©buts Comme si ĂȘtre une barmaid dĂ©butante ne suffisait pas, j’ai fait mon premier jour un vendredi de 18h Ă  5h, dĂ©but de week-end, le deuxiĂšme plus gros jour pour les bars et les boĂźtes — le premier Ă©tant le samedi. Heureusement j’ai eu une super prof, qui m’a tout expliquĂ© du dĂ©but Ă  la fin, plusieurs fois, et patiemment. Si ma premiĂšre biĂšre n’a pas Ă©tĂ© une rĂ©ussite, il a suffit de me montrer que pour Ă©viter la mousse, on colle la pinte Ă  la pompe et on l’incline. J’ai eu la chance de tomber dans une super Ă©quipe de barmaid, exclusivement fĂ©minine sans compter le manager qui m’a parfaitement intĂ©grĂ©e et oĂč tout le monde s’entendait bien. Le fait qu’on ne fasse que du service au bar est un vrai avantage Ă  part pour ramasser les verres, pas besoin de se mĂȘler Ă  la clientĂšle transpirante et plus ou moins saoule ! Ce premier soir a satisfait mon manager et il m’a proposĂ© pour commencer de faire deux soirs par semaine, qui se sont transformĂ©s en cinq. Je suis arrivĂ©e pile au bon moment car la carte des cocktails a Ă©tĂ© changĂ©e une ou deux semaines aprĂšs mon arrivĂ©e ça voulait dire que tout le monde allait un peu recommencer Ă  zĂ©ro, comme moi. AprĂšs ça, on en a passĂ© des soirĂ©es Ă  se hurler d’un bout Ă  l’autre du bar Y A QUOI DANS LE COCKTAIL MACHIN ?! », nos voix Ă©tant recouvertes par les 120 dĂ©cibels de la musique et le brouhaha des client-e-s ! Les bons cĂŽtĂ©s du mĂ©tier de barmaid en boĂźte de nuit Ce qui est gĂ©nial, c’est que si tu travailles dans un Ă©tablissement cool, tu peux t’amuser et inventer des cocktails pour toi ou un client lorsqu’il te dit fais ce que tu veux, surprends-moi » la bonne blague. Quand je dis un cocktail pour toi » c’est que
 oui, on peut picoler derriĂšre le bar. Un jour un habituĂ© m’a posĂ© la question mais t’as accĂšs Ă  tout l’alcool que tu veux, comment tu fais pour pas ĂȘtre dĂ©chirĂ©e tous les soirs ? ». Alors les premiers mois ont Ă©tĂ© alcoolisĂ©s mais pas Ă  outrance, et surtout pas tous les soirs ! Je n’ai jamais Ă©tĂ© bourrĂ©e au taf, imaginez la barmaid, saoule, en train de vomir derriĂšre le bar, ce n’est pas possible, y a des limites quand mĂȘme. Quand c’est le week-end et que tu vois tout le monde s’amuser, t’as juste envie de rigoler un peu avec tes collĂšgues aussi, c’est normal on est humaines. Cela dit, au bout d’un moment, tu prends tellement l’habitude d’avoir de l’alcool Ă  portĂ©e de main que ça perd de son intĂ©rĂȘt. Si j’avais dĂ» picoler chaque soir juste parce que j’en avais l’occasion, je serais devenue alcoolique. Aujourd’hui, si je prends un shot une fois par mois c’est le bout du monde ! Les cĂŽtĂ©s un peu relou de travailler en boĂźte de nuit Si tu as un problĂšme ou si tu vois une dispute qui commence, tu dois prĂ©venir la sĂ©curitĂ© tout de suite. Il faut remplir les stocks chaque soir ou au cours de la soirĂ©e, changer les fĂ»ts de biĂšre
 Tu dois vĂ©rifier que personne ne passe derriĂšre le bar pendant que tu as le dos tournĂ©, faire attention que personne n’essaie de se servir une biĂšre tout seul. Oh coucou, une main qui passe entre les pompes et qui appuie sur tous les boutons dans l’espoir d’avoir de l’alcool gratos ! SĂ©rieusement, ne faites pas ça, au risque de vous faire malmener trĂšs sĂ©rieusement par le staff. Ramasser les verres en salle en te faisant bousculer dans tous les sens par les gens qui dansent et qui ne te voient pas, mĂȘme quand tu hurles PARDON ! PARDON ! PUTAIN MAIS CASSEZ-VOUS CONS DE MIMES ! ». Le ramassage de verres devient un art si t’en ramĂšnes quatre Ă  chaque fois c’est pas possible, donc tes mains se musclent et Ă  la fin tu deviens capable de rĂ©cupĂ©rer jusqu’à 30 verres Ă  chaque aller-retour. Tu deviens Terminator, quoi. Petite joueuuuuse ! Quand tu es barmaid, l’enfer, c’est les clients Au niveau des clients, j’ai trĂšs vite appris qu’en fait, mon job de barmaid c’est du baby-sitting pour adulte
 Ă  la diffĂ©rence que lĂ , quand t’en as marre, tu les mets dans un taxi et t’es tranquille ! Petit florilĂšge des meilleures techniques relous, techniques de grattage, techniques d’arnaque. — Bonjour, je vous prĂ©viens que l’happy hour est terminĂ©e. — Oh, allez ça fait juste 5 minutes que c’est fini ! Pour ce qui est de l’happy hour, ce n’est pas nous qui dĂ©cidons arbitrairement que c’est fini pour tout le monde, y compris pour toi qui demande si gentiment. J’accuse ouvertement la caisse elle est programmĂ©e pour qu’à telle heure, les prix reviennent Ă  la normale. Donc que ça fasse 10 secondes, ou 5 minutes, ça ne sert Ă  rien d’insister en disant Alleeeez, j’ai que quatre euros sur moi », ce n’est pas mon problĂšme et en plus c’est un peu du chantage. — Je voudrais une vodka orange — Ah, dĂ©solĂ©e, je suis en pĂ©nurie de jus d’orange, je peux vous servir autre chose ? — Plus de jus d’orange ?! Ah bah, ça mĂ©rite un verre gratis ! Non. DĂ©solĂ©e mais non, ça ne mĂ©rite rien du tout, pas plus que les dix premiĂšres fois qu’on m’a fait la blague. — Eh tu m’offres un shot ! J’ai pris trois cocktails j’ai beaucoup consommĂ© hein ! Toujours pas en me demandant, tu as dĂ©sintĂ©grĂ© toutes tes chances. Ça nous arrive quand mĂȘme d’offrir des shots ou des verres aux clients sympas, Ă  ceux qui laissent des pourboires rĂ©guliĂšrement, Ă  ceux qui ont effectivement BEAUCOUP consommĂ© dans la soirĂ©e une ou plusieurs bouteilles, plusieurs mĂštres de shots, ou une quantitĂ© respectable de verres. On n’est pas des monstres. — HĂ© mais y a pas d’alcool dans mon verre ! Alors oui, ça peut arriver, et la plupart du temps je remets une dose sans me prendre la tĂȘte. Par principe je n’ai jamais goĂ»tĂ© le verre d’un client — mĂȘme quand il me le met sous le nez en me disant Mais goĂ»te, GOÛTE ! » — cependant on peut flairer le verre pour vĂ©rifier. Quand le mĂȘme client revient plusieurs fois dans la soirĂ©e, ou demande aussi aux collĂšgues, lĂ  je crois qu’on peu dire qu’il se fout un peu de notre gueule, et il ne sera plus servi de la soirĂ©e quand on a quelqu’un dans le collimateur, on met tout le monde au courant. — Et sinon tu t’appelles comment ? J’ai toujours trouvĂ© ça trĂšs embarrassant quand un client que je ne connais pas me demande mon prĂ©nom, souvent pour mieux me harceler Eh Machin ! Maaachiiin ! Tu me mets deux pintes steuplĂ© ! », mais le pire c’est quand tu es en plein rush, qu’il y a 40 personnes qui attendent d’ĂȘtre servies et que le mec pense que c’est le bon moment pour taper la discut’ et faire connaissance. — Bonsoir ! [se retourne vers sa copine] Au fait tu veux quoi ? — Ah je sais pas vous avez quoi ? Par pitiĂ©, quand vous voyez qu’on a du monde, prĂ©parez votre commande, ne nous appelez pas pour nous demander ce qu’on a alors qu’il y a un panneau de deux mĂštres sur deux qui regroupe tous les cocktails et que c’est Ă©crit en ÉNORMES lettres. PitiĂ©. — Un mojito s’il vous plaĂźt ! — En fait il m’en faudrait un deuxiĂšme. — Je vais en prendre trois finalement. Vous savez le temps qu’on perd Ă  faire les allers-retours pour rien alors qu’on aurait pu faire les trois Ă  la chaĂźne ? Vous savez que le mojito est l’un des plus longs cocktails Ă  faire ? Et vous savez que quand on arrive Ă  la fin de la soirĂ©e et qu’on a fait 80 mojitos, eh ben le mojito ça devient notre CAUCHEMAR ? Maintenant, vous le savez. Je m’explique vu que le mojito prend plus de temps Ă  faire que le reste disons 30 ou 40 secondes dans les mauvais jours, tu dois rester Ă  un endroit fixe pour le concevoir, donc les clients en face de toi pensent que tu ne fais rien et qu’ils peuvent te balancer leurs commandes sans dire bonsoir ni s’il vous plaĂźt. Sauf qu’ils ne savent pas que gĂ©nĂ©ralement tu as dĂ©jĂ  trois ou quatre commandes en attentes dans ta petite tĂȘte. Barmaid entre claquements de doigts et impatience Pour ce qui est des attitudes, ce qui est rĂ©dhibitoire c’est les gens qui claquent des doigts si tu fais ça, ne t’étonne pas d’attendre plus que les autres, ceux qui chuchotent, ceux qui secouent leurs billets ou leur cartes bleue
 je sais que ce n’est pas toujours mĂ©chant mais moi, ça me donne l’impression d’ĂȘtre rabaissĂ©e. Paradoxalement, il y a aussi ceux qui mettent 12 000 ans Ă  sortir leur moyen de paiement, comme si tu n’étais lĂ  que pour eux. Ceux qui se mettent au bout du bar et qui se penchent jusqu’à tomber par-dessus le comptoir pour t’interpeller, juste pour commander
 J’avoue que quand quelqu’un se met au bout du bar et me fait de grands signes, je vais toujours le voir, parce qu’en gĂ©nĂ©ral c’est qu’il a un problĂšme, qu’il veut un verre d’eau parce que son copain ne sent pas bien, ou que sa copine s’est coupĂ©e avec un verre cassĂ©. Alors les fausses alertes, c’est trĂšs Ă©nervant vu que tu t’interromps dans ton travail pour rĂ©aliser que la personne veut juste aller plus vite que les autres. Et enfin, comme partout, honte Ă  ceux qui ne disent pas bonjour, ni merci, ni s’il vous plaĂźt ! Cela dit, les relous mettent de l’ambiance et surtout, ils nous font apprĂ©cier encore plus les clientes cool ! Alors
 barmaid, ça te tente ? À lire aussi Comment ĂȘtre une super cliente au bar, selon les barmaids Avec les vacances scolaires, les boĂźtes de nuit et pubs misent sur une clientĂšle de jeunes, incluant les mineurs. Les soirĂ©es en vue de fĂȘter les vacances scolaires, les afternoon parties » sont de mise pour une clientĂšle qui a soif de dĂ©couvrir un monde qui appartient aux plus grands. Des jeunes tĂ©moignent. Mercredi Ă  Rose-Hill, aprĂšs le dĂ©but des vacances d’hiver. Une “boĂźte de nuit”, comme d’autres, dĂ©fie les lois existantes en accueillant de nombreux mineurs Ă  une fĂȘte d’étudiants en fin d’aprĂšs-midi. Ces fĂȘtes sont organisĂ©es en vue de permettre Ă  certains jeunes, qui n’ont pas la permission de sortir le soir, de connaĂźtre la night life », explique Sandeep, 19 ans. Les invitations se font par le rĂ©seau social en ligne Facebook ou par le bouche Ă  oreille. Maçon de profession, Sandeep confie prĂ©fĂ©rer ces fĂȘtes car elles sont organisĂ©es les aprĂšs-midi et prĂ©sentent plusieurs avantages. Parmi, l’entrĂ©e et les boissons Ă  un prix modique, l’accessibilitĂ© par divers modes de transport du fait des horaires diurnes. Pour une de ces fĂȘtes, il dit dĂ©penser Rs 500 alors qu’une soirĂ©e dans la mĂȘme boĂźte de nuit lui coĂ»terait au moins Rs 1 000 sans compter la consommation d’alcool ». Preety, 17 ans, collĂ©gienne dans un Ă©tablissement du Sud, indique se rendre dans ces discothĂšques Ă  l’insu de ses parents. Pendant les vacances, mes sorties sont limitĂ©es aux leçons particuliĂšres. Mes parents ne me laissent pas sortir le soir et moi je trouve que c’est une bonne initiative que les boĂźtes de nuit organisent des afternoon parties car cela permet aux plus jeunes de s’amuser, de se dĂ©fouler ». Pour cette Ă©lĂšve en filiĂšre scientifique, il faut y aller en groupe mixte afin que nous ne soyons pas exposĂ©s Ă  certains dangers ». Une fois Ă  l’intĂ©rieur de la discothĂšque, dit-elle, c’est l’attitude adoptĂ©e qui dĂ©termine le regard et comportement des autres. Mes amis et moi consommons de l’alcool mais nous ne nous soĂ»lons pas », affirme notre interlocutrice. Et si les policiers ou la Brigade des mineurs dĂ©barquent ? Les Bouncers Ă  la porte les font patienter le temps qu’à l’intĂ©rieur tous les mineurs soient Ă©vacuĂ©s par la sortie de secours », avoue-t-elle candidement. GaĂ«lle, 17 ans, Ă©lĂšve dans une institution des hautes Plaines-Wilhems, frĂ©quente les boĂźtes de nuit depuis deux ans. J’y vais tous les mois avec mes soeurs. Je n’ai jamais Ă©tĂ© inquiĂ©tĂ©e et on ne m’a jamais demandĂ© ma carte d’identitĂ© », dit-elle. Elle explique d’ailleurs que l’accĂšs Ă  l’entrĂ©e des boĂźtes de nuit dĂ©pend des relations que l’on peut avoir avec les Bouncers. Cela se joue pratiquement sur les contacts qu’on se fait durant ses soirĂ©es. Certains connaissent les propriĂ©taires, qui indiquent d’avance aux Bouncers qu’un groupe de jeunes se prĂ©sentera Ă  la porte ». À l’intĂ©rieur, aucune restriction alcool et cigarettes sont disponibles et cela sans prĂ©sentation de la carte d’identitĂ©. On se lĂąche durant les week-ends aprĂšs une semaine de cours », avance GaĂ«lle. Pour Jean-Hugues, 15 ans, le danger est prĂ©sent lorsqu’il y a un manque de responsabilitĂ© comportemental. Les jeunes doivent savoir avec qui ils sortent en soirĂ©e et ne doivent pas s’aventurer Ă  suivre un inconnu, ou mĂȘme pour une fille son copain dans des lieux plus intimes, car la nuit tombĂ©e le danger est omniprĂ©sent », dit l’adolescent. Les garçons se dĂ©placent en bande, ce qui crĂ©e parfois des conflits entre groupes d’adolescents », poursuit-il. Pour Pamela, mĂšre de deux adolescents, la sortie en boĂźte de nuit fait partie des habitudes de la nouvelle gĂ©nĂ©ration. Cependant, dit-elle, il est important que les adolescents soient accompagnĂ©s de jeunes plus matures en vue de rĂ©duire les risques d’incidents ». Elle insiste sur l’importance de la communication et de la confiance entre les adolescents et leurs parents afin de dĂ©celer si les premiers ont rencontrĂ© des problĂšmes lors de leurs sorties. J’interroge ma fille sur les personnes qu’elle a rencontrĂ©es et il m’arrive mĂȘme d’aller la chercher aprĂšs une soirĂ©e en boĂźte de nuit. Avec les parents de ses amis, nous assurons leur retour. C’est un climat de confiance qui s’est installĂ© ». Reflet de l’évolution de la sociĂ©tĂ©, les sorties en boĂźte de nuit ne sont plus exemptes de dangers, comme elles pouvaient encore l’ĂȘtre il y a 20, voire dix ans. Les agressions et bagarres ne sont maintenant plus exceptionnelles dans les lieux oĂč s’exprime la night life. D’oĂč l’importance de rester vigilant. - PublicitĂ© -

personne qui frequente les boite de nuit