Commentdistinguer une koĂŻ mĂąle d’une carpe koĂŻ femelle? En fait, on peut constater des points de noces sur les opercules branchiaux, et chez le mĂąle, le corps est plus fin plus allongĂ©. Chez la carpe koĂŻ mĂąle, les nageoires pectorales sont souvent de taille supĂ©rieure Ă  celle des femelles. đŸ””. Quelle eau pour un vivier ? EngĂ©nĂ©tique, un hybride est un organisme issu du croisement de deux individus de deux variĂ©tĂ©s, sous-espĂšces (croisement intraspĂ©cifique), espĂšces (croisement interspĂ©cifique) ou genres (croisement intergĂ©nĂ©rique) diffĂ©rents. L'hybride prĂ©sente un mĂ©lange des caractĂ©ristiques gĂ©nĂ©tiques des deux parents (notamment, pour ce qui Morphologie L'Iguane vert est un grand lĂ©zard qui atteint gĂ©nĂ©ralement une taille variant entre 1,2 et 1,6 m du museau Ă  la queue, pour une masse de 3 Ă  5 kg maximum chez le mĂąle. La femelle est un peu plus petite et mesure en moyenne 1,3 m pour 1,2 Ă  2,6 kg. Onpeut reconnaitre le mĂąle d'une femelle abeille par la taille, le mĂąle est plus gros, aussi le mĂąle ne possĂšde pas de dard, donc il ne pique pas. Les mĂąles sont apellĂ©s les faux-bourdons. Ils ne savent pas se nourrir tout seuls et doivent ĂȘtre nourris par les femelles qui leur donne directement leur nourriture dans la bouche. Les SescaractĂ©ristiques physiques. Les carpes KoĂŻ mesurent entre 15 Ă  120 cm. La femelle est gĂ©nĂ©ralement plus grosse et plus longue que le mĂąle. Les jeunes KoĂŻ mesurent entre 8 et 10 cm, et Ă©voluent de maniĂšre rapide durant les 4 premiĂšres annĂ©es de leur existence. Durant cette pĂ©riode, elles peuvent croĂźtre de 16 Ă  18 cm par annĂ©e. Lacarpe koĂŻ a Ă©tĂ© inventĂ©e en Chine, la carpe n'a Ă©tĂ© introduite au Japon qu'aprĂšs l'invasion par la Chine. Ce que je vais vous expliquer risque de ne pas vous plaire mais elle Ă©tait Ă©levĂ©e essentiellement pour la saveur de sa chair. C'est un poisson vivant en eau douce qu'on retrouve en Europe, Asie, AmĂ©rique et en Orient. La vĂ©gĂ©tation est importante. Dans la nature, Commentje peux savoir si un chat est un homme ou une femme? - Topic Comment reconnaitre un chat male ou femelle? du 13-12-2020 00:46:22 sur les forums de jeuxvideo.com REPRODUCTIONDES CARPES KOI. Nos gĂ©niteurs de carpe koĂŻ sont sĂ©lectionnĂ©s parmi les meilleurs sujet de notre Ă©levage selon des critĂšres de formes et de couleurs. Le ratio sexuel idĂ©al est de deux ou trois mĂąles pour une femelle. Les koĂŻ peuvent se reproduire Ă  partir de l'Ăąge de deux ans. Les mĂąles jeunes sont plus fĂ©condants (2 Ă  Unecarpe Koi, appelĂ©e tancho, entiĂšrement blanche avec une tache parfaitement ronde et rouge sur la tĂȘte comme le soleil levant du drapeau national nippon, peut se nĂ©gocier une petite fortune. Il existe d'autres carpes OnreconnaĂźt le mĂąle mature par la prĂ©sence d’une paire de PALPES MODIFIÉS en une structure complexe semblable Ă  de petits gants de boxe, situĂ©es en avant des 4 paires de pattes. Pour la femelle, les palpes sont prĂ©sents, mais ne sont pas modifiĂ©s. Les palpes des femelles ressemblent Ă  des petites pattes semblables aux autres pattes. fMfP. La ConsanguinitĂ© chez le chat Par Jonathan Koskas On ne peut aborder la consanguinitĂ© sans donner au prĂ©alable quelques dĂ©finitions de la notion de race Race breed, en anglais Ensemble d’individus partageant un certain nombre de caractĂšres morphologiques - distinctifs les distinguant des autres races - homogĂšnes uniformitĂ© de certains caractĂšres au sein de la race - fixĂ©s transmissibles de façon stable Ă  leur descendance. Ensemble d’individus portant le mĂȘme nom de race sur leur pedigree, selon un livre d’origine fixĂ©. Ensemble d’individus ayant le mĂȘme standard de race. A la lecture de ces dĂ©finitions, on comprend que si certaines races sont naturelles, de nombreuses autres races animales et races Ă  pedigree » sont le fruit du dĂ©sir et du travail de sĂ©lection d’éleveurs, pour des raisons et des objectifs divers les moutons mĂ©rinos et les lapins angoras pour leur laine, les chinchillas ou les visons pour leur fourrure, les bƓufs Aberdeen ou Charolais pour leur viande, mais aussi les poules Bantam, les carpes KoĂŻ, les Yorkshire
 et nos chats de race pour leurs attraits physiques et comportementaux ! C’est bien sĂ»r le cas de notre Ragdoll adorĂ© ! ? ÉLEVAGE SÉLECTIF OU SÉLECTION ARTIFICIELLE ? ET LE RAGDOLL ? ? POUR OU CONTRE LA CONSANGUINITÉ ? ? POURQUOI RECOURIR Á LA CONSANGUINITÉ ? ? LES EFFETS DE LA CONSANGUINITÉ Élevage sĂ©lectif ou sĂ©lection artificielle De tout temps, l’Homme a sĂ©lectionnĂ© les animaux pour une meilleure viande, plus de lait, une plus grande endurance Ă  l’effort, voire les vĂ©gĂ©taux, pour un meilleur rendement, une plus grande rĂ©sistance aux maladies... Il pouvait pour ce faire croiser des individus prĂ©sentant les caractĂ©ristiques qu’il souhaitait amĂ©liorer, donnant ainsi Ă  une petite part de la population la chance de se reproduire, les autres individus Ă©tant Ă©cartĂ©s de la reproduction. Ce processus s’appelle la sĂ©lection artificielle » mais il n’évite pas l’apparition de faits gĂ©nĂ©tiques alĂ©atoires, qui constituent un problĂšme Ă©vident dans les races créées par l’homme. Tout comme les humains qui, dans de nombreuses sociĂ©tĂ©s condamnent l’inceste, d’autres mammifĂšres ont Ă©galement Ă©laborĂ© des comportements sociaux pour Ă©viter la consanguinitĂ©, dans la mesure oĂč elle entraĂźne de nombreux problĂšmes de santĂ© et de viabilitĂ© en rĂ©duisant le potentiel de survie. Mais les hommes ont parfois choisi d’appliquer des normes diffĂ©rentes aux animaux qu’ils Ă©lĂšvent. Ainsi, certains Ă©leveurs dĂ©sireux de fixer les caractĂ©ristiques qu’ils souhaitaient ont-ils optĂ© pour le moyen le plus sĂ»r – et le plus rapide – de les obtenir qu’est la consanguinitĂ©. En effet, le moyen le plus rapide de reproduire et fixer des caractĂ©ristiques phĂ©notypiques = apparence physique est de croiser des individus qui les expriment. Il est toujours plus simple – et plus tentant - de travailler avec des animaux qu’on possĂšde, plutĂŽt que d’en acheter d’autres ou de rechercher des saillies extĂ©rieures, avec les difficultĂ©s inhĂ©rentes Ă  cette pratique. Et si cela marche une fois, pourquoi ne pas rĂ©pĂ©ter cette pratique ? Bien entendu, quand le pool allĂ©lique est trĂšs rĂ©duit, la variabilitĂ© l’est aussi et les chats prĂ©sentent un type de plus en plus uniforme. A l’inverse, certains Ă©leveurs ont rĂ©ussi Ă  sĂ©lectionner un type tout en Ă©vitant la consanguinitĂ©, et cela tend Ă  produire des animaux gĂ©nĂ©ralement plus vigoureux. Ces 2 mĂ©thodes ont leurs tenants qui transmettent » Ă  d’autres Ă©leveurs leur façon de faire, en faisant valoir, de prĂ©fĂ©rence, les avantages
 Et le Ragdoll ? Certes, nous le savons, le Ragdoll est – comme d’autres races fĂ©lines - le produit de mariages trĂšs consanguins cf. page Historique, puisque 3 chats, apparentĂ©s qui plus est, en sont Ă  l’origine - d’une part, Josephine, fut mariĂ©e Ă  son fils Raggedy Ann Daddy Warbucks, pour donner naissance Ă  Raggedy Ann Fugianna, qui, remariĂ©e Ă  son pĂšre/frĂšre donna la lignĂ©e dite light side », - d’autre part, Josephine, unie Ă  un mĂąle du nom de Blackie enfanta Buckwheat, qui fut mariĂ©e Ă  son demi-frĂšre Daddy Warbucks pour engendrer un mĂąle et une femelle Raggedy Ann Kyoto et Raggedy Ann Tiki, eux-mĂȘmes mariĂ©s entre eux pour donner la lignĂ©e dite dark side ». Une fois obtenus quelques descendants dans chaque lignĂ©e, leurs produits furent Ă  leur tour croisĂ©s, renforçant en cela la consanguinitĂ© et fixant les caractĂ©ristiques tant dĂ©sirĂ©es de la race Ragdoll. fig. A Il y eut toutefois Ă©galement des mariages avec des chats extĂ©rieurs Ă  ces lignĂ©es, soit de la part d’Ann Baker elle-mĂȘme, soit de ses successeurs, afin d’apporter ou amĂ©liorer certaines caractĂ©ristiques telles que les couleurs, la fourrure, le gabarit
 NB d’autres races comme le Maine Coon ont fait appel Ă  une poignĂ©e de chats de fondation – littĂ©ralement, puisque 5 individus sont Ă  l’origine de la race. Pour ou contre la consanguinitĂ© ? Eloignons-nous des visions partisanes. Force est de constater que certaines races pĂątissent fortement d’un pool gĂ©nĂ©tique de plus en plus rĂ©duit et les Ă©leveurs doivent de ce fait faire appel Ă  du sang extĂ©rieur, en hybridant ». Des races comme le Bombay, le Burmese amĂ©ricain, le Sphynx... rencontrent des pathologies rĂ©currentes Cardio-myopathie hypertrophique, dĂ©formations crĂąniennes ou squelettiques
 , et une importante mortalitĂ© prĂ©- ou post-natale. Les fĂ©dĂ©rations, Ă  la demande des Ă©leveurs, leur donnent la possibilitĂ© de rouvrir les livres de gĂ©nĂ©alogies en leur permettant d’utiliser des reproducteurs issus de chats de gouttiĂšre ou de spĂ©cimens d’autres races plus saines, au patrimoine gĂ©nĂ©tique plus variĂ©, et selon des modalitĂ©s fixĂ©es par des rĂšglements stricts. Parmi les nombreuses dĂ©finitions de la consanguinitĂ©, la plus simple est celle-ci La consanguinitĂ© consiste Ă  marier des individus apparentĂ©s ». Au sens strict, tous les individus d’une espĂšce sont consanguins quoique de maniĂšre trĂšs distante. Cependant, la consanguinitĂ© est communĂ©ment dĂ©finie comme le mariage d’individus Ă©troitement apparentĂ©s, la forme la plus extrĂȘme Ă©tant le mariage pĂšre x fille ou mĂšre x fils, suivi de prĂšs par le croisement frĂšre x sƓur, puis demi-frĂšre x demi-sƓur, grand-parent x petit-enfant, puis cousins au premier degrĂ©, oncle x niĂšce
 Voici une autre dĂ©finition la consanguinitĂ© tend Ă  produire des sujets homozygotes, aussi bien pour le bon que pour le mauvais » Villemin et TĂ©try.En effet, il est convenu dans le monde de l’élevage de dire que la consanguinitĂ© ne crĂ©e rien mais concentre », et permet aux caractĂšres rĂ©cessifs de s’exprimer, en les rendant homozygotes. En prenant l’exemple de la couleur, un pĂšre, porteur de chocolat mariĂ© Ă  sa fille, elle aussi porteuse de chocolat, auront 50 % de leur descendance chocolat ou porteuse chocolat, ce qui permet Ă  l’éleveur d’avancer plus rapidement dans son travail de sĂ©lection pour ce critĂšre. On comprend aisĂ©ment que les caractĂšres indĂ©sirables, tels que tares gĂ©nĂ©tiques, maladies dĂ©gĂ©nĂ©ratives
 eux-aussi seront exprimĂ©s et concentrĂ©s » par cette mĂ©thode. fig. 1 Certes, d’aucuns prĂ©tendent que l’on peut ainsi Ă©liminer les dĂ©fauts qui surgissent, mais ce qui est valable dans l’élevage pour la viande ou la laine se rĂ©vĂšle difficilement dĂ©fendable pour nos chats que faire des animaux dĂ©ficients ? Les cĂ©der malgrĂ© tout » Ă  des adoptants, sans savoir quelles seront les consĂ©quences, au simple prĂ©texte que tout animal de compagnie est sujet aux alĂ©as de la vie ? PrĂ©texter que des caractĂšres rĂ©cessifs pourraient tout autant surgir en mariant 2 individus non-reliĂ©s ? L’erreur est dans le tout autant »  car tant que ces individus ne sont pas remariĂ©s en consanguinitĂ©, ces nouveaux dĂ©fauts gĂ©nĂ©tiques ont peu de risques de s’exprimer. On peut en fait considĂ©rer qu’un Ă©leveur connaissant bien ses lignĂ©es, ayant du recul sur les ascendants et descendants en matiĂšre de santĂ© nombreux tests Ă  l’appui, de comportement, de prolificité  pourra Ă©ventuellement envisager de pratiquer, prudemment, la consanguinitĂ©, mais sans la renouveler et en rĂ©introduisant du sang neuf » Ă  la prochaine gĂ©nĂ©ration. Remarque il est intĂ©ressant de souligner que, dans des conditions naturelles, les animaux ont des mĂ©thodes Ă©laborĂ©es pour Ă©viter la consanguinitĂ©, optimisant ainsi la survie de leurs descendants, et leur transmettant Ă©galement leurs comportements d’évitement de la consanguinitĂ©. >> Les animaux vivant en groupes, en harde, comme les lions, les primates, les cerfs, ont pour habitude de chasser les jeunes mĂąles du groupe pour Ă©viter des accouplements trop rapprochĂ©s. A l’autre extrĂ©mitĂ© de la pyramide animale, des chercheurs ont dĂ©couvert que mĂȘme chez les drosophiles, et y compris en population fermĂ©e, il existe des mĂ©canismes d’évitement de consanguinitĂ©s trop rapprochĂ©es. => 2 variantes de consanguinitĂ© dĂ©finitions gĂ©nĂ©rales ? ConsanguinitĂ© en ligne collatĂ©rale, appelĂ©e line breeding » Elle consiste Ă  marier des gĂ©niteurs comportant au moins un ancĂȘtre commun sur 5 gĂ©nĂ©rations, ou encore Ă  choisir un trĂšs beau mĂąle, Ă  le marier Ă  une femelle – de prĂ©fĂ©rence, excellente - et Ă  le remarier Ă  l’une ou plusieurs de ses petites-filles. fig. 2 ? ConsanguinitĂ© en ligne directe appelĂ©e in breeding » Pratique plus sĂ©vĂšre et plus "efficace" consistant Ă  marier des individus Ă  l’intĂ©rieur de chaque gĂ©nĂ©ration frĂšre X sƓur, voire en ligne Ă©troite pĂšre x fille. Il est probable que l’on fasse ainsi surgir des caractĂšres indĂ©sirables dĂšs les premiĂšres gĂ©nĂ©rations. En effet, les gĂ©notypes porteurs de dĂ©fauts Ă  l’état rĂ©cessif vont se rencontrer et ces dĂ©fauts devenus homozygotes vont s’exprimer. fig. 3 Si certains Ă©leveurs prĂ©tendent Ă©viter l’inbreeding en pratiquant le line breeding, ne nous mĂ©prenons pas les gĂ©nĂ©ticiens eux-mĂȘmes ne reconnaissent que l’inbreeding, Ă  savoir la consanguinitĂ©, ensuite, c’est seulement une question de degrĂ© de parentĂ©. Pourquoi recourir Ă  la consanguinitĂ© ? Comme on l’a vu prĂ©cĂ©demment, au dĂ©but d’une race, un certain degrĂ© de consanguinitĂ© est gĂ©nĂ©ralement nĂ©cessaire pour obtenir et fixer les caractĂšres dĂ©sirĂ©s, surtout que les sujets disponibles sont rares. Cependant, une fois que le type est suffisamment commun Ă  la race pour que ce soit un caractĂšre inhĂ©rent, alors, tout besoin de recourir Ă  la consanguinitĂ© a disparu et il devrait ĂȘtre possible de transmettre ce caractĂšre en procĂ©dant Ă  des croisements exogames = non consanguins, mĂȘme si une certaine variabilitĂ© peut apparaĂźtre. La consanguinitĂ© est une » mĂ©thode, mais pas LA » mĂ©thode, et on peut trĂšs bien obtenir un trĂšs bon type en mariant 2 individus, non apparentĂ©s, ayant eux-mĂȘmes un excellent type
 Les effets de la consanguinitĂ© Dans le temps, on affirmait que la consanguinitĂ© ne faisait que concentrer le bien ou le mal. Pourtant, le rĂšgne animal, certains vĂ©gĂ©taux et les humains ont bĂąti des mĂ©canismes d’évitement de la consanguinitĂ©. Il existe dĂ©sormais un phĂ©nomĂšne bien connu mais encore partiellement compris appelĂ© la dĂ©pression de consanguinitĂ©. Il s’agit d’une accumulation de multitudes de mutations dĂ©lĂ©tĂšres, peu d’entre elles Ă©tant lĂ©tales en elles-mĂȘmes, mais toutes diminuant la viabilitĂ© gĂ©nĂ©rale. Dans une population exogame, les mauvais » allĂšles seraient maintenus Ă  un niveau bas par la prĂ©sence de bons » allĂšles. Les mutations On pense que les mutations apparaissent trĂšs rarement. Or, des scientifiques ont mesurĂ© le taux de mutations chez les humains, les chimpanzĂ©s et les gorilles, et ils ont dĂ©couvert qu’il y avait environ 4,2 mutations/individu/gĂ©nĂ©ration qui modifient les protĂ©ines qui sont le produit final concrĂštement fabriquĂ© Ă  partir des gĂšnes suivant le code gĂ©nĂ©tique. Sur ces mutations, 2,5 en moyenne sont dĂ©lĂ©tĂšres, c’est-Ă -dire qu’elles seraient nuisibles Ă  l’individu si elles se prĂ©sentaient Ă  l’état homozygote. Les scientifiques estiment toutefois que le nombre rĂ©el serait plus prĂšs de 3 mutations dĂ©lĂ©tĂšres par individu et par gĂ©nĂ©ration. Le mĂ©canisme qui nous Ă©vite une multitude de maladies gĂ©nĂ©tiques est dĂ» au mode de reproduction sexuĂ© et Ă  la combinaison d’allĂšles de gĂšnes lors du croisement de deux individus non apparentĂ©s. Quand cette compensation ne peut ĂȘtre Ă  l’Ɠuvre parce que les 2 parents ont dĂ©jĂ  de nombreux allĂšles en commun, il en rĂ©sulte une dĂ©pression de consanguinitĂ© dans leur descendance directe, ou, si ce n’est pas le cas, aprĂšs quelques gĂ©nĂ©rations supplĂ©mentaires de tels croisements. La dĂ©pression de consanguinitĂ© inclut une large variĂ©tĂ© de dĂ©fauts, physiques et sanitaires. Un sujet peut prĂ©senter plusieurs de ces dĂ©fauts - Incidence accrue de maladies gĂ©nĂ©tiques rĂ©cessives. - FertilitĂ© rĂ©duite taille des portĂ©es moindre. - Apparition accrue de dĂ©fauts congĂ©nitaux cryptorchidie, malformations cardiaques, fentes palatines. - AsymĂ©tries variables de la face, placement ou taille des yeux. - RĂ©duction du poids de naissance. - MortalitĂ© nĂ©onatale plus Ă©levĂ©e. - Moindre rythme de croissance. - Taille adulte plus faible. - Perte d’efficacitĂ© des dĂ©fenses immunitaires. A la lumiĂšre de tout ce qui prĂ©cĂšde, peut-on Ă©carter les maladies hĂ©rĂ©ditaires grĂące Ă  la consanguinitĂ© ? Si cela semble ĂȘtre une bonne idĂ©e, en faisant apparaĂźtre les caractĂšres indĂ©sirables, il s’agit d’un travail considĂ©rable, impliquant de nombreux individus. Toutefois, il faudrait faire des croisements-tests pour faire ressortir les maladies rĂ©cessives, faisant surgir d’autres pathologies, etc
 Les croisements non-consanguins pouvant introduire de mauvais » allĂšles mais tant que ces individus ne sont pas mariĂ©s en consanguinitĂ©, il y a peu de risques que ces dĂ©fauts gĂ©nĂ©tiques ne s’expriment. Ex. A porteur de 10 maladies rĂ©cessives est mariĂ© Ă  B porteur de bons et mauvais gĂšnes complĂštement diffĂ©rents. Les bons et les mauvais gĂšnes Ă©tant diffĂ©rents, les descendants de ce mariage n’exprimeront pas ces mauvais gĂšnes. Certes, des adeptes de la consanguinitĂ©, grĂące Ă  une bonne gestion sanitaire, une bonne surveillance des mises bas et des chatons Ă©vitent temporairement certaines des pathologies listĂ©es ci-dessus et l’impact sur le systĂšme immunitaire, mais pourquoi prendre des risques quand rien n’y oblige ? La consanguinitĂ© et ses consĂ©quences sur le systĂšme immunitaire Il s’agit du plus grand dĂ©gĂąt de la consanguinitĂ© les mammifĂšres ont un systĂšme immunitaire efficace et complexe, et dĂ©pendant de la diversitĂ© gĂ©nĂ©tique. Un groupe de gĂšnes joue un rĂŽle dĂ©terminant dans la capacitĂ© Ă  se dĂ©fendre contre toutes les variĂ©tĂ©s de maladies auxquelles il peut ĂȘtre exposĂ©, cancers, tumeurs
 les gĂšnes du CMH Complexe Majeur d’HistocompatibilitĂ©, Ă  ne pas confondre avec LA CMH, maladie cardiaque !. Ces gĂšnes permettent de marquer virtuellement toutes les cellules de l’organisme vivant pour aider le systĂšme immunitaire Ă  identifier les intrus », tels que les bactĂ©ries ou les virus et Ă  les prĂ©senter au systĂšme immunitaire. Mais chaque protĂ©ine du CMH peut seulement se lier et prĂ©senter une sĂ©rie d’antigĂšnes. C’est pourquoi les mammifĂšres possĂšdent de nombreux allĂšles ou versions de chacun de ces gĂšnes, la diversitĂ© de ces gĂšnes Ă©tant essentielle pour qu’une espĂšce survive Ă  la variĂ©tĂ© des organismes pathogĂšnes qui peuvent se prĂ©senter Ă  elle. Ex. si l’on prend pour base seulement 2 gĂšnes de CMH possĂ©dant chacun 5 versions ou allĂšles diffĂ©rentes, cela reprĂ©sente 225 gĂ©notypes diffĂ©rents ! Or, chez l’homme, il existe au moins 9 gĂšnes distincts du CMH de classe 1, et beaucoup plus de gĂšnes de classe 2, et encore davantage du CMH de classe 3 ! Les chercheurs ont dĂ©couvert, pour les 3 gĂšnes les plus Ă©tudiĂ©s parmi les gĂšnes de classe 1, 37 allĂšles pour l’un, 59 pour l’autre et 111 pour le 3Ăš !! Cela entraĂźne donc une considĂ©rable diversitĂ© de capacitĂ©s de dĂ©fenses immunitaires dans la population humaine, permettant Ă  notre corps de rĂ©agir Ă  une grande diversitĂ© d’antigĂšnes, donc de maladies. De plus, les gĂšnes du CMH ont une grande variabilitĂ©, impliquant que les 2 parents d’une mĂȘme famille peuvent prĂ©senter des jeux d’allĂšles totalement diffĂ©rents, tous les enfants ayant de ce fait une combinaison unique. On comprend aisĂ©ment que lorsqu’un animal est hautement consanguin, ces variations sont extrĂȘmement rĂ©duites. Si l’on reprend l’exemple simplifiĂ© Ă  2 gĂšnes avec 5 allĂšles chacun, un animal hautement consanguin serait homozygote pour ces 2 paires d’allĂšles et ne produirait que 2 molĂ©cules du Complexe Majeur d’HistocompatibilitĂ©. Mais plus grave tous les animaux de ce groupe consanguin auraient les mĂȘmes 2 molĂ©cules, aucun ne pouvant donc se dĂ©fendre contre une maladie donnĂ©e ! ce phĂ©nomĂšne est trĂšs connu dans les populations consanguines de souris de laboratoire. Sources Inbreeding and genetics - Dr H. Lorimer, Dr en biologie, professeur de gĂ©nĂ©tique Ă  l'UniversitĂ© de Youngstown. GĂ©nĂ©tique et sĂ©lection - JH. Gautier, Manuel de l'Ă©levage - recueil des IdĂ©es reçues en Ă©levage canin et fĂ©lin, ouvrage collectif, Royal Canin. ÉlĂ©gants, colorĂ©s et incroyablement uniques, ce ne sont lĂ  que quelques-unes des caractĂ©ristiques qui caractĂ©risent le plus les poissons Combattant femelle ou le poisson Betta Splendens femelle, mais quelles sont leurs caractĂ©ristiques ? comment peut-on les diffĂ©rencier d'un poisson Combattant mĂąle ? Ces questions et bien d'autres seront rĂ©solues dans cet article de PlanĂšteAnimal, dans lequel nous montrerons les caractĂ©ristiques physiques et comportementales du poisson Combattant femelle, ainsi que toutes les techniques pour savoir comment reconnaĂźtre le poisson Combattant mĂąle ou femelle. Le poisson Betta Splendems, populairement connu sous le nom de poisson Siam ou poisson Combattant appartenant Ă  la famille des Anabantidae, se distingue Ă©galement comme l'un des poissons les plus agressifs, tant avec des poissons de la mĂȘme espĂšce qu'avec des poissons d'autres espĂšces diffĂ©rentes. Par consĂ©quent, il est essentiel de connaĂźtre leurs soins, leurs besoins, leur cohabitation dans l'aquarium pour profiter d'un animal heureux et sans stress. Et pour cela, la premiĂšre chose Ă  faire est de choisir le sexe qu'aura votre poisson Combattant, alors continuez Ă  lire et dĂ©couvrez tout sur le Poisson combattant femelle et ses caractĂ©ristiques. Index Poisson combattant femelle Types de poisson Combattant femelle Poisson Combattant, mĂąle ou femelle comment les reconnaĂźtre ? Poisson combattant femelle Jusqu'Ă  ce que la maturitĂ© sexuelle soit atteinte, il est extrĂȘmement difficile de savoir si un poisson Betta ou poisson Combattant est mĂąle ou femelle. Cependant, une fois obtenues, les diffĂ©rences entre elles sont vraiment visibles et un poisson Combattant est facilement poisson Combattant femelle, un physique particulierLe poisson Combattant femelle appartient Ă  la famille des Belontiidae et vit principalement au Cambodge ou en ThaĂŻlande. Le Betta femelle mesure 5 centimĂštres, alors que le poisson Combattant est plus grand, 7 centimĂštres. Le poisson Combattant femelle est Ă©galement poisson Combattant mĂąle est plus volumineux que le poisson Combattant femelle. Le poisson Combattant femelle est ainsi plus mince, a un corps plus couleurs du poisson Combattant femelle ont tendance Ă  ĂȘtre plus ternes et plus discrĂštes, passant beaucoup plus inaperçues que les tons brillants et relevĂ©s des mĂąles. De mĂȘme, bien que les nageoires du poisson Combattant femelle prĂ©sente les mĂȘmes caractĂ©ristiques que celles du poisson Combattant mĂąle en termes de forme, comme la prĂ©sence de rayons dans la queue en couronne, diffĂšrent en taille. Ainsi, le poisson Combattant femelle a des nageoires caudales, anales et dorsales plus poisson Combattant femelle a Ă©galement une caractĂ©ristique bien prĂ©cise le tube ovipositeur, situĂ© au fond du poisson et oĂč les Ɠufs sont produits. Cette partie est prĂ©sentĂ©e Ă  l'Ɠil humain comme une tache ou un point blanc arrondi, situĂ© entre les nageoires ventrale et diffĂ©rentiel du poisson Combattant femelleEn gĂ©nĂ©ral, le poisson Combattant femelle a tendance Ă  ĂȘtre moins agressive que le poisson Combattant mĂąle et peut coexister dans le mĂȘme aquarium, Ă  condition que l'aquarium du poisson Combattant remplisse les conditions appropriĂ©es de taille et d'enrichissement environnemental. Cela ne signifie pas pour autant qu'il ne soit pas possible d'avoir quelques altercations entre eux en raison de problĂšmes hiĂ©rarchiques. Image Types de poisson Combattant femelle Bien que nous appelions habituellement tous les poissons Combattants par ce nom, la vĂ©ritĂ© est qu'il existe diffĂ©rents types, chacun avec une morphologie diffĂ©rente. Ainsi, afin de prĂ©ciser les caractĂ©ristiques du poisson Combattant femelle, il est important d'apprendre Ă  identifier le type de poisson Betta Splendens ou poisson Combattant que vous avez devant vous afin d'offrir les meilleurs soins. Actuellement, nous trouvons plus de 10 types de poisson Combattant femelle, cependant, les plus courants dans les aquariums sont les suivants Poisson Combattant Queue voilĂ©e ou Veil tail - C'est le poisson Combattant femelle le plus courant et se caractĂ©rise par une nageoire caudale en forme de Combattant Queue demi-lune ou Betta Halfmoon - Cest l'un des poissons Combattants les plus frappants, il a une spectaculaire nageoire caudale et dorsale arrondie qui, allongĂ©e, forme un rĂ© ou une demi-lune. GĂ©nĂ©ralement, ce poisson Combattant est bleu. Poisson Combattant Queue de couronne ou Betta Crowntail - Il se distingue des autres poissons Combattants ou Betta Splendens par les pointes ou les raies qu'on trouve sur ses nageoires et sa queue, crĂ©ant une image semblable Ă  celle d'une Combattant Double queue ou Betta double tail - MalgrĂ© son nom, ce poisson Combattant femelle prĂ©sente une seule queue mais a une nageoire caudale divisĂ©es en deux, simulant une "queue fendue" ou une"double queue". Le poisson Combattant est gĂ©nĂ©ralement rouge. Bien qu'il y ait tant d'espĂšces de poisson Combattant femelle, tous les mĂąles et toutes les femelles ont des caractĂ©ristiques physiques communes qui nous aident Ă  les diffĂ©rencier. Celles-ci sont illustrĂ©es ci-dessous. Si vous venez d'adopter un poisson Combattant femelle, nous vous offrons notre petit guide sur Les soins du Poisson Combattant de PlanĂšteAnimal. Poisson Combattant, mĂąle ou femelle comment les reconnaĂźtre ? En gĂ©nĂ©ral, diffĂ©rencier un poisson Combattant mĂąle ou femelle est une tĂąche simple, la complication se situe lorsque les deux poissons Combattants sont encore trĂšs jeunes. Il faudra donc attendre qu'ils atteignent la maturitĂ© sexuelle et ensuite regarder les couleurs des poissons et la taille de leurs Combattant mĂąle ou femelle, les traits physiques qui les diffĂ©rencientUne fois l'Ăąge adulte atteint, c'est-Ă -dire environ 2 mois, le poisson Combattant mĂąle, quel que soit le type auquel il appartient, est plus volumineux que la femelle, ce qui constitue la premiĂšre diffĂ©rence visible entre les reconnaĂźtre un poisson Combattant mĂąle ou femelle, observez la forme et la taille de leur nageoire. De mĂȘme, les nageoires dorsale, caudale et anale sont beaucoup plus voyantes que celles du poisson Combattant femelle, non seulement en taille mais aussi en couleur. De cette façon, le poisson Combattant mĂąle a tendance Ă  avoir des couleurs plus vives que le poisson Combattant femelle, comme gĂ©nĂ©ralement le rouge, le bleu et le vert mais ce ne sont pas les uniques couleurs du poisson Combattant !.Par contre, et bien que cette caractĂ©ristique soit plus difficile Ă  percevoir Ă  l'Ɠil nu, le poisson Combattant femelle et mĂąle possĂšde une membrane situĂ©e juste en dessous des branchies, d'un ton noir ou brun foncĂ©, appelĂ©e "barbe". Chez les mĂąles, cette barbe est beaucoup plus importante et on peut la voir lorsque le poisson est en mode dominant devant un autre poisson Combattant mĂąle. Chez le poisson Combattant femelle on le voit Ă  peine parce qu'il est plus petit et qu'il ne s'Ă©tend gĂ©nĂ©ralement Combattant mĂąle ou femelle, un comportement diffĂ©rentQuant Ă  la personnalitĂ© et au comportement du poisson Combattant ou Betta Splendens, le mĂąle a une attitude beaucoup plus agressive que la femelle face Ă  un autre mĂąle et ressent le besoin de se battre pour une ou plusieurs femelles du mĂȘme territoire. Par consĂ©quent, il n'est pas recommandĂ© de rejoindre plus d'un mĂąle dans le mĂȘme aquarium, car la cohabitation entre deux poissons Combattant mĂąle est trĂšs compliquĂ©e. De mĂȘme, si vous voulez Ă©lever un poisson Combattant femelle et un poisson Combattant mĂąle ensemble, vous ne devez pas joindre le mĂąle Ă  la femelle sans une prĂ©sentation appropriĂ©e, car le mĂąle pourrait l'attaquer de toute façon. Dans ce cas, l'idĂ©al est de sĂ©parer l'aquarium Ă  l'aide d'un verre, par exemple, et de placer les deux spĂ©cimens dans leurs parties respectives afin qu'ils puissent ĂȘtre observĂ©s sans se le poisson Combattant mĂąle se sent prĂȘt Ă  s'accoupler, il forme un nid de bulles qui attire la femelle et la parade nuptiale est lancĂ©e. La Betta femelle est alors prĂȘte Ă©galement Ă  la reproduction. Si vous voulez adopter un poisson Combattant femelle ou mĂąle, nous vous conseillons notre article sur la cohabitation du poisson Combattant. Voici une vidĂ©o de Nicolas DL pour savoir comment reconnaĂźtre un poisson combattant femelle d'un poisson combattant mĂąle Si vous souhaitez lire plus d'articles semblables Ă  Poisson combattant femelle et ses caractĂ©ristiques, nous vous recommandons de consulter la section Ce que vous devez savoir. RĂ©fĂ©rences Betta Fish Anatomy External&Internal Explained. Betta Fish. Disponible en Splendens, Le poisson Combattant Fiche. Bibliographie ARBOLEDA OBREGÓN, D. A. 2006. Crianza y producciĂłn del Betta Betta splendens para acuaristas no profesionales. En Revista ElectrĂłnica de Veterinaria REDVET. V. VII, nÂș 4. ISSN 1695-7504. Disponible en ALVES, L. 2008. Efecto de la especie y el color de los oponentes en la agresividad de los machos de Betta splendens. Universidad de Las Palmas de Gran Canaria Facultad de Ciencias del Mar. C'est dĂ©cidĂ©, vous allez sauter le pas et adopter un chinchilla ! Une question reste cependant en suspens faut-il opter pour un mĂąle ou une femelle ? DĂ©couvrez dans cet article les distinctions entre mĂąle et femelle, ainsi que tous nos conseils pour mieux choisir... Sommaire Les caractĂ©ristiques du chinchilla mĂąle et femelle Les caractĂ©ristiques physiques Les caractĂ©ristiques comportementales La cohabitation en fonction du sexe chez le chinchilla Les caractĂ©ristiques du chinchilla mĂąle et femelle Les caractĂ©ristiques physiques Pour reconnaĂźtre physiquement le chinchilla mĂąle du chinchilla femelle, il suffit de regarder les parties gĂ©nitales de l'animal. Bien que les parties gĂ©nitales du mĂąle et de la femelle se ressemblent chez le chinchilla, de petites diffĂ©rences subsistent. Chez le mĂąle, vous observerez un espace d'environ 1 centimĂštre entre l'anus et l'organe sexuel. Cet espace est inexistant chez la femelle. Notez qu'il est possible d'observer cette diffĂ©rence chez le chinchilla dĂšs le plus jeune Ăąge. Il faudra cependant savoir se montrer trĂšs attentif. Pour effectuer cette manipulation, il faudra presser trĂšs dĂ©licatement le bas-ventre de l'animal, tout en le tenant fermement pour Ă©viter les chutes. Il vaut mieux demander Ă  un professionnel d'effectuer ce geste si vous avez peur de blesser le rongeur. Les caractĂ©ristiques comportementales On dit souvent que le mĂąle chinchilla est plus affectueux envers l'humain que la femelle. Si vous souhaitez un animal cĂąlin, il vaut donc mieux privilĂ©gier un mĂąle. Cependant, si vous prĂ©fĂ©rez un animal indĂ©pendant et explorateur, la femelle sera plus adaptĂ©e Ă  vos besoins. Quoi qu'il en soit, gardez en tĂȘte qu'il s'agit d'une gĂ©nĂ©ralitĂ©. Nul ne peut vous garantir Ă  l'avance le caractĂšre de votre animal. Chaque chinchilla est unique, et peut avoir son tempĂ©rament propre, totalement indĂ©pendamment de son sexe. La cohabitation en fonction du sexe chez le chinchilla Si vous dĂ©cidez d'adopter deux chinchillas, il ne faudra pas choisir au hasard le sexe des congĂ©nĂšres. Si deux mĂąles s'entendent gĂ©nĂ©ralement bien, deux femelles adultes, elles, peuvent faire face Ă  des conflits et parfois mĂȘme en arriver Ă  la bagarre. L'adoption d'un mĂąle et d'une femelle peut sembler ĂȘtre une alternative intĂ©ressante. Pourtant, il faudra se montrer vigilant concernant la reproduction. Le chinchilla peut donner naissance jusqu'Ă  6 petits. La plupart du temps, la femelle chinchilla met cependant au monde entre 1 et 3 petits. Les portĂ©es supĂ©rieures Ă  3 restent relativement rares. La reproduction du chinchilla est donc peu prolifique par rapport Ă  celles des autres rongeurs. Pour autant, faire se reproduire un mĂąle et une femelle n'est pas une dĂ©marche Ă  prendre Ă  la lĂ©gĂšre. Tout d'abord parce que les animaux de compagnie sont dĂ©jĂ  en surnombre. Il est donc toujours questionnable d'en faire naĂźtre toujours plus, alors qu'il est facilement possible de trouver un chinchilla dans un refuge, une association, une animalerie, ou mĂȘme chez un Ă©leveur spĂ©cialisĂ©... La dĂ©marche se doit d'ĂȘtre mĂ»rement rĂ©flĂ©chie !A lire aussi Soins et hygiĂšne Ă  apporter Ă  votre chinchilla En cas de reproduction, pour Ă©viter quelques problĂšmes d'ordre gĂ©nĂ©tique, des maladies hĂ©rĂ©ditaires ou encore une grossesse lĂ©tale, il est important de connaĂźtre les origines du couple de chinchillas sur plusieurs gĂ©nĂ©rations. La reproduction entre 2 velvets de couleur diffĂ©rente, par exemple, est Ă  proscrire. D'autre part, le bon dĂ©roulement de la gestation, de l'accouchement, et de l'arrivĂ©e des petits demande certaines connaissances. Il est important que tout se passe dans les meilleures conditions. Prenez donc le temps de pleinement vous renseigner avant de vous lancer dans cette aventure. Lire la suiteRĂ©dactrice web freelance, MaĂ«lys est Ă©galement passionnĂ©e d'animaux, et engagĂ©e dans le domaine de la protection animale.

comment reconnaitre une carpe koi male ou femelle